/ 14
1 (1913) Poème sans titre (incipit : « Le vent souffle dans l’île. Il a plu, l’herbe humide ») « Poème sans titre (incipit : « Le vent souffle dans l’île. Il a plu, l’herbe humide ») »
mide Fille de celle-là qu’il cueillait en rêvant Prend un grand voile roux feuilles mortes devant De Jean-Jacques Rousseau l
2 (1912) Marie-Sybille « Marie-Sibylle »
brasseries borgnes. Elle se mettait sur la paille Pour un maquereau roux et rose, C’était un Juif, il sentait l’ail Et l’a
3 (1914) 1904 « 1904 »
’un chanteur de l’Opéra Qui ne parlait que de théâtre La Kellnerine rousse avait Mis sur sa tête un chapeau rose Comme Hébé
4 (1918) L'enfant d'or « L’enfant d’or »
es Cherront au fond des mers où surnagèrent tant De fleurs de cheveux roux et de rames flottant Parmi les troupes de médus
5 (1902) La Fuite « La Fuite »
tes Coulés au fond des mers où surnagèrent tant De fleurs, de cheveux roux et de rames flottant Parmi les troupes de médus
6 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
La Jolie Rousse Me voici devant tous un homme plein de sens Co
           Elle a l’aspect charmant                    D’une adorable rousse Ses cheveux sont d’or on dirait Un bel éclair q
7 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
Je suis seul sur le chant de bataille Tranchée blanche bois vert et roux L’obus miaule                Je te tuerai Animez
tuerai Animez vos fantassins à passepoil jaune Les grands artilleurs roux comme des taupes Bleu de roi comme les golfes méd
8 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
rsque vous m’auriez surpris embrassant à pleine bouche Cette servante rousse Vous m’auriez pardonné dans le bois aux myrtill
9 (1902) Élégie du voyageur aux pieds blessés « Élégie du voyageur aux pieds blessés »
nos âmes ; le sang pieux De tes pieds console les dieux. Les faunes roux et les satyres En te voyant feignent de rire Et t
10 (1913) Lundi rue Christine « Lundi rue Christine »
e en malachite Le sol est semé de sciure Alors c’est vrai La serveuse rousse a été enlevée par un libraire Un journaliste qu
11 (1911) Le Larron « Le Larron »
Juste et magique il eût épargné les démons Va-t’en errer crédule et roux avec ton ombre Soit la triade est mâle et tu es v
12 (1903) Le Larron « Le Larron »
ste et magique, il eût épargné les démons. Va-t’en errer crédule et roux avec ton ombre. Soit ! la triade est mâle et tu e
13 (1912) Zône « Zône »
que malgré tout nous tous nous cultivons C’est la torche aux cheveux roux que n’éteint pas le vent C’est le fils pâle et ve
14 (1913) Zône « Zône »
que malgré tout nous tous nous cultivons C’est la torche aux cheveux roux que n’éteint pas le vent C’est le fils pâle et ve
/ 14