mide Fille de celle-là qu’il cueillait en rêvant Prend un grand voile
roux
feuilles mortes devant De Jean-Jacques Rousseau l
brasseries borgnes. Elle se mettait sur la paille Pour un maquereau
roux
et rose, C’était un Juif, il sentait l’ail Et l’a
’un chanteur de l’Opéra Qui ne parlait que de théâtre La Kellnerine
rousse
avait Mis sur sa tête un chapeau rose Comme Hébé
es Cherront au fond des mers où surnagèrent tant De fleurs de cheveux
roux
et de rames flottant Parmi les troupes de médus
tes Coulés au fond des mers où surnagèrent tant De fleurs, de cheveux
roux
et de rames flottant Parmi les troupes de médus
Je suis seul sur le chant de bataille Tranchée blanche bois vert et
roux
L’obus miaule Je te tuerai Animez
tuerai Animez vos fantassins à passepoil jaune Les grands artilleurs
roux
comme des taupes Bleu de roi comme les golfes méd
rsque vous m’auriez surpris embrassant à pleine bouche Cette servante
rousse
Vous m’auriez pardonné dans le bois aux myrtill
nos âmes ; le sang pieux De tes pieds console les dieux. Les faunes
roux
et les satyres En te voyant feignent de rire Et t
e en malachite Le sol est semé de sciure Alors c’est vrai La serveuse
rousse
a été enlevée par un libraire Un journaliste qu
Juste et magique il eût épargné les démons Va-t’en errer crédule et
roux
avec ton ombre Soit la triade est mâle et tu es v
ste et magique, il eût épargné les démons. Va-t’en errer crédule et
roux
avec ton ombre. Soit ! la triade est mâle et tu e
que malgré tout nous tous nous cultivons C’est la torche aux cheveux
roux
que n’éteint pas le vent C’est le fils pâle et ve
que malgré tout nous tous nous cultivons C’est la torche aux cheveux
roux
que n’éteint pas le vent C’est le fils pâle et ve