La source enfante et pleure ou râle, Déplorée par les saules pâles.
Roule
de vulgaires pensées, Vieilles et saines et sensé
tère, Sur le mai de son âge et sur son trente et un. Madame Rosemonde
roule
avec mystère. Ses petits yeux tout ronds, pareils
flammes, Puis, dans le vent, nous nous en retournâmes… A nos pieds
roulaient
des châtaignes Dont les bogues étaient Comme le c
ultère Sur le mai de son âge et sur son trente et un Madame Rosemonde
roule
avec mystère Ses petits yeux tout ronds pareils a
ruit éternel d’un fleuve large et sombre Mais tandis que, mourants,
roulaient
vers l’estuaire Tous les regards, tous les regard
ndulée Fleuve figé de ce domaine idéal Mais privé d’eau car ici il ne
roule
que le feu jailli de la mélinite Le parc aux fleu
urons de vivre loin l’un de l’autre Tendons nos bras et sur ces rails
roule
un long train de marchandises Tu pleurais assis
J’écoutais à genoux toquer les battements Du cœur. Le sang, toujours,
roulait
en ses artères Qui sont de vieux coraux ou qui so
ut seul parmi la foule Des troupeaux d’autobus mugissants près de toi
roulent
L’angoisse de l’amour te serre le gosier Comme si
ut seul parmi la foule Des troupeaux d’autobus mugissants près de toi
roulent
L’angoisse de l’amour te serre le gosier Comme si