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1 (1914) Un soir d'Eté « Un soir d’Eté »
Un soir d’Eté Le Rhin Qui coule Un train Qui roule Des nixes blanches Sont en prière Dans la bruyè
2 (1902) Élégie du voyageur aux pieds blessés « Élégie du voyageur aux pieds blessés »
La source enfante et pleure ou râle, Déplorée par les saules pâles. Roule de vulgaires pensées, Vieilles et saines et sensé
3 (1905) Dans le palais de Rosemonde « Dans le Palais de Rosemonde »
tère, Sur le mai de son âge et sur son trente et un. Madame Rosemonde roule avec mystère. Ses petits yeux tout ronds, pareils
4 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
flammes, Puis, dans le vent, nous nous en retournâmes… A nos pieds roulaient des châtaignes Dont les bogues étaient Comme le c
5 (1911) Dans le palais de Rosemonde « Dans le palais de Rosemonde »
ultère Sur le mai de son âge et sur son trente et un Madame Rosemonde roule avec mystère Ses petits yeux tout ronds pareils a
6 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
ruit éternel d’un fleuve large et sombre Mais tandis que, mourants, roulaient vers l’estuaire Tous les regards, tous les regard
7 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
ndulée Fleuve figé de ce domaine idéal Mais privé d’eau car ici il ne roule que le feu jailli de la mélinite Le parc aux fleu
8 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
urons de vivre loin l’un de l’autre Tendons nos bras et sur ces rails roule un long train de marchandises Tu pleurais assis
9 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
J’écoutais à genoux toquer les battements Du cœur. Le sang, toujours, roulait en ses artères Qui sont de vieux coraux ou qui so
10 (1912) Zône « Zône »
ut seul parmi la foule Des troupeaux d’autobus mugissants près de toi roulent L’angoisse de l’amour te serre le gosier Comme si
11 (1913) Zône « Zône »
ut seul parmi la foule Des troupeaux d’autobus mugissants près de toi roulent L’angoisse de l’amour te serre le gosier Comme si
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