On les aura ! Ah ! que c’est bien
rire
aux éclats Des 210, des 150 ; Que c’est bien de n
en retard ; Lettres aux marraines, c’est gnolle. C’est pourquoi Le
Rire
aux Eclats Est une idée exquise et crâne Et nagu
Et naguère, au temps des lilas L’Eclat tempêta sous mon crâne. J’en
ris
comme l’on rira De vos Eclats que tous vont lire.
temps des lilas L’Eclat tempêta sous mon crâne. J’en ris comme l’on
rira
De vos Eclats que tous vont lire. Riez poilus ! O
n crâne. J’en ris comme l’on rira De vos Eclats que tous vont lire.
Riez
poilus ! On les aura Par le courage et le sourir
de Haha sans faire de chichi Les yeux dansants comme des anges Elle
riait
elle riait Les yeux très bleus les dents très bla
s faire de chichi Les yeux dansants comme des anges Elle riait elle
riait
Les yeux très bleus les dents très blanches Si vo
nate de sodium les masques seront simplement mouillés des larmes de
rire
de rire [signal optique d’artillerie] 6
sodium les masques seront simplement mouillés des larmes de rire de
rire
[signal optique d’artillerie] 6
nate de sodium les masques seront simplement mouillés des larmes de
rire
de rire [signal optique d’artillerie] 6
sodium les masques seront simplement mouillés des larmes de rire de
rire
[signal optique d’artillerie] 6
te-selle Il disparut dans un tournant Et mourut là-bas tandis qu’elle
Riait
au Destin surprenant
es bruyères fleurant le miel Attiraient les abeilles Et mes pieds qui
riaient
Foulaient les myrtilles et les airelles Savamment
ter l’autan Et, du fleuve prochain à grand’voix triomphales Les elfes
rire
au vent ou corner aux rafales Attys, Attys, Attys
l’autan, Et, du fleuve prochain, à grand’voix triomphales, Les elfes
rire
au vent ou corner aux rafales. Attys, Attys, Atty
r le sens, Trompés, trompés, pauvres petits, et ne sachant pas encore
rire
. La table et les deux verres devinrent un mourant
gard d’Orphée. Les verres tombèrent, se brisèrent Et nous apprirent à
rire
. Et nous partîmes alors, pèlerins de la perdition
Ni : parce que nous pouvons pleurer sans ridicule et que nous savons
rire
, Ni : parce que nous fumons et buvons comme autre
u ces flammes qui se pavanent Dans les roses-thé qui se fanent Mais
riez
riez de moi Hommes de partout et surtout gens d’i
flammes qui se pavanent Dans les roses-thé qui se fanent Mais riez
riez
de moi Hommes de partout et surtout gens d’ici Ca
des fourmis Se miraient sous la pluie aux reflets du trottoir Leurs
rires
amassés en grappes de raisin Ne sors plus de ch
x et ridicules Deux lampes brûlent devant moi Comme deux femmes qui
rient
Je courbe tristement la tête Devant l’ardente moq
Je courbe tristement la tête Devant l’ardente moquerie Ce
rire
se répand Partout Parlez av
Et se trompaient toujours. Le serpent qui, de
rire
, avait une colique, Leu
grotte à l’atmosphère dorée par la vertu Ce saphir veiné il faut
rire
! Rois de phosphore sous les arbres les bottine
s Guitare-tempête ô gai trémolo O gai trémolo ô gai trémolo Il ne
rit
pas l’artiste-peintre Ton pauvre étincellemen
e aime la chaste Gloire ; Le surnom de sa Vie sera le Désespoir Et le
rire
de tous l’écho de sa Pensée. O douce Vie, ô dou
te tomba. Sueur ? et sa couleur ? Lueur ! le sang est rouge ! et j’ai
ri
des damnés ! Puis enfin j’ai compris que je saign
saignais du nez À cause des parfums violents de mes fleurs. Et j’ai
ri
du vieil ange qui n’est point venu De vol très in
n’est point venu De vol très indolent me tendre un beau calice. J’ai
ri
de l’aile grise et j’ôte mon cilice Tissé de crin
pproche. En entrant j’ai béni les foules des deux mains. Cité, j’ai
ri
de tes palais tels que des truffes Blanches, au s
r de mai, c’est le florin. » On mange alors, toute la bande Pète et
rit
pendant le dîner, Puis s’attendrit à l’allemande
t les misères des âges. Leur sillage s’efface aussitôt. Les destins
Rient
dans les moissons d’or et dans le sein des mères.
les dieux. Les faunes roux et les satyres En te voyant feignent de
rire
Et troublent l’eau quand tu t’y mires. Tu march
nglais Caresser les seins durs comme des obus De ma sœur au
rire
en folie Et je revois Ma mère la s
nglais Caresser les seins durs comme des obus De ma sœur au
rire
en folie Et je revois Ma mère la s
Loreley Qu’un autre te condamne, tu m’as ensorcelé. — — Evêque vous
riez
, priez plutôt pour moi la Vierge. Faites-moi donc
à dire une prière Tu te moques de toi et comme le feu de l’enfer ton
rire
pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond
toi et comme le feu de l’enfer ton rire pétille Les étincelles de ton
rire
dorent le fond de ta vie C’est un tableau pendu d
s coutures de son ventre J’humilie maintenant à une pauvre fille au
rire
horrible ma bouche La nuit s’éloigne ainsi qu’u
à dire une prière Tu te moques de toi et comme le feu de l’enfer ton
rire
pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond
toi et comme le feu de l’enfer ton rire pétille Les étincelles de ton
rire
dorent le fond de ta vie C’est un tableau pendu d
s coutures de son ventre J’humilie maintenant à une pauvre fille au
rire
horrible ma bouche La nuit s’éloigne ainsi qu’u
Les masques n’ont pas tressailli Mais quel fou
rire
sous le masque Blancheur éternelle d
ouissaient De voir leurs corps trépassés entre eux et la lumière. Ils
riaient
de leur ombre et l’observaient Comme si véritable
Et des réponses tellement pleines d’à-propos Que c’était à mourir de
rire
, Et le mort disait à la vivante : — Nous serion
ouissaient De voir leurs corps trépassés entre eux et la lumière. Ils
riaient
de leur ombre et l’observaient Comme si véritable
Et des réponses tellement pleines d’à-propos Que c’était à mourir de
rire
, Et le mort disait à la vivante : ‒ Nous serions
Un mirage, incertain et que les vents d’horreur « Feignent d’être le
rire
de la lune hilare « Et d’effrayer les fantômes av
nt. « Devenez mes sujets fidèles », Leur avait écrit le Sultan. Ils
rirent
à cette nouvelle, Puis répondirent à l’instant A
e le feu l’ombre prévaut Ah Ah le larron de gauche dans la bourrasque
Rira
de toi comme hennissent les chevaux Larron des
feu l’ombre prévaut. Ah ! Ah ! le larron de gauche dans la bourrasque
Rira
de toi comme hennissent les chevaux. » — « Larr
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