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1 (1916) On les aura! « On les aura ! »
On les aura ! Ah ! que c’est bien rire aux éclats Des 210, des 150 ; Que c’est bien de n
en retard ; Lettres aux marraines, c’est gnolle. C’est pourquoi Le Rire aux Eclats Est une idée exquise et crâne Et nagu
Et naguère, au temps des lilas L’Eclat tempêta sous mon crâne. J’en ris comme l’on rira De vos Eclats que tous vont lire.
temps des lilas L’Eclat tempêta sous mon crâne. J’en ris comme l’on rira De vos Eclats que tous vont lire. Riez poilus ! O
n crâne. J’en ris comme l’on rira De vos Eclats que tous vont lire. Riez poilus ! On les aura Par le courage et le sourir
2 (1914) L'Anguille « L’Anguille »
de Haha sans faire de chichi Les yeux dansants comme des anges Elle riait elle riait Les yeux très bleus les dents très bla
s faire de chichi Les yeux dansants comme des anges Elle riait elle riait Les yeux très bleus les dents très blanches Si vo
3 (1915) S-P « S-P- »
nate de sodium   les masques seront simplement mouillés des larmes de rire de rire   [signal optique d’artillerie] 6
sodium   les masques seront simplement mouillés des larmes de rire de rire   [signal optique d’artillerie] 6
4 (1915) S-P « S-P- »
nate de sodium   les masques seront simplement mouillés des larmes de rire de rire   [signal optique d’artillerie] 6
sodium   les masques seront simplement mouillés des larmes de rire de rire   [signal optique d’artillerie] 6
5 (1916) L'Adieu du cavalier « L’Adieu du cavalier »
te-selle Il disparut dans un tournant Et mourut là-bas tandis qu’elle Riait au Destin surprenant
6 (1915) Fagues [Fagnes] « Fagues [Fagnes] »
es bruyères fleurant le miel Attiraient les abeilles Et mes pieds qui riaient Foulaient les myrtilles et les airelles Savamment
7 (1909) Vent nocturne « Vent nocturne »
ter l’autan Et, du fleuve prochain à grand’voix triomphales Les elfes rire au vent ou corner aux rafales Attys, Attys, Attys
8 (1912) Le Vent nocturne « Le Vent nocturne »
l’autan, Et, du fleuve prochain, à grand’voix triomphales, Les elfes rire au vent ou corner aux rafales. Attys, Attys, Atty
9 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
r le sens, Trompés, trompés, pauvres petits, et ne sachant pas encore rire . La table et les deux verres devinrent un mourant
gard d’Orphée. Les verres tombèrent, se brisèrent Et nous apprirent à rire . Et nous partîmes alors, pèlerins de la perdition
Ni : parce que nous pouvons pleurer sans ridicule et que nous savons rire , Ni : parce que nous fumons et buvons comme autre
10 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
u ces flammes qui se pavanent Dans les roses-thé qui se fanent Mais riez riez de moi Hommes de partout et surtout gens d’i
flammes qui se pavanent Dans les roses-thé qui se fanent Mais riez riez de moi Hommes de partout et surtout gens d’ici Ca
11 (1917) La Victoire « La Victoire »
des fourmis Se miraient sous la pluie aux reflets du trottoir Leurs rires amassés en grappes de raisin Ne sors plus de ch
x et ridicules Deux lampes brûlent devant moi Comme deux femmes qui rient Je courbe tristement la tête Devant l’ardente moq
Je courbe tristement la tête Devant l’ardente moquerie            Ce rire se répand                     Partout Parlez av
12 (1910) Le Système Métrique « Le Système métrique »
              Et se trompaient toujours.           Le serpent qui, de rire , avait une colique,                           Leu
13 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
grotte à l’atmosphère dorée   par la vertu Ce saphir veiné   il faut rire  ! Rois de phosphore   sous les arbres les bottine
s Guitare-tempête   ô gai trémolo O gai trémolo   ô gai trémolo Il ne rit pas   l’artiste-peintre Ton pauvre   étincellemen
14 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
e aime la chaste Gloire ; Le surnom de sa Vie sera le Désespoir Et le rire de tous l’écho de sa Pensée. O douce Vie, ô dou
15 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
te tomba. Sueur ? et sa couleur ? Lueur ! le sang est rouge ! et j’ai ri des damnés ! Puis enfin j’ai compris que je saign
saignais du nez À cause des parfums violents de mes fleurs. Et j’ai ri du vieil ange qui n’est point venu De vol très in
n’est point venu De vol très indolent me tendre un beau calice. J’ai ri de l’aile grise et j’ôte mon cilice Tissé de crin
pproche. En entrant j’ai béni les foules des deux mains. Cité, j’ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches, au s
16 (1904) Schinderhannes « Schinderhannes »
r de mai, c’est le florin. » On mange alors, toute la bande Pète et rit pendant le dîner, Puis s’attendrit à l’allemande
17 (1918) Souvenir des Flandres « Souvenir des Flandres »
t les misères des âges. Leur sillage s’efface aussitôt. Les destins Rient dans les moissons d’or et dans le sein des mères.
18 (1902) Élégie du voyageur aux pieds blessés « Élégie du voyageur aux pieds blessés »
les dieux. Les faunes roux et les satyres En te voyant feignent de rire Et troublent l’eau quand tu t’y mires. Tu march
19 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
nglais    Caresser les seins durs comme des obus        De ma sœur au rire en folie             Et je revois    Ma mère la s
20 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
nglais    Caresser les seins durs comme des obus        De ma sœur au rire en folie             Et je revois    Ma mère la s
21 (1902) La Loreley « La Loreley »
Loreley Qu’un autre te condamne, tu m’as ensorcelé. — — Evêque vous riez , priez plutôt pour moi la Vierge. Faites-moi donc
22 (1912) Zône « Zône »
à dire une prière Tu te moques de toi et comme le feu de l’enfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond
toi et comme le feu de l’enfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie C’est un tableau pendu d
s coutures de son ventre J’humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’éloigne ainsi qu’u
23 (1913) Zône « Zône »
à dire une prière Tu te moques de toi et comme le feu de l’enfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond
toi et comme le feu de l’enfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie C’est un tableau pendu d
s coutures de son ventre J’humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’éloigne ainsi qu’u
24 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
        Les masques n’ont pas tressailli              Mais quel fou rire sous le masque              Blancheur éternelle d
25 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
ouissaient De voir leurs corps trépassés entre eux et la lumière. Ils riaient de leur ombre et l’observaient Comme si véritable
Et des réponses tellement pleines d’à-propos Que c’était à mourir de rire , Et le mort disait à la vivante : — Nous serion
26 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
ouissaient De voir leurs corps trépassés entre eux et la lumière. Ils riaient de leur ombre et l’observaient Comme si véritable
Et des réponses tellement pleines d’à-propos Que c’était à mourir de rire , Et le mort disait à la vivante : ‒ Nous serions
27 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
 Un mirage, incertain et que les vents d’horreur « Feignent d’être le rire de la lune hilare « Et d’effrayer les fantômes av
28 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
nt. « Devenez mes sujets fidèles », Leur avait écrit le Sultan. Ils rirent à cette nouvelle, Puis répondirent à l’instant A
29 (1911) Le Larron « Le Larron »
e le feu l’ombre prévaut Ah Ah le larron de gauche dans la bourrasque Rira de toi comme hennissent les chevaux Larron des
30 (1903) Le Larron « Le Larron »
feu l’ombre prévaut. Ah ! Ah ! le larron de gauche dans la bourrasque Rira de toi comme hennissent les chevaux. » — « Larr
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