ome à Nice et à Cologne Dans les fleurs et les confetti Carnaval j’ai
revu
ta trogne O roi plus riche et plus gentil Que Cré
ace en miaulant Abat le sapin noir ou le bouleau si blanc. Mais quand
reverrons
-nous une femme, une chambre ? Quand nous reverron
blanc. Mais quand reverrons-nous une femme, une chambre ? Quand nous
reverrons
-nous ? Mais, sera-ce en septembre ?… Adieu, Léo
ace en miaulant Abat le sapin noir ou le bouleau si blanc. Mais quand
reverrons
-nous une femme, une chambre ? Quand nous reverron
blanc. Mais quand reverrons-nous une femme, une chambre ? Quand nous
reverrons
-nous ? Mais, sera-ce en septembre ?… Adieu Léo La
our Et de longs discours Nobles et joyeux Je
revois
mon père qui se battit Contre les Achantis au se
our Et de longs discours Nobles et joyeux Je
revois
mon père qui se battit Contre les Achantis au se
s monuments, églises et musées, Renaissent en mon âme. O Flandres, je
revois
Vos chefs-d’œuvre debout, et d’eux monte une voix
rlequines jouent dans le rose et bleus d’un beau-ciel Ce souvenir
revit
les rêves et les actives mains Orient plein d
vec celle que j’ai perdue L’année dernière, en Allemagne Et que je ne
reverrai
plus ! Voie lactée, ô sœur lumineuse, Des blanc
gne. Dans la ville, Notre troupe diminua peu à peu. On se disait au
revoir
, A demain, A bientôt. Beaucoup entraient dans les
gne. Dans la ville, Notre troupe diminua peu à peu. On se disait au
revoir
, À demain, À bientôt. Beaucoup entraient dans les