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1 (1912) Clotilde « Clotilde »
Il y vient aussi nos ombres Que la nuit dissipera, Le soleil qui les rend sombres Avec elles disparaîtra. Les déités des
2 (1914) Souvenir du Douanier « Souvenir du Douanier »
ra ça                    La belle Américaine                    Qui rend les hommes fous                    Dans deux ou t
risée                    La belle Américaine                    Qui rend les hommes fous                    Dans deux ou t
                   Près du Mississipi                    Mais que la rend plus belle                    La mode de Paris
3 (1914) Le los du Douanier « Le los du Douanier »
e je te montra ça              La belle Américaine              Qui rend les hommes fous              Dans deux ou trois s
je t’avais grisée              La belle Américaine              Qui rend les hommes fous              Dans deux ou trois s
était belle              Près du Mississipi              Mais que la rend plus belle              La mode de Paris       
4 (1912) Cors de chasse « Cors de chasse »
un tyran. Nul drame hasardeux ou magique, Aucun détail indifférent Ne rend notre amour pathétique. Et Thomas de Quincey bu
5 (1914) Tour de Pise « Tour de Pise »
passera le guet avec son cri pareil Aux plaintes de l’amour qui vous rendit ingrates Alors sur les perrons en écoutant mour
6 (1913) Le Brasier - I « Le Brasier »
nt Partant, à l’amphion, docile, Tu subis tous les tons charmants Qui rendent les pierres agiles.
7 (1917) La Victoire « La Victoire »
il garde son hoquet On imagine difficilement A quel point le succès rend les gens stupides et tranquilles          A l’I
du crachement ferait aussi une belle consonne Les divers pets labiaux rendraient aussi vos discours claironnants Habituez-vous à r
8 (1911) Dans le palais de Rosemonde « Dans le palais de Rosemonde »
les vitres Quel archer mal blessé du couchant le troua La résine qui rend amer le vin de Chypre Ma bouche aux agapes d’agne
9 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
ns » Le vent faisait danser en rond tous les sapins. « Lotte, l’amour rend triste. » — « Ilse, la vie est douce. » La nuit
10 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
lle Dont je suis encore amoureux, Heurtant leurs ombres infidèles, Me rendirent si malheureux. Regrets sur quoi l’enfer se fond
11 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
nt Partant, à l’amphion, docile, Tu subis tous les tons charmants Qui rendent les pierres agiles. II Je flambe dans le
12 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
 : Partant, à l’Amphion, docile, Tu subis tous les tons charmants Qui rendent les pierres agiles. II Je flambe dans le
13 (1911) Le Larron « Le Larron »
s simuler Et sachez que j’attends de moyennes tortures Injustes si je rends tout ce que j’ai volé Issu de l’écume des mers
14 (1903) Le Larron « Le Larron »
simuler Et sachez que j’attends de moyennes tortures, Injustes si je rends tout ce que j’ai volé. » — « Issu de l’écume de
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