Il y vient aussi nos ombres Que la nuit dissipera, Le soleil qui les
rend
sombres Avec elles disparaîtra. Les déités des
un tyran. Nul drame hasardeux ou magique, Aucun détail indifférent Ne
rend
notre amour pathétique. Et Thomas de Quincey bu
passera le guet avec son cri pareil Aux plaintes de l’amour qui vous
rendit
ingrates Alors sur les perrons en écoutant mour
il garde son hoquet On imagine difficilement A quel point le succès
rend
les gens stupides et tranquilles A l’I
du crachement ferait aussi une belle consonne Les divers pets labiaux
rendraient
aussi vos discours claironnants Habituez-vous à r
les vitres Quel archer mal blessé du couchant le troua La résine qui
rend
amer le vin de Chypre Ma bouche aux agapes d’agne
ns » Le vent faisait danser en rond tous les sapins. « Lotte, l’amour
rend
triste. » — « Ilse, la vie est douce. » La nuit
lle Dont je suis encore amoureux, Heurtant leurs ombres infidèles, Me
rendirent
si malheureux. Regrets sur quoi l’enfer se fond
nt Partant, à l’amphion, docile, Tu subis tous les tons charmants Qui
rendent
les pierres agiles. II Je flambe dans le
: Partant, à l’Amphion, docile, Tu subis tous les tons charmants Qui
rendent
les pierres agiles. II Je flambe dans le
s simuler Et sachez que j’attends de moyennes tortures Injustes si je
rends
tout ce que j’ai volé Issu de l’écume des mers
simuler Et sachez que j’attends de moyennes tortures, Injustes si je
rends
tout ce que j’ai volé. » — « Issu de l’écume de