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1 (1916) L'Avenir « L’Avenir »
L’Avenir Soulevons la paille Regardons la neige Ecrivons des lettres Attendons des ordre
ordres Fumons la pipe En songeant à l’amour Les deux tours sont là Regardons la rose La fontaine n’a pas tari Pas plus que l
a fontaine n’a pas tari Pas plus que l’or de la paille ne s’est terni Regardons l’abeille Et ne songeons pas à l’avenir Regardo
le ne s’est terni Regardons l’abeille Et ne songeons pas à l’avenir Regardons nos mains Qui sont la neige La rose et l’abeille
2 (1908) La Marchande (incipit : « Regardez cette troupe infecte ») « La Marchande (incipit : « Regardez cette troupe infecte ») »
La Marchande (incipit : «  Regardez cette troupe infecte ») Regardez cette troupe
La Marchande (incipit : « Regardez cette troupe infecte ») Regardez cette troupe infecte Aux mille pattes, aux cent y
3 (1917) Un poème « Un poème »
Un poème Il est entré Il s’est assis Il ne regarde pas le pyrogène à cheveux rouges L’allumette flam
4 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
e que tu vois mon vieux M. D… 90 ou 324 un homme en l’air un veau qui regarde à travers le ventre de sa mère J’ai cherché lon
utes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre Regarde mais regarde donc Le vieux se lave les pieds dans
fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre Regarde mais regarde donc Le vieux se lave les pieds dans la cuvette U
5 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
e que tu veux mon vieux M. D. 90 ou 324 un homme en l’air un veau qui regarde à travers le ventre de sa mère J’ai cherché longt
utes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre Regarde mais regarde donc Le vieux se lave les pieds dans
fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre Regarde mais regarde donc Le vieux se lave les pieds dans la cuvette U
6 (1913) Hy de Park [Hyde Park] « Hy de Park [Hyde Park] »
aîches de petits enfants Venez venez Éléonore Et que sais-je encore Regardez venir les cyclopes Les pipes s’envolaient Mais en
7 (1916) Exercice « Exercice »
s étaient couverts de poussière Depuis la tête jusqu’aux pieds. Ils regardaient la vaste plaine, En parlant entre eux du passé Et
8 (1912) Fanny « Fanny »
seule, Et quand je passe sur la route, bordée de tilleuls, Nous nous regardons . Comme cette femme est mennonite Ses rosiers et
9 (1914) Petit balai « Petit balai »
ds M’sieu c’est désolant J’ai perdu mon balai de chiendent         Je regarde dans le trou         On me repince la taille     
10 (1914) Prophéties « Prophéties »
sans figure m’épargner toujours Au demeurant je ne crois pas mais je regarde et j’écoute et notez Que je lis assez bien dans l
notez Que je lis assez bien dans la main Car je ne crois pas mais je regarde et quand c’est possible j’écoute Tout le monde
11 (1901) Passion « Passion »
rent la passion Du Christ dont ma lâtrie aime la fiction. La chèvre a regardé les hameaux qui défaillent A l’heure où fatigués
12 (1912) Passion « Passion »
rent la passion Du Christ dont ma lâtrie aime la fiction. La chèvre a regardé les hameaux qui défaillent A l’heure où, fatigués
13 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
insolemment IL SUT AIMER. Quelle épitaphe — Un poète dans la forêt Regarde avec indifférence Son révolver au cran d’arrêt De
14 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
insolemment IL SUT AIMER. Quelle épitaphe — Un poète dans la forêt Regarde avec indifférence Son révolver au cran d’arrêt De
15 (1909) Crépuscule « II. Crépuscule »
aveugle berce un bel enfant ; La biche passe avec ses faons ; Le nain regarde d’un air triste Grandir l’Arlequin trismégiste.
16 (1911) Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») « Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») »
L’aveugle berce un bel enfant La biche passe avec ses faons Le nain regarde , d’un air triste, Grandir l’Arlequin trismégiste
17 (1917) Allons plus vite « Allons plus vite »
             Et le soir vient et les lys meurent                       Regarde ma douleur beau ciel qui me l’envoyes            
18 (1915) Saillant « Saillant »
u beau royaume dévasté [à droite] Grain de blé Mais la couleuvre me regarde dressée comme une épée Vive comme un cheval pif U
19 (1915) Saillant « Saillant »
u beau royaume dévasté [à droite] Grain de blé Mais la couleuvre me regarde dressée comme une épée Vive comme un cheval pif U
20 (1916) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
insolemment. Il sut aimer… Quelle épitaphe ! Un poète dans la forêt regarde avec indifférence — son revolver au cran d’arrêt 
21 (1902) Mai « Mai »
Mai Le mai, le joli mai, en barque sur le Rhin, Des dames regardaient du haut de la montagne. Vous êtes si jolies ! Mai
22 (1902) La Loreley « La Loreley »
— — Je suis lasse de vivre et mes yeux sont maudits Ceux qui m’ont regardé , évêque en ont péri. Mes yeux ce sont des flamm
e rien. Mon cœur me fait si mal, il faut bien que je meure Si je me regardais Il faudrait que j’en meure. Mon cœur me fait si
23 (1912) Zône « Zône »
monte dans l’air Les diables dans les abîmes lèvent la tête pour le regarder Ils disent qu’il imite Simon Mage en Judée Ils cr
C’est un tableau pendu dans un sombre musée Et quelquefois tu vas le regarder de près Aujourd’hui tu marches dans Paris les f
au déclin de la beauté Entourée de flammes ferventes Notre-Dame m’a regardé à Chartres Le sang de votre Sacré-Cœur m’a inondé
que L’un est Nissard il y a un Mentonasque et deux Turbiasques Nous regardons avec effroi les poulpes des profondeurs Et parmi
nte ans J’ai vécu comme un fou et j’ai perdu mon temps Tu n’oses plus regarder la croix et à tous moments tu voudrais sangloter
loter Sur moi sur celle que j’aime sur tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants I
24 (1913) Zône « Zône »
monte dans l’air Les diables dans les abîmes lèvent la tête pour le regarder Ils disent qu’il imite Simon Mage en Judée Ils cr
C’est un tableau pendu dans un sombre musée Et quelquefois tu vas le regarder de près Aujourd’hui tu marches dans Paris les f
au déclin de la beauté Entourée de flammes ferventes Notre-Dame m’a regardé à Chartres Le sang de votre Sacré-Cœur m’a inondé
que L’un est Nissard il y a un Mentonasque et deux Turbiasques Nous regardons avec effroi les poulpes des profondeurs Et parmi
nte ans J’ai vécu comme un fou et j’ai perdu mon temps Tu n’oses plus regarder la croix et à tous moments tu voudrais sangloter
loter Sur moi sur celle que j’aime sur tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants I
25 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
                   Au-dehors, les années                               Regardaient la vitrine,                              Les mann
rs mains lasses Et d’autres, en pleurant, s’étaient agenouillés. Il regarda longtemps les rives qui moururent. Seuls, des bat
26 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
                   Au-dehors, les années                               Regardaient la vitrine,                              Les mann
rs mains lasses Et d’autres, en pleurant, s’étaient agenouillés. Il regarda longtemps les rives qui moururent. Seuls, des bat
27 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
minent la nuit Elles montent sur leur propre cime et se penchent pour regarder Ce sont des dames qui dansent avec leurs regards
serait plus beau encore s’il y en avait plus encore Cependant je les regarde comme une beauté qui s’offre et s’évanouit aussit
28 (1909) Élégie « Élégie »
ohémiennes. Un train passait, les yeux ouverts sur l’autre bord… Nous regardions longtemps les villes riveraines. Neu Gluck , 1
29 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
les cieux. Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie, J’ose à peine regarder la divine mascarade — Quand bleuira sur l’horizon
30 (1918) Souvenir des Flandres « Souvenir des Flandres »
passer Les couchants langoureux des pensives Zélandes ; Les clochers regardaient de la digue et des landes, Bruges, sur ton canal
31 (1917) La Victoire « La Victoire »
 Crains qu’un jour un train ne t’émeuve                          Plus Regarde -le vite pour toi Ces chemins de fer qui circule
     Seront démodés et abandonnés dans peu de temps                  Regarde                La victoire avant tout sera       
32 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
ive en sifflant comme un ouragan. * *  * [« J’ai eu le courage de regarder en arrière »] J’ai eu le courage de regarder
’ai eu le courage de regarder en arrière »] J’ai eu le courage de regarder en arrière Les cadavres de mes jours Marquent ma
journée, j’ai marché en chantant, Une dame, penchée à sa fenêtre, m’a regardé longtemps, M’éloigner en chantant. * *  * [« 
33 (1903) Avenir « Avenir »
r les rouges mares Penchés, nous mirerons nos faces calmement Et nous regarderons aux tragiques miroirs La chute des maisons et la
34 (1917) [Page 1] « [Page 1] »
uration urbaine que l’on trouve dans les tableaux de Survage que j’ai regardé ces ouvrages avec une tendresse fraternelle. J’ai
35 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
es   anges rangés Dans le couchant puis au bout de     l’an des dieux Regarde la tête géante et immense   la main verte L’argen
36 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
ppe en pleurant ! La vie est variable aussi bien que l’Euripe. Tu regardais le banc des nuages descendre Avec le paquebot orp
37 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
les cieux. Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie. J’ose à peine regarder la divine mascarade — Quand bleuira sur l’horizon
38 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
de la terrible lueur                Il se fait une muse ardente Il regarde longtemps l’horizon Couteaux tonneaux d’eaux Des
39 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
ts blafards Sur la flûte jouant les airs de la folie. Je le revis qui regardait un ours faire l’agile en s’enivrant Pour me donne
40 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
eux ‒ Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie. ‒ J’ose à peine regarder la divine mascarade. ‒ Quand bleuira sur l’hori
41 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
e-neuf hommes, Femmes et enfants Qui embellissaient à vue d’œil Et me regardaient maintenant Avec tant de cordialité, Tant de tendr
dre. Ils vivaient si noblement Que ceux, qui, la veille encore, Les regardaient comme leurs égaux Ou même quelque chose de moins,
42 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
e-neuf hommes. Femmes et enfants Qui embellissaient à vue d’œil Et me regardaient maintenant Avec tant de cordialité, Tant de tendr
dre. Ils vivaient si noblement Que ceux, qui, la veille encore, Les regardaient comme leurs égaux Ou même quelque chose de moins,
43 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
ton appel. « Les astres de ta vie influaient sur ma danse ; « Morgane regardait du haut du mont Gibel. « Ah ! qu’il fait doux d
44 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
t la garde Le second saltimbanque N’était vêtu que de son ombre Je le regardai longtemps Son visage m’échappe entièrement C’est
45 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
a flamme aussi petite qu’une souris O palais minuscule comme si on te regardait par le gros bout d’une lunette Petit palais où to
46 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
garde. Le second saltimbanque N’était vêtu que de son ombre. Je le regardai longtemps. Son visage m’échappe entièrement, C’es
47 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
toutes y entrèrent confondues en bande Toutes toutes y entrèrent sans regarder derrière elles Sans regretter ce qu’elles ont lai
48 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
sais Est-il possible que la nation Qui est la mère de la civilisation Regarde sans la défendre les efforts qu’on fait pour la d
49 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
pleuvoir le sang Heureuse pluie ô gouttes tièdes ô douleur Un enfant regarde les fenêtres s’ouvrir Et des grappes de têtes à d
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