L’Avenir Soulevons la paille
Regardons
la neige Ecrivons des lettres Attendons des ordre
ordres Fumons la pipe En songeant à l’amour Les deux tours sont là
Regardons
la rose La fontaine n’a pas tari Pas plus que l
a fontaine n’a pas tari Pas plus que l’or de la paille ne s’est terni
Regardons
l’abeille Et ne songeons pas à l’avenir Regardo
le ne s’est terni Regardons l’abeille Et ne songeons pas à l’avenir
Regardons
nos mains Qui sont la neige La rose et l’abeille
La Marchande (incipit : «
Regardez
cette troupe infecte ») Regardez cette troupe
La Marchande (incipit : « Regardez cette troupe infecte »)
Regardez
cette troupe infecte Aux mille pattes, aux cent y
Un poème Il est entré Il s’est assis Il ne
regarde
pas le pyrogène à cheveux rouges L’allumette flam
e que tu vois mon vieux M. D… 90 ou 324 un homme en l’air un veau qui
regarde
à travers le ventre de sa mère J’ai cherché lon
utes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre
Regarde
mais regarde donc Le vieux se lave les pieds dans
fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre Regarde mais
regarde
donc Le vieux se lave les pieds dans la cuvette U
e que tu veux mon vieux M. D. 90 ou 324 un homme en l’air un veau qui
regarde
à travers le ventre de sa mère J’ai cherché longt
utes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre
Regarde
mais regarde donc Le vieux se lave les pieds dans
fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre Regarde mais
regarde
donc Le vieux se lave les pieds dans la cuvette U
aîches de petits enfants Venez venez Éléonore Et que sais-je encore
Regardez
venir les cyclopes Les pipes s’envolaient Mais en
s étaient couverts de poussière Depuis la tête jusqu’aux pieds. Ils
regardaient
la vaste plaine, En parlant entre eux du passé Et
seule, Et quand je passe sur la route, bordée de tilleuls, Nous nous
regardons
. Comme cette femme est mennonite Ses rosiers et
ds M’sieu c’est désolant J’ai perdu mon balai de chiendent Je
regarde
dans le trou On me repince la taille
sans figure m’épargner toujours Au demeurant je ne crois pas mais je
regarde
et j’écoute et notez Que je lis assez bien dans l
notez Que je lis assez bien dans la main Car je ne crois pas mais je
regarde
et quand c’est possible j’écoute Tout le monde
rent la passion Du Christ dont ma lâtrie aime la fiction. La chèvre a
regardé
les hameaux qui défaillent A l’heure où fatigués
rent la passion Du Christ dont ma lâtrie aime la fiction. La chèvre a
regardé
les hameaux qui défaillent A l’heure où, fatigués
insolemment IL SUT AIMER. Quelle épitaphe — Un poète dans la forêt
Regarde
avec indifférence Son révolver au cran d’arrêt De
insolemment IL SUT AIMER. Quelle épitaphe — Un poète dans la forêt
Regarde
avec indifférence Son révolver au cran d’arrêt De
aveugle berce un bel enfant ; La biche passe avec ses faons ; Le nain
regarde
d’un air triste Grandir l’Arlequin trismégiste.
L’aveugle berce un bel enfant La biche passe avec ses faons Le nain
regarde
, d’un air triste, Grandir l’Arlequin trismégiste
Et le soir vient et les lys meurent
Regarde
ma douleur beau ciel qui me l’envoyes
u beau royaume dévasté [à droite] Grain de blé Mais la couleuvre me
regarde
dressée comme une épée Vive comme un cheval pif U
u beau royaume dévasté [à droite] Grain de blé Mais la couleuvre me
regarde
dressée comme une épée Vive comme un cheval pif U
insolemment. Il sut aimer… Quelle épitaphe ! Un poète dans la forêt
regarde
avec indifférence — son revolver au cran d’arrêt
Mai Le mai, le joli mai, en barque sur le Rhin, Des dames
regardaient
du haut de la montagne. Vous êtes si jolies ! Mai
— — Je suis lasse de vivre et mes yeux sont maudits Ceux qui m’ont
regardé
, évêque en ont péri. Mes yeux ce sont des flamm
e rien. Mon cœur me fait si mal, il faut bien que je meure Si je me
regardais
Il faudrait que j’en meure. Mon cœur me fait si
monte dans l’air Les diables dans les abîmes lèvent la tête pour le
regarder
Ils disent qu’il imite Simon Mage en Judée Ils cr
C’est un tableau pendu dans un sombre musée Et quelquefois tu vas le
regarder
de près Aujourd’hui tu marches dans Paris les f
au déclin de la beauté Entourée de flammes ferventes Notre-Dame m’a
regardé
à Chartres Le sang de votre Sacré-Cœur m’a inondé
que L’un est Nissard il y a un Mentonasque et deux Turbiasques Nous
regardons
avec effroi les poulpes des profondeurs Et parmi
nte ans J’ai vécu comme un fou et j’ai perdu mon temps Tu n’oses plus
regarder
la croix et à tous moments tu voudrais sangloter
loter Sur moi sur celle que j’aime sur tout ce qui m’a épouvanté Tu
regardes
les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants I
monte dans l’air Les diables dans les abîmes lèvent la tête pour le
regarder
Ils disent qu’il imite Simon Mage en Judée Ils cr
C’est un tableau pendu dans un sombre musée Et quelquefois tu vas le
regarder
de près Aujourd’hui tu marches dans Paris les f
au déclin de la beauté Entourée de flammes ferventes Notre-Dame m’a
regardé
à Chartres Le sang de votre Sacré-Cœur m’a inondé
que L’un est Nissard il y a un Mentonasque et deux Turbiasques Nous
regardons
avec effroi les poulpes des profondeurs Et parmi
nte ans J’ai vécu comme un fou et j’ai perdu mon temps Tu n’oses plus
regarder
la croix et à tous moments tu voudrais sangloter
loter Sur moi sur celle que j’aime sur tout ce qui m’a épouvanté Tu
regardes
les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants I
rs mains lasses Et d’autres, en pleurant, s’étaient agenouillés. Il
regarda
longtemps les rives qui moururent. Seuls, des bat
rs mains lasses Et d’autres, en pleurant, s’étaient agenouillés. Il
regarda
longtemps les rives qui moururent. Seuls, des bat
minent la nuit Elles montent sur leur propre cime et se penchent pour
regarder
Ce sont des dames qui dansent avec leurs regards
serait plus beau encore s’il y en avait plus encore Cependant je les
regarde
comme une beauté qui s’offre et s’évanouit aussit
ohémiennes. Un train passait, les yeux ouverts sur l’autre bord… Nous
regardions
longtemps les villes riveraines. Neu Gluck , 1
les cieux. Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie, J’ose à peine
regarder
la divine mascarade — Quand bleuira sur l’horizon
passer Les couchants langoureux des pensives Zélandes ; Les clochers
regardaient
de la digue et des landes, Bruges, sur ton canal
Crains qu’un jour un train ne t’émeuve Plus
Regarde
-le vite pour toi Ces chemins de fer qui circule
Seront démodés et abandonnés dans peu de temps
Regarde
La victoire avant tout sera
ive en sifflant comme un ouragan. * * * [« J’ai eu le courage de
regarder
en arrière »] J’ai eu le courage de regarder
’ai eu le courage de regarder en arrière »] J’ai eu le courage de
regarder
en arrière Les cadavres de mes jours Marquent ma
journée, j’ai marché en chantant, Une dame, penchée à sa fenêtre, m’a
regardé
longtemps, M’éloigner en chantant. * * * [«
r les rouges mares Penchés, nous mirerons nos faces calmement Et nous
regarderons
aux tragiques miroirs La chute des maisons et la
uration urbaine que l’on trouve dans les tableaux de Survage que j’ai
regardé
ces ouvrages avec une tendresse fraternelle. J’ai
es anges rangés Dans le couchant puis au bout de l’an des dieux
Regarde
la tête géante et immense la main verte L’argen
ppe en pleurant ! La vie est variable aussi bien que l’Euripe. Tu
regardais
le banc des nuages descendre Avec le paquebot orp
les cieux. Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie. J’ose à peine
regarder
la divine mascarade — Quand bleuira sur l’horizon
de la terrible lueur Il se fait une muse ardente Il
regarde
longtemps l’horizon Couteaux tonneaux d’eaux Des
ts blafards Sur la flûte jouant les airs de la folie. Je le revis qui
regardait
un ours faire l’agile en s’enivrant Pour me donne
eux ‒ Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie. ‒ J’ose à peine
regarder
la divine mascarade. ‒ Quand bleuira sur l’hori
e-neuf hommes, Femmes et enfants Qui embellissaient à vue d’œil Et me
regardaient
maintenant Avec tant de cordialité, Tant de tendr
dre. Ils vivaient si noblement Que ceux, qui, la veille encore, Les
regardaient
comme leurs égaux Ou même quelque chose de moins,
e-neuf hommes. Femmes et enfants Qui embellissaient à vue d’œil Et me
regardaient
maintenant Avec tant de cordialité, Tant de tendr
dre. Ils vivaient si noblement Que ceux, qui, la veille encore, Les
regardaient
comme leurs égaux Ou même quelque chose de moins,
ton appel. « Les astres de ta vie influaient sur ma danse ; « Morgane
regardait
du haut du mont Gibel. « Ah ! qu’il fait doux d
t la garde Le second saltimbanque N’était vêtu que de son ombre Je le
regardai
longtemps Son visage m’échappe entièrement C’est
a flamme aussi petite qu’une souris O palais minuscule comme si on te
regardait
par le gros bout d’une lunette Petit palais où to
garde. Le second saltimbanque N’était vêtu que de son ombre. Je le
regardai
longtemps. Son visage m’échappe entièrement, C’es
toutes y entrèrent confondues en bande Toutes toutes y entrèrent sans
regarder
derrière elles Sans regretter ce qu’elles ont lai
sais Est-il possible que la nation Qui est la mère de la civilisation
Regarde
sans la défendre les efforts qu’on fait pour la d
pleuvoir le sang Heureuse pluie ô gouttes tièdes ô douleur Un enfant
regarde
les fenêtres s’ouvrir Et des grappes de têtes à d
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