Le Chat Je souhaite dans ma maison : Une femme ayant sa raison , Un chat passant parmi les livres, Des amis en to

mirable Gonflant d’esprit tout neuf vos multiples tétons La féconde raison a jailli de ma fable Plus de femme stérile et non

seuil de l’horizon Où fuit la mesure angulaire Du cœur à l’âme et la raison Le galop bleu des souvenances Traverse les lila

seuil de l’horizon Où fuit la mesure angulaire Du cœur à l’âme et la raison Le galop bleu des souvenances Traverse les lila

seuil de l’horizon Où fuit la mesure angulaire Du cœur à l’âme et la raison Le galop bleu des souvenances Traverse les lila

it sa figure Et j’emportai grâce au miroir en m’en allant La première raison de devenir parjure Linda fut nonpareille avant

ais bien qu’elle est double au moins grâce à la glace Mon cœur par la raison où son amour l’induit Est parjure à présent pour

r passer le fleuve Trois dames au parler hanovrien Effeuillaient sans raison des roses dans le Rhin Qui semble une veine de To

Zanzibar ou plutôt de la France Il faut laisser le goût et garder la raison Il faut voyager loin en aimant sa maison Il faut

ve est l’enfant de ma tête Une étoile de sang me couronne à jamais La raison est mon fond et le ciel est mon faîte Du chef où

llongés nos mains les clochers Et nous t’apportons aussi cette souple raison Que le mystère clot comme une porte la maison Ce

urtois de la galanterie Ce mystère fatal fatal d’une autre vie Double raison qui est au delà de la beauté Et que la Grèce n’a

u delà de la beauté Et que la Grèce n’a pas connue ni l’Orient Double raison de la Bretagne où lame à lame L’océan châtre peu

x s’offrir Les villes du Midi répondirent alors Noble Paris seule raison qui vis encore Qui fixes notre humeur selon ta de

emble Sur leurs tombeaux ce sont les mêmes fleurs qui tremblent Tu as raison elle est belle Mais je n’ai pas le droit de l’aim

ble Sur leurs tombeaux ce sont les mêmes fleurs qui tremblent Tu as raison elle est belle Mais je n’ai pas le droit de l’aim

unesse est morte ainsi que le printemps O Soleil c’est le temps de la Raison ardente                      Et j’attends Pour la

la perdition A travers les rues, à travers les contrées, à travers la raison . Je le revis au bord du fleuve sur lequel flottai