Voyage à Paris Ah ! la charmante chose Quitter un pays morose     Pour Paris     Paris joli     

  Paris joli     Qu’un jour Dut créer l’Amour Ah ! la charmante chose Quitter un pays morose     Pour Paris

songe à Gaspard ce n’est certainement pas Son vrai nom il voyage il a quitté la ville Bleue Lanchi où tant d’enfants l’appella

apinières Des kilomètres pendant que râlait Le vent d’ouest J’avais quitté les jolis bois Les écureuils y sont restés Ma p

Le poids des kilomètres pendant que râlait Le vent d’ouest J’avais quitté le joli bois Les écureuils y sont restés Ma pipe

ple que le soleil vous garde Vous qui m’aimez assez pour ne jamais me quitter Et qui dansez au soleil sans faire de poussière O

            Souvenez-vous-en. Deux matelots qui ne s’étaient jamais quittés , Deux matelots qui ne s’étaient jamais parlé, Le

souviens, à la fin de l’été. Deux matelots qui ne s’étaient jamais quittés  : L’aîné portait au cou une chaîne de fer, Le plu

edonnant des airs militaires, (Oui, tous vos péchés sont absous) Nous quittâmes le cimetière. Nous traversâmes la ville Et renc

A bientôt. Beaucoup entraient dans les brasseries. Quelques-uns nous quittèrent Devant une boucherie canine Pour y acheter leur r

edonnant des airs militaires, (Oui, tous vos péchés sont absous) Nous quittâmes le cimetière. Nous traversâmes la ville Et renc

À bientôt. Beaucoup entraient dans les brasseries. Quelques-uns nous quittèrent Devant une boucherie canine Pour y acheter leur r