étaient pâles Et leurs sanglots s’étaient brisés Après la neige aux
purs
pétales Comme ses mains sur tes baisers Tombaient
pté A ton cou penché vers l’Est Nous sommes l’Arc-en-terre Signe plus
pur
que l’Arc-en-Ciel Signe de nos origines profond
pté A ton cou penché vers l’Est Nous sommes l’Arc-en-terre Signe plus
pur
que l’Arc-en-Ciel Signe de nos origines profo
chemin qui mène aux étoiles ») Le chemin qui mène aux étoiles Est
pur
, sans ombre et sans clarté. J’ai marché, mais nul
Ma pipe essayait de faire des nuages Au ciel Qui restait
pur
obstinément Je n’ai confié aucun secret Aux tou
a pipe essayait de faire des nuages Au ciel Qui restait
pur
obstinément Je n’ai confié aucun secret sinon u
s Et tout est irréel comme embrumé de voiles Peut-être es-tu très
pure
immaculée ô toi Qu’à travers ma folie jadis j’a
t la mort des amants. Or, nous aurons bien soin de garder nos mains
pures
Et nous admirerons, la nuit, comme Néron, L’incen
rre, Vivront en doux amour les bienheureux humains, Paisibles et très
purs
car les lacs et les mers, Suffiront bien à efface
t son petit Jésus est blond comme elle l’est ; Ses yeux sont bleus et
purs
comme le ciel ou l’onde Et l’on conçoit qu’elle a
d’oiseaux divins monte comme un soupir Dans le firmament clair de mes
pures
disputes. Adieu, adieu ! vous qui m’aimiez, oub
ieux monde du XIX e siècle plein de hautes cheminées si belles et si
pures
* * * Virilités du siècle où nous sommes O ca
e jour-là j’ai souvent comparé Dans la chambre où la glace accepte un
pur
mirage La grâce de Linda le visage miré Mais mon
haque ! — Couche-toi sur la paille & songe un beau remords qui,
pur
effet de l’art, soit aphrodisiaque. Mais, Orgues,
Pleurant avec de frais sanglots La naissance triste de l’eau. L’eau
pure
deviendra l’eau sale, La source enfante et pleure
ld Survage. Les efforts qu’il a faits pour donner une vie à la nuance
pure
l’ont mis à même d’aborder la peinture avec des m
très-hautes amours et leur danse orpheline Deviendront à Paris le vin
pur
que tu aimes Et un râle infini qui venait de Si
atican Macèrent dans le vin que je t’offre et qui a La saveur du sang
pur
de celui qui connaît Une autre liberté végétale d
t ce que je ne connaitrai jamais Tout cela tout cela changé en ce vin
pur
Dont Paris avait soif Me fut alors présenté Act
rnoiements exprimaient les béatitudes « Qui toutes ne sont rien qu’un
pur
effet de l’Art. « Je n’ai jamais cueilli que la
llés aux environs de Saint-Claude Tes joues étaient une
pure
émeraude Je me souviens de toi ville des météor
es des vareuses bleues Morceaux du ciel tissus des souvenirs les plus
purs
Et il flotte parfois en l’air de vagues nuages de
l’effarouché. Ermite, absous nos fautes jamais vénielles, O toi, le
pur
et le contrit que nous aimons, Sache nos cœurs, s
rois-mâts. Les vents ont expiré couronnés d’anémones, O Vierge, signe
pur
du troisième mois. * * * [« Templiers flambo
ui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une morte ? On devient si
pur
qu’on en arrive Dans les glaciers de la mémoire A
ui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une morte ? On devient si
pur
qu’on en arrive Dans les glaciers de la mémoire A