tificiel ne sois pas fragile surtout [cœur] un cœur plein de tous les
printemps
[hors motifs] le bonheur et le malheur marchent d
Aubade chantée à Lætare un an passé C’est le
printemps
, viens-t’en, Pâquette, Te promener au bois joli.
s cataclysmes, Le soleil en dansant remuait son nombril Et soudain le
printemps
d’amour et d’héroïsme Amena par la main un jeune
t de l’Art. « Je n’ai jamais cueilli que la fleur d’aubépine, « Aux
printemps
finissants qui voulaient défleurir, « Quand les o
ant le ciel. « La dame qui m’attend se nomme Viviane « Et vienne le
printemps
des nouvelles douleurs. « Couché parmi la marjola
de sa Pensée. O douce Vie, ô doux Amour que je rebute Tendresse du
Printemps
qui me fait défaillir, Un vol d’oiseaux divins mo
s chanter les nôtres Pourpre amour salué par ceux qui vont périr Le
printemps
tout mouillé la veilleuse l’attaque Il pleut mon
r les nôtres Pourpre amour salué par ceux qui vont périr * * * Le
printemps
tout mouillé la veilleuse l’attaque Il pleut mon
r les nôtres Pourpre Amour salué par ceux qui vont périr * * * Le
printemps
tout mouillé la veilleuse l’attaque Il pleut mon
hanter les nôtres. Pourpre amour salué par ceux qui vont périr ! Le
printemps
tout mouillé, la veilleuse l’attaque. Il pleut, m
les obus Epousent ardemment et sans cesse les buts J’attends que le
printemps
commande que s’en aille Vers le nord glorieux l’i
tourés de vagues de fils de fer Mon cœur renaissait comme un arbre au
printemps
Un arbre fruitier sur lequel s’épanouissent
les jardins et les vergers Les oiseaux chantent sur les branches, Le
printemps
clair, l’avril léger. Mort d’immortels argyrasp
es ! La neige aux boucliers d’argent Fuit les dendrophores livides Du
printemps
cher aux pauvres gens Qui resourient les yeux hum
torches Qui font une auréole autour de chaque front, La beauté des
printemps
et les amours fécondes, La douceur des yeux bleus
ntants, Sur un lac blanc et sous l’haleine Des vents qui tremblent au
printemps
Voguait, cygne mourant, sirène. Un jour, le roi
vient l’été la saison violente Et ma jeunesse est morte ainsi que le
printemps
O Soleil c’est le temps de la Raison ardente
illes [« Le printemps laisse errer les fiancés parjures »] Le
printemps
laisse errer les fiancés parjures, Et laisse feui
z pitié, Seigneur, de mes soupirs bénins. Doux Seigneur, pardonnez au
printemps
qui viédaze. Flagellez, flagellez les nuées du