nt des lumières Des corps marchent sans intellect On dira beaucoup de
prières
Pour l’œil un volatile infect Naît soudain œufs t
Le Rhin Qui coule Un train Qui roule Des nixes blanches Sont en
prière
Dans la bruyère Toutes les filles A la fontaine
iel Sont comme les barbes de biques. L’air tremble de flammes et de
prières
Le cimetière est un beau jardin Plein de saules
s, les beaux gars morts à la guerre Et vous, petits enfants, morts en
prière
. Ah ! que vous êtes bien dans le beau cimetière
ue les anges de Fourvières Tissaient un ciel nouveau avec la soie des
prières
Désaltère-toi Paris avec les divines paroles Qu
t parfois comme les feuilles Du cep lorsqu’il fut temps j’entendis la
prière
Qui joignait la limpidité de ces rivières Le vi
a réalité chantent ta gloire Mais nous liquides mains jointes pour la
prière
Nous menons vers le sel les eaux aventurières Et
il de la douloureuse mère C’est l’arbre toujours touffu de toutes les
prières
C’est la double potence de l’honneur et de l’éter
un monastère Et vous avez honte quand vous vous surprenez à dire une
prière
Tu te moques de toi et comme le feu de l’enfer to
eil de la douloureuse mère C’est larbre toujours touffu de toutes les
prières
C’est la double potence de l’honneur et de l’éter
un monastère Et vous avez honte quand vous vous surprenez à dire une
prière
Tu te moques de toi et comme le feu de l’enfer to
lune et de logomachies. Trop d’étoiles s’enfuient quand je dis mes
prières
. O chef de morte ! O vieil ivoire ! Orbites ! Tro