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1 (1914) 050 « 0 50 »
0 50 As-tu pris la pièce de dix sous Je l’ai prise
2 (1908) Le Lapin « Le Lapin »
Le Lapin Je connais un autre connin Que tout vivant je voudrais prendre . Sa garenne est parmi le thym Des vallons du pays
3 (1908) La Chèvre du Thibet « La Chèvre du Thibet »
vre du Thibet Les poils de cette chèvre et même Ceux d’or pour qui prit tant de peine Jason, ne valent rien au prix Des c
4 (1917) Poèmepréfaceprophétie - 1
ettes        Frottez-les donc sur lui        Elles ont des chances de prendre        Trop peu de pyrogènes aujourd’hui        M
5 (1916) La Grâce exilée « La Grâce exilée »
el est exilé Puisqu’on exile qui l’irise Mais un drapeau s’est envolé Prendre ta place au vent de bise
6 (1915) Mutation « Mutation »
ui blanchissaient     Des obus qui pétaient     Les allumettes qui ne prenaient pas      Et tout       a tant changé             
7 (1915) Mutation « Mutation »
nchissaient        Des obus qui pétaient        Les allumettes qui ne prenaient pas          Et tout            a tant changé    
8 (1913) Poème sans titre (incipit : « Le vent souffle dans l’île. Il a plu, l’herbe humide ») « Poème sans titre (incipit : « Le vent souffle dans l’île. Il a plu, l’herbe humide ») »
Il a plu, l’herbe humide Fille de celle-là qu’il cueillait en rêvant Prend un grand voile roux feuilles mortes devant De Jea
9 (1916) Tristesse d'une étoile « Il pleut »
eilleuses rencontres de ma vie ô gouttelettes et ces nuages cabrés se prennent à hennir tout comme un univers de villes auricula
10 (1911) Stances (Signe de l’Automne) « Stances (Signe de l’Automne) »
 ; Une Épouse me suit, c’est mon Ombre fatale, Les Colombes, ce soir, prennent leur dernier vol… Guillaume Apollinaire.
11 (1912) Le Signe de l'Automne « Le Signe de l’Automne »
l, Une épouse me suit, c’est mon ombre fatale, Les colombes, ce soir, prennent leur dernier vol…
12 (1915) Toujours « Toujours »
   Et même sans bouger de la terre    Cherche les forces neuves    Et prend au serieux les fantômes    Et tant d’univers s’ou
13 (1909) Enfance « Enfance »
filais en rêvant, Suivant longtemps des yeux les flocons que le vent Prenait à ma quenouille, ou bien par les allées Jusqu’au
14 (1914) « Tè »
pensait pas. — Goûtant un citron j’eus comme un goût d’huile de ricin pris avec du citron et du café sans sucre Nyctor a éca
15 (1901) Lunaire « Lunaire »
tte abeille, Arcture, Qui posa dans mes mains des rayons décevants Et prit son miel lunaire à la rose des vents. O rose à pe
16 (1915) Guerre « Guerre »
e sous-sol et l’espace aviatique   Maîtres du timon Après, après Nous prendrons toutes les joies Des vainqueurs qui se délassent
17 (1915) Guerre « Guerre »
sous-sol et l’espace aviatique    Maîtres du timon Après, après Nous prendrons toutes les joies Des vainqueurs qui se délassent
18 (1915) Fagues [Fagnes] « Fagues [Fagnes] »
Fagues [Fagnes] Tant de tristesses plénières Prirent mon cœur aux fagues désolées Très las j’ai déposé
19 (1917) Fagnes de Wallonie « Fagnes de Wallonie »
Fagnes de Wallonie Tant de tristesses plénières Prirent mon cœur aux fagnes désolées Quand las j’ai repos
20 (1910) La Cathédrale de Prague « La Cathédrale de Prague »
ieux, dit quelqu’un, cette blague                                  Ne prend pas.              La Bohême n’a tant que la Franc
21 (1910) La Cathédrale de Prague « La Cathédrale de Prague »
ieux, dit quelqu’un, cette blague                                  Ne prend pas.              La Bohême n’a tant que la Franc
22 (1916) Guerre « Guerre »
           Maîtres du timon               après, après           nous prendrons toutes les joies           des vainqueurs qui se
23 (1917) Chef de section « Chef de section »
nges de ma bouche trôneront dans ton cœur Les soldats de ma bouche te prendront d’assaut Les prêtres de ma bouche encenseront ta
24 (1917) Ombre « Ombre »
font qu’un article de journal Apparence impalpable et sombre qui avez pris La forme changeante de mon ombre Un indien à l’af
25 (1917) Lou « Lou »
res Les Césars devenus Vampires Sont aussi cruels que Vénus J’en ai pris mon parti Rouveyre Et monté sur un grand cheval J
26 (1910) Le Système Métrique « Le Système métrique »
s le serpent, rampant par là, dit d’un air digne :                — «  Prenez donc des feuilles de vigne ». Et nos premiers par
27 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
Pablo Picasso Voyez ce peintre il prend les choses avec leur ombre aussi et d’un coup d’œ
s’ouvrait aussi   Au milieu des   regrets dans une vaste grotte.   Prends les araignées roses   à la nage   Regrets d’invi
28 (1905) Salomé « Salomé »
moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ; Prends cette tête au lieu de ta marotte et danse. N’y to
29 (2019) Salomé « Salomé »
moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ; Prends cette tête au lieu de ta marotte et danse. N’y to
30 (1911) Salomé « Salomé »
moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ; Prends cette tête au lieu de ta marotte et danse. N’y to
31 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
lumière Beauté, pâleur, insondables violets Nous tenterons en vain de prendre du repos On commencera à minuit Quand on a le tem
32 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
lumière Beauté Pâleur d’insondables violets Nous tenterons en vain de prendre du repos On commencera à minuit Quand on a le tem
33 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
uriez écouté vous parler de Pythagoras En pensant aussi au café qu’on prendrait Dans une demi-heure Et l’automne eût été pareil
34 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
dans la cuvette Una volta ho inteso dire Ach du lieber Jott Et je me pris à pleurer en me souvenant de nos enfances Et toi
35 (1914) Prophéties « Prophéties »
ls sont ignorants à jamais          Et idiots de naissance Qu’on en a pris son parti et que nul n’a même l’idée De se demand
36 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
achever les ailes Qu’un peu de cire fixe à mes épaules nues Et j’ai pris mon essor vers ta face splendide Les horizons ter
37 (1905) Dans le palais de Rosemonde « Dans le Palais de Rosemonde »
aillon. On eut vingt potages, dont trois couleurs d’urine, Et, le roi prit deux œufs pochés dans du bouillon. Puis, les ma
38 (1911) Dans le palais de Rosemonde « Dans le palais de Rosemonde »
de graillon On eut vingt potages dont trois couleur d’urine Et le roi prit deux œufs pochés dans du bouillon Puis les marm
39 (1914) Souvenir du Douanier « Souvenir du Douanier »
s plaies sur les jambes Tu m’as montré ces trous sanglants Quand nous prenions un quinquina Au bar des Iles Marquises rue de la
40 (1914) Le los du Douanier « Le los du Douanier »
s plaies sur les jambes Tu m’as montré ces trous sanglants Quand nous prenions un quinquina Au bar des Iles Marquises rue de la
41 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
 Et j’attends Pour la suivre toujours la forme noble et douce Qu’elle prend afin que je l’aime seulement Elle vient et m’atti
42 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
s les sacs de sable les rondins nous tombions Nous savons qu’un autre prendrait notre place Et que LES ARMEES ne périront jamais
mble que je le dis Mais pour chacun de tei ITALIE Ne te borne point à prendre les terres irrédentes Mets ton destin dans la bal
43 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
plus qu’aujourd’hui Ils s’en sont allés presque tous en province Je pris le boulevard Saint-Germain Et sur une petite plac
44 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
us qu’aujourd’hui. Ils s’en sont allés presque tous en province. Je pris le boulevard Saint-Germain Et sur une petite plac
45 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
Que secoue le cyprès où niche l’oiseau bleu. Une Madone, à l’aube, a pris les églantines ; Elle viendra, demain, cueillir l
46 (1911) Le Larron « Le Larron »
sque tout est à nous Ouïs du chœur des vents les cadences plagales Et prends l’arc pour tuer l’unicorne ou le gnou L’ombre é
47 (1903) Le Larron « Le Larron »
que tout est à nous. Ouïs du chœur des vents les cadences plagales Et prends l’arc pour tuer l’unicorne ou le gnou. L’ombre
48 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
t à l’écueil A leurs pâles époux couchés sur les terrasses Puis ayant pris leur vol vers le brûlant soleil Les suivirent dan
49 (1912) Zône « Zône »
ond des boutiques Tu es debout devant le zinc d’un bar crapuleux Tu prends un café à deux sous parmi les malheureux Tu es
50 (1913) Zône « Zône »
fond des boutiques Tu es debout devant le zinc d’un bar crapuleux Tu prends un café à deux sous parmi les malheureux Tu es
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