Le Lapin Je connais un autre connin Que tout vivant je voudrais
prendre
. Sa garenne est parmi le thym Des vallons du pays
vre du Thibet Les poils de cette chèvre et même Ceux d’or pour qui
prit
tant de peine Jason, ne valent rien au prix Des c
el est exilé Puisqu’on exile qui l’irise Mais un drapeau s’est envolé
Prendre
ta place au vent de bise
Il a plu, l’herbe humide Fille de celle-là qu’il cueillait en rêvant
Prend
un grand voile roux feuilles mortes devant De Jea
eilleuses rencontres de ma vie ô gouttelettes et ces nuages cabrés se
prennent
à hennir tout comme un univers de villes auricula
; Une Épouse me suit, c’est mon Ombre fatale, Les Colombes, ce soir,
prennent
leur dernier vol… Guillaume Apollinaire.
Et même sans bouger de la terre Cherche les forces neuves Et
prend
au serieux les fantômes Et tant d’univers s’ou
filais en rêvant, Suivant longtemps des yeux les flocons que le vent
Prenait
à ma quenouille, ou bien par les allées Jusqu’au
pensait pas. — Goûtant un citron j’eus comme un goût d’huile de ricin
pris
avec du citron et du café sans sucre Nyctor a éca
tte abeille, Arcture, Qui posa dans mes mains des rayons décevants Et
prit
son miel lunaire à la rose des vents. O rose à pe
e sous-sol et l’espace aviatique Maîtres du timon Après, après Nous
prendrons
toutes les joies Des vainqueurs qui se délassent
sous-sol et l’espace aviatique Maîtres du timon Après, après Nous
prendrons
toutes les joies Des vainqueurs qui se délassent
Fagues [Fagnes] Tant de tristesses plénières
Prirent
mon cœur aux fagues désolées Très las j’ai déposé
Fagnes de Wallonie Tant de tristesses plénières
Prirent
mon cœur aux fagnes désolées Quand las j’ai repos
nges de ma bouche trôneront dans ton cœur Les soldats de ma bouche te
prendront
d’assaut Les prêtres de ma bouche encenseront ta
font qu’un article de journal Apparence impalpable et sombre qui avez
pris
La forme changeante de mon ombre Un indien à l’af
res Les Césars devenus Vampires Sont aussi cruels que Vénus J’en ai
pris
mon parti Rouveyre Et monté sur un grand cheval J
s le serpent, rampant par là, dit d’un air digne : — «
Prenez
donc des feuilles de vigne ». Et nos premiers par
s’ouvrait aussi Au milieu des regrets dans une vaste grotte.
Prends
les araignées roses à la nage Regrets d’invi
moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ;
Prends
cette tête au lieu de ta marotte et danse. N’y to
moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ;
Prends
cette tête au lieu de ta marotte et danse. N’y to
moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ;
Prends
cette tête au lieu de ta marotte et danse. N’y to
lumière Beauté, pâleur, insondables violets Nous tenterons en vain de
prendre
du repos On commencera à minuit Quand on a le tem
lumière Beauté Pâleur d’insondables violets Nous tenterons en vain de
prendre
du repos On commencera à minuit Quand on a le tem
uriez écouté vous parler de Pythagoras En pensant aussi au café qu’on
prendrait
Dans une demi-heure Et l’automne eût été pareil
dans la cuvette Una volta ho inteso dire Ach du lieber Jott Et je me
pris
à pleurer en me souvenant de nos enfances Et toi
ls sont ignorants à jamais Et idiots de naissance Qu’on en a
pris
son parti et que nul n’a même l’idée De se demand
achever les ailes Qu’un peu de cire fixe à mes épaules nues Et j’ai
pris
mon essor vers ta face splendide Les horizons ter
aillon. On eut vingt potages, dont trois couleurs d’urine, Et, le roi
prit
deux œufs pochés dans du bouillon. Puis, les ma
de graillon On eut vingt potages dont trois couleur d’urine Et le roi
prit
deux œufs pochés dans du bouillon Puis les marm
s plaies sur les jambes Tu m’as montré ces trous sanglants Quand nous
prenions
un quinquina Au bar des Iles Marquises rue de la
s plaies sur les jambes Tu m’as montré ces trous sanglants Quand nous
prenions
un quinquina Au bar des Iles Marquises rue de la
Et j’attends Pour la suivre toujours la forme noble et douce Qu’elle
prend
afin que je l’aime seulement Elle vient et m’atti
s les sacs de sable les rondins nous tombions Nous savons qu’un autre
prendrait
notre place Et que LES ARMEES ne périront jamais
mble que je le dis Mais pour chacun de tei ITALIE Ne te borne point à
prendre
les terres irrédentes Mets ton destin dans la bal
plus qu’aujourd’hui Ils s’en sont allés presque tous en province Je
pris
le boulevard Saint-Germain Et sur une petite plac
us qu’aujourd’hui. Ils s’en sont allés presque tous en province. Je
pris
le boulevard Saint-Germain Et sur une petite plac
Que secoue le cyprès où niche l’oiseau bleu. Une Madone, à l’aube, a
pris
les églantines ; Elle viendra, demain, cueillir l
sque tout est à nous Ouïs du chœur des vents les cadences plagales Et
prends
l’arc pour tuer l’unicorne ou le gnou L’ombre é
que tout est à nous. Ouïs du chœur des vents les cadences plagales Et
prends
l’arc pour tuer l’unicorne ou le gnou. L’ombre
t à l’écueil A leurs pâles époux couchés sur les terrasses Puis ayant
pris
leur vol vers le brûlant soleil Les suivirent dan
ond des boutiques Tu es debout devant le zinc d’un bar crapuleux Tu
prends
un café à deux sous parmi les malheureux Tu es
fond des boutiques Tu es debout devant le zinc d’un bar crapuleux Tu
prends
un café à deux sous parmi les malheureux Tu es