couf Qui mourûtes et remourûtes sans dire ouf ? Kiosque remuant qui
portiez
les nouvelles Vous étiez un cerveau pour toutes l
) O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes Vertes qui jamais Ne
porteront
de fleurs Où sont mes fruits Où me planté-je O po
onts C’est la chanson des rêveurs Qui s’étaient arraché le cœur Et le
portaient
dans la main droite Souvi
t sauvage La cendre de ses frères lui sortait en barbe grisonnante Il
portait
ainsi toute son hérédité au visage Il semblait rê
bouche Ou près des narines C’est un rose plein de traitrise Cet homme
portait
-il ainsi sur le dos La teinte ignoble de ses poum
sauvage ? La cendre de ses pères lui sortait en barbe grisonnante. Il
portait
ainsi toute son hérédité au visage. Il semblait r
e, Ou près des narines. C’est un rose plein de traîtrise. Cet homme
portait
-il ainsi sur le dos La teinte ignoble de ses poum
ricité. Les tramways, feux verts sur l’échine, Musiquent, au long des
portées
De rails, leur folie de machines. Les cafés gon
ne les filles Et les garçons dont la croupe dure sursaute J’ai
porté
l’administrateur des semaines De village en
ne les filles Et les garçons dont la croupe dure sursaute J’ai
porté
l’administrateur des semaines De village en
in de l’été. Deux matelots qui ne s’étaient jamais quittés : L’aîné
portait
au cou une chaîne de fer, Le plus jeune mettait s
aporogues Ivrognes, pieux et larrons Aux steppes et au décalogue. «
Portez
, comme un joug, le croissant « Qu’interrogent les
ent comme les pièces aux échecs Il y a surtout des juifs leurs femmes
portent
perruque Elles restent assises exsangues au fond
ent comme les pièces aux échecs Il y a surtout des juifs leurs femmes
portent
perruque Elles restent assises exsangues au fond