La Dame Toc toc Il a fermé sa porte Les lis du jardin sont flétris Quel est donc ce m

flétris Quel est donc ce mort qu’on emporte Tu viens de toquer à sa porte                    Et trotte trotte Trotte la pet

Le Retour Toc, toc… « Il a fermé sa porte . Les lys du jardin sont flétris… Quel est donc ce

… Quel est donc ce mort qu’on emporte ? » — « Tu viens de toquer à sa porte  » — « Et je suis veuve, aux pieds meurtris. » G

La Porte La porte de l’hôtel sourit terriblement Qu’est

La Porte La porte de l’hôtel sourit terriblement Qu’est-ce que cela

Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») O porte

asse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes Vertes qui ja

ui jamais Ne porteront de fleurs Où sont mes fruits Où me planté-je O porte de l’hôtel un ange est devant toi Distribuant des

Oracles     Je porte votre bague Elle est très finement ciselée Le sif

Oracles      Je porte votre bague Elle est très finement ciselée Le sif

me Monsieur Queval et moi Laisse passer nos bagages en franchise à la porte du ciel Nous t’apporterons des pinceaux des coule

éminin, N’en est pas moins un chibriape Appelé Lul de Faltenin Et que porte sur une nappe, Devant l’antipapesse, un nain. L

ne rose morte : « Merci, que le dernier venu « Sur mon amour ferme la porte . « Je ne vous ai jamais connue. »

                                                                 à la porte du ciel                                          

[Calligramme (oiseau)] [oiseau] Retenez son nom elle porte en elle des millions d’oiseaux qui donnent une co

Qui a lancé cette fusée-signal Néanmoins tu feras bien de tenir la porte ouverte Et puis le vent scieur de long Suscitera

Leurs yeux sont des feux mal éteints, Leurs cœurs bougent comme leurs portes .

t mon délire Est bien plus grand qu’aucun âme ait jamais celé Et je porte avec moi cette ardente souffrance Comme le ver lu

ontre   A Edouard Férat [cravate] la cravate douloureuse que tu portes et qui t’orne ô civilisé ôte-la si tu veux bien r

plus inhumain Et mon cœur le diable l’emporte Et qu’il le dépose à sa porte N’est plus qu’un jouet dans sa main Les loups j

Le Voyageur Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant ! La vie est variable

e plus jeune mettait ses cheveux blonds en tresse. Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant ! La vie est variable

rouette Au vent qui demandait si doucement : « Qu’as-tu ? » Et sur la porte était clouée une chouette. Nous parlions dans l

ville au fond de l’Est Un douanier se tenait là comme un ange A la porte d’un misérable paradis Et ce voyageur épileptique

                         S’est en allé Il grava sur un banc près la porte Dauphine Les deux noms adorés Clémence et Joséphi

re                       S’est en allé Il grava sur un banc près la porte Dauphine Les deux noms adorés Clémence et Joséphi

ville au fond de l’Est Un douanier se tenait là comme un ange A la porte d’un misérable paradis Et ce voyageur épileptique

te ville Au fond de l’Est Un douanier se tenait là comme un ange a la porte d’un misérable paradis Et le voyageur épileptique

z z z z z z z ou ou ou o o o o o o de vos jardins fleuris fermez les portes Les chaussures neuves du poète cré cré cré cré cr

que              Blancheur éternelle d’ici              Où la colombe porte un casque              Et l’acier s’envole aussi

s t’apportons aussi cette souple raison Que le mystère clot comme une porte la maison Ce mystère courtois de la galanterie Ce