La Chenille Le travail mène à la richesse, Pauvres
poètes
, travaillons ! La chenille en peinant sans cesse
toujours une chambre à la semaine Ange barbu vous êtes en réalité Un
poète
lyrique d’Allemagne Qui voulez connaître Paris Vo
Garches Il fait un peu lourd et vos cheveux sont longs O bon petit
poète
un peu bête et trop blond Vos yeux ressemblent ta
ée [couronne] Les rois qui meurent tour à tour renaissent au cœur des
poètes
[miroir] Dans ce miroir je suis enclos vivant et
autres chansons moins douces [lettre, autour d’une croix] Bonjour mon
poète
Je me souviens de votre voix de votre voix Votre
autres chansons moins douces [lettre, autour d’une croix] Bonjour mon
poète
Je me souviens de votre voix de votre voix Votre
Voici donc un poème Puisque j’aime et que nous aimons les
poètes
Mais si vous saviez comme j’aime les prophètes Et
s figé du toit de ses maisons Ressemble au cœur figé, mais divers, du
poète
Avec les tournoiements stridents des déraisons.
hyrogénètes S’agenouillaient ingénument : C’étaient des saints et des
poètes
Egarés dans le firmament. J’étais guidé par la
éteints méditent maintenant Comme des vierges, des vieillards et des
poètes
Et ne s’éveilleront au pas de nul venant Ni quand
Tendent leurs bouts insolemment IL SUT AIMER. Quelle épitaphe — Un
poète
dans la forêt Regarde avec indifférence Son révol
Tendent leurs bouts insolemment IL SUT AIMER. Quelle épitaphe — Un
poète
dans la forêt Regarde avec indifférence Son révol
éteints méditent maintenant, Comme les vierges, les vieillards et les
poètes
, Et ne s’éveilleront aux pas de nul venant, Ni qu
tendent leurs bouts insolemment. Il sut aimer… Quelle épitaphe ! Un
poète
dans la forêt regarde avec indifférence — son rev
arts endoctrinés Par les vieux sapins, leurs aînés Qui sont de grands
poètes
, Ils se savent prédestinés A briller plus que des
mon Rousseau, je bois à sa santé ! 1. [Note de Maurice Raynal] Le
poète
croyait alors que Rousseau avait perdu ses enfant
qui dorait les forêts tandis que vous pleuriez L’acrobate à cheval le
poète
à moustaches un oiseau mort et tant d’enfants san
o o de vos jardins fleuris fermez les portes Les chaussures neuves du
poète
cré cré cré cré cré cré cré cré cré cré cré cré c
tiraient quelquefois les chercheurs de trésors Cet insecte jaseur ô
poète
barbare Regagnait chastement à l’heure d’y mourir
et magique il eût scruté le firmament Pâle et magique il eût aimé des
poétesses
Juste et magique il eût épargné les démons Va-t
comme autrefois. Réjouissons-nous parce que, Directeur du feu et des
poètes
, L’amour qui emplit ainsi que la lumière Tout le
nt quelquefois les chercheurs de trésors. Effrayants et fardés, les
poètes
barbares, Troupe lâche, cherchaient, pour y chast
magique, il eût scruté le firmament, Pâle et magique, il eût aimé des
poétesses
, Juste et magique, il eût épargné les démons. V
jeune fille amoureuse du maire Dans un autre quartier Rivalise donc
poète
avec les étiquettes des parfumeurs En somme rie
comme du miel. Or, j’absous les aveux pourpres comme leur sang Des
poétesses
nues, des fées, des fornarines. Aucun pauvre dési
s flamants les marabouts L’oiseau Roc célébré par les conteurs et les
poètes
Plane tenant dans les serres le crâne d’Adam la p
s flamants les marabouts L’oiseau Roc célébré par les conteurs et les
poètes
Plane tenant dans les serres le crâne d’Adam la p