ent à hennir tout comme un univers de villes auriculaires écoute s’il
pleut
tandis que le regret et le dédain pleurent une an
Poème sans titre (incipit : « Le vent souffle dans l’île. Il a
plu
, l’herbe humide ») Le vent souffle dans l’île.
’île. Il a plu, l’herbe humide ») Le vent souffle dans l’île. Il a
plu
, l’herbe humide Fille de celle-là qu’il cueillait
qui vont périr Le printemps tout mouillé la veilleuse l’attaque Il
pleut
mon âme il pleut mais il pleut des yeux morts — U
Le printemps tout mouillé la veilleuse l’attaque Il pleut mon âme il
pleut
mais il pleut des yeux morts — Ulysse ! que de jo
tout mouillé la veilleuse l’attaque Il pleut mon âme il pleut mais il
pleut
des yeux morts — Ulysse ! que de jours pour rentr
t périr * * * Le printemps tout mouillé la veilleuse l’attaque Il
pleut
mon âme il pleut mais il pleut des yeux morts — U
Le printemps tout mouillé la veilleuse l’attaque Il pleut mon âme il
pleut
mais il pleut des yeux morts — Ulysse ! que de jo
tout mouillé la veilleuse l’attaque Il pleut mon âme il pleut mais il
pleut
des yeux morts — Ulysse ! que de jours pour rentr
t périr * * * Le printemps tout mouillé la veilleuse l’attaque Il
pleut
mon âme il pleut mais il pleut des yeux morts —
Le printemps tout mouillé la veilleuse l’attaque Il pleut mon âme il
pleut
mais il pleut des yeux morts — Ulysse que de jo
tout mouillé la veilleuse l’attaque Il pleut mon âme il pleut mais il
pleut
des yeux morts — Ulysse que de jours pour rentr
vont périr ! Le printemps tout mouillé, la veilleuse l’attaque. Il
pleut
, mon âme, il pleut, mais il pleut des yeux morts.
printemps tout mouillé, la veilleuse l’attaque. Il pleut, mon âme, il
pleut
, mais il pleut des yeux morts. — Ulysse ! que de
mouillé, la veilleuse l’attaque. Il pleut, mon âme, il pleut, mais il
pleut
des yeux morts. — Ulysse ! que de jours pour rent
es perles du fleuve Dit vert, qui est bleu et jaunit qu’il neige ou
pleuve
Dans l’eau d’acier ton ombre te précèdera Les
Le bras de l’officier est mon étoile polaire Il
pleut
mon manteau est trempé et je m’essuie parfois, la
uand il faisait du soleil, tandis qu’on y gelait l’hiver, et quand il
pleuvait
on y était aussi trempé que si on s’était mis sou
ts d’enterrements, Des blancs et de tout noirs, vaincus des cieux qui
pleuvent
, Quand la femme du diable a battu son amant. Pu
ts d’enterrements. Des blancs et de tout noirs, vaincus des cieux qui
pleuvent
Quand la femme du diable a battu son amant. Pui
urs le même culte de sa mort renaissant Divise ici les saints et fait
pleuvoir
le sang Heureuse pluie ô gouttes tièdes ô douleur