Les Grenadines repentantes En est-il donc deux dans Grenade Qui
pleurent
sur ton seul péché Ici l’on jette la grenade Qui
ise-le par amour au moment de ta perte Et méprise ceci Jouir sans en
pleurer
La vigne sans ivresse et le champ sans ivraie GU
lles auriculaires écoute s’il pleut tandis que le regret et le dédain
pleurent
une ancienne musique écoute tomber les liens qui
bouquet)] [bouquet] Il y a aussi des fleurs vénéneuses pourquoi
pleurer
revenez demain et des fleurs toujours ouvertes le
sur les routes Tant d’yeux sont clos au bord des routes Le vent fait
pleurer
les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre Regar
ns la cuvette Una volta ho inteso dire Ach du lieber Gott Je me mis à
pleurer
en me souvenant de vos enfances Et toi tu me mo
ux bords océaniques, Où le ciel serait grec si toutes étaient nues, Y
pleure
d’être dieu encore et inconnu, Ce dieu jaloux com
sur les routes Tant d’yeux sont clos au bord des routes Le vent fait
pleurer
les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre Regar
a cuvette Una volta ho inteso dire Ach du lieber Jott Et je me pris à
pleurer
en me souvenant de nos enfances Et toi tu me mont
t à ma quenouille, ou bien par les allées Jusqu’au bassin mourant que
pleurent
les saulaies Je marchais à pas lents, m’arrêtant
ste de l’eau. L’eau pure deviendra l’eau sale, La source enfante et
pleure
ou râle, Déplorée par les saules pâles. Roule d
meurent Et s’émeuvent les enchanteurs, Les fleurs se fanent, les fées
pleurent
. Guillaume Apollinaire
quand je passerai. Je ne saurai plus où me mettre. Tu seras loin. Je
pleurerai
Et même, j’en mourrai peut-être. Oberpleis, mai
Les jeunes de la classe 1915 Et ces fils de fer électrisés Ne
pleurez
donc pas sur les horreurs de la guerre Avant elle
Les jeunes de la classe 1915 Et ces fils de fer électrisés Ne
pleurez
donc pas sur les horreurs de la guerre Avant elle
eux ont péri »] Beaucoup de ces dieux ont péri ; C’est sur eux que
pleurent
les saules. Le grand Pan, l’amour, Jésus-Christ S
Jésus-Christ Sont bien morts et les chats miaulent Dans la cour ; je
pleure
à Paris, Moi qui sais des lais pour les reines,
ux nageaient les sirènes, Et nos baisers mordus, sanglants, Faisaient
pleurer
nos fées marraines. Mais, en vérité, je t’atten
fous t’ont-ils paré ? Tes victimes en robe noire Ont-elles vainement
pleuré
? Malheur, dieu qu’il ne faut pas croire ! Et t
agne. Vous êtes si jolies ! Mais la barque s’éloigne. Qui donc a fait
pleurer
les saules riverains ? Or, des vergers fleuris
ns mon jardin. Venez tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne
pleure
pas, ô joli fou du roi ; Prends cette tête au lie
ns mon jardin. Venez tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne
pleure
pas, ô joli fou du roi ; Prends cette tête au lie
ns mon jardin. Venez tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne
pleure
pas, ô joli fou du roi ; Prends cette tête au lie
ult nous chante après 9 heures Un grand air d’opéra toi l’écoutant tu
pleures
Je flatte de la main le petit canon gris Gris c
rder en arrière Les cadavres de mes jours Marquent ma route et je les
pleure
. Les uns pourrissent dans les églises italiennes,
et fructifient En même temps et en toute saison. D’autres jours ont
pleuré
avant de mourir dans des tavernes, Où d’ardents b
rais éprouver une ardeur infinie. Monstre de mon ouïe, tu rugis et tu
pleures
; Le tonnerre te sert de chevelure Et tes griffes
mains des chères mortes Ce sont tes mains coupées. Nous avons tant
pleuré
aujourd’hui Avec ces morts, leurs enfants et les
el vert et J’entendis sa voix qui dorait les forêts tandis que vous
pleuriez
L’acrobate à cheval le poète à moustaches un oise
dissaient ou parfois s’abaissaient brusquement, Et ces ombres barbues
pleuraient
humainement En glissant pas à pas sur la montagne
paroles qui forment et défont l’univers, Ni : parce que nous pouvons
pleurer
sans ridicule et que nous savons rire, Ni : parce
u, Je suis mariée. Voyez l’anneau qui brille, Mes mains tremblent, Je
pleure
et je voudrais mourir. Les barques étaient arri
serions si heureux ensemble ! Sur nous l’eau se refermera, Mais vous
pleurez
et vos mains tremblent, Aucun de nous ne reviendr
u. Je suis mariée. Voyez l’anneau qui brille, Mes mains tremblent, Je
pleure
et je voudrais mourir. Les barques étaient arri
serions si heureux ensemble ! Sur nous l’eau se refermera, Mais vous
pleurez
et vos mains tremblent, Aucun de nous ne reviendr
ns nos bras et sur ces rails roule un long train de marchandises Tu
pleurais
assise près de moi au fond d’un fiacre Et maint
demandais-tu ces fruits Mais puisque tu as faim que tu es en exil Il
pleure
il est barbare et bon pardonnez-lui Je confesse
mandais-tu ces fruits ? Mais puisque tu as faim que tu es en exil, Il
pleure
, il est barbare et bon, pardonnez-lui ! » — « J