Un dernier chapitre Tout le peuple se précipita sur la
place
publique Il vint des hommes blancs des nègres des
vint même des prêtres et quelques hommes mis avec élégance Et hors la
place
la ville semblait morte ne tressaillant même pas
é Puisqu’on exile qui l’irise Mais un drapeau s’est envolé Prendre ta
place
au vent de bise
d’un continent Perdre Mais perdre vraiment Pour laisser
place
à la trouvaille
ontinent ??? Perdre Mais perdre vraiment Pour laisser
place
à la trouvaille
e Mais perdre vraiment Pour laisser
place
à la trouvaille
La Vaseline Chez un pharmacien,
place
de l’Opéra, Un monsieur fort bien mis en coup de
La Vaseline Chez un pharmacien,
place
de l’Opéra, Un monsieur fort bien mis en coup de
ciel et de terre En laissant au milieu Un grand trou de lumière Cette
place
carrée Meïdan Schah trop Grande pour le trop peti
rès d’un petit mur Ou lisions l’inscription d’une pierre mise A cette
place
en souvenir d’un meurtre et sur Laquelle bien sou
t le ver Zamir sans instrument, Puis le soleil revint ensoleiller les
places
D’une ville marine apparue contremont Sur les toi
t la fenêtre Tours Les Tours ce sont les rues Puits Puits ce sont les
places
Puits Arbres creux qui abritent les Câpresses vag
t la fenêtre Tours Les tours ce sont les rues Puits Puits Ce sont les
places
Puits Arbres creux qui enlacent les Capresses vag
us en province Je pris le boulevard Saint-Germain Et sur une petite
place
située entre Saint-Germain-des-Prés et la statue
La foule les entourait muette et résignée à attendre Je me fis une
place
dans ce cercle afin de tout voir Poids formidable
s en province. Je pris le boulevard Saint-Germain Et sur une petite
place
située entre Saint-Germain-des-Prés et la statue
La foule les entourait, muette et résignée à attendre. Je me fis une
place
dans ce cercle afin de tout voir. Poids formidabl
t le ver Zamir sans instrument, Puis le soleil revint ensoleiller les
places
D’une ville marine apparue contremont Sur les toi
le ver Zamir, sans instrument… Puis, le soleil revint ensoleiller les
places
D’une ville marine apparue contremont ; Sur les t
ble les rondins nous tombions Nous savons qu’un autre prendrait notre
place
Et que LES ARMEES ne périront jamais Les mois n
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