69 : dualité, trinité. Et ces arcanes seraient plus sombres Mais j’ai
peur
de les sonder ; Qui sait si là n’est pas l’éterni
là n’est pas l’éternité, Par delà la mort camuse Qui s’amuse A faire
peur
; Et l’ennui m’emmantelle Comme un vague linceul
Qu’à l’abord il surprend désagréablement C’est qu’il n’a pas
peur
Qu’on l’appelle un « primaire » On aurait
t un rayon de miel. Or, caché je conçois la très douce aventure. J’ai
peur
du dard de feu de cette abeille, Arcture, Qui pos
nt le fleuve et tachée d’ombre Fuyaient tremblant de
peur
Comme des chevaliers indignes les autos Tandis qu
ient d’entrer dans sa quatre-vingtième année, Allait se confesser, de
peur
d’être damnée. Elle parle d’abord de ceci, de cel
oit passer le guet Avec ses vingt lueurs et son cri fatigué Elles ont
peur
de l’ombre et de l’heure prochaine De l’ombre o
trembleront d’effroi les puissants. les ricombres, Quand en signe de
peur
ils dresseront leurs mains, Calmes devant le feu,
ier, se désole. * * * [« A la fin, les mensonges ne me font plus
peur
»] A la fin, les mensonges ne me font plus pe
s ne me font plus peur »] A la fin, les mensonges ne me font plus
peur
. C’est la lune qui cuit comme un œuf sur le plat.
umière où j’ai cueilli des bouquets Tu dois en avoir assez de faire
peur
à ce ciel
ent, Car le gruyère est fait avec du lait de vache, O crâne dont j’ai
peur
en mon âme bravache ! O tête, j’ai baisé tes dent
souffle les flambeaux à cause des convives Qui se fiant au Bègue ont
peur
d’être brûlés
souffle les flambeaux à cause des convives Qui se fiant au Bègue ont
peur
d’être brûlés. » Guillaume Apollinaire.
▲