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1 (1914) 696666---69---- « 696666---6 9---- »
69 : dualité, trinité. Et ces arcanes seraient plus sombres Mais j’ai peur de les sonder ; Qui sait si là n’est pas l’éterni
là n’est pas l’éternité, Par delà la mort camuse Qui s’amuse A faire peur  ; Et l’ennui m’emmantelle Comme un vague linceul
2 (1917) Poèmepréfaceprophétie - 3
Qu’à l’abord il surprend désagréablement         C’est qu’il n’a pas peur         Qu’on l’appelle un « primaire » On aurait
3 (1901) Lunaire « Lunaire »
t un rayon de miel. Or, caché je conçois la très douce aventure. J’ai peur du dard de feu de cette abeille, Arcture, Qui pos
4 (1913) Rolandseck « Rolandseck »
nt le fleuve et tachée d’ombre                  Fuyaient tremblant de peur Comme des chevaliers indignes les autos Tandis qu
5 (1910) La Confession « La Confession »
ient d’entrer dans sa quatre-vingtième année, Allait se confesser, de peur d’être damnée. Elle parle d’abord de ceci, de cel
6 (1914) Tour de Pise « Tour de Pise »
oit passer le guet Avec ses vingt lueurs et son cri fatigué Elles ont peur de l’ombre et de l’heure prochaine De l’ombre o
7 (1903) Avenir « Avenir »
trembleront d’effroi les puissants. les ricombres, Quand en signe de peur ils dresseront leurs mains, Calmes devant le feu,
8 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
ier, se désole. * *  * [« A la fin, les mensonges ne me font plus peur  »] A la fin, les mensonges ne me font plus pe
s ne me font plus peur »] A la fin, les mensonges ne me font plus peur . C’est la lune qui cuit comme un œuf sur le plat.
9 (1917) La Victoire « La Victoire »
umière où j’ai cueilli des bouquets Tu dois en avoir assez de faire peur à ce ciel                                        
10 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
ent, Car le gruyère est fait avec du lait de vache, O crâne dont j’ai peur en mon âme bravache ! O tête, j’ai baisé tes dent
11 (1911) Le Larron « Le Larron »
souffle les flambeaux à cause des convives Qui se fiant au Bègue ont peur d’être brûlés
12 (1903) Le Larron « Le Larron »
souffle les flambeaux à cause des convives Qui se fiant au Bègue ont peur d’être brûlés. » Guillaume Apollinaire.
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