Christophe Colomb à qui l’on devra l’oubli d’un continent
Perdre
Mais perdre vraiment Pour laisser place à la t
omb à qui l’on devra l’oubli d’un continent Perdre Mais
perdre
vraiment Pour laisser place à la trouvaille
tophe Colomb à qui l’on devra l’oubli d’un continent ???
Perdre
Mais perdre vraiment Pour laisser place à la t
qui l’on devra l’oubli d’un continent ??? Perdre Mais
perdre
vraiment Pour laisser place à la trouvaille
comme un ours privé Dansa debout quand nous voulûmes Et l’oiseau bleu
perdit
ses plumes Et les mendiants leurs Ave. On sait
me un ours privé, Dansa debout quand nous voulûmes ; Et l’oiseau bleu
perdit
ses plumes Et les mendiants leurs Ave. On sait
pas répond-il je m’en fous Je lui réponds M’sieu c’est désolant J’ai
perdu
mon balai de chiendent Je regarde dans le
braves douaniers. Le malheur s’acharna sur ta progéniture 1 , Tu
perdis
tes enfants et tes femmes aussi Et te remarias av
1. [Note de Maurice Raynal] Le poète croyait alors que Rousseau avait
perdu
ses enfants. Or, une de ses filles vit encore. Le
es lucioles Et derrière les murs des flûtes des violes Disent l’amour
perdu
que l’on veut retrouver Puis quand les inconnus
é sous le plus beau des cieux Dans Nice la Marine au nom victorieux
Perdu
parmi 900 conducteurs anonymes Je suis un charret
Les démons du hasard selon Le chant du firmament nous mènent. A sons
perdus
, leurs violons Font danser notre race humaine Sur
ie et l’Infanterie Blessé à la tête trépané sous le chloroforme Ayant
perdu
ses meilleurs amis dans l’effroyable lutte Je sai
faux amour confondu Avec la femme qui s’éloigne, Avec celle que j’ai
perdue
L’année dernière, en Allemagne Et que je ne rever
leurs attitudes Devinrent bientôt moins funèbres. Le ciel et la terre
perdirent
Leur aspect fantasmagorique. Les morts se réjou
t un bonheur inespéré Et si certain Qu’ils ne craignaient point de le
perdre
. Ils vivaient si noblement Que ceux, qui, la ve
leurs attitudes Devinrent bientôt moins funèbres. Le ciel et la terre
perdirent
Leur aspect fantasmagorique. Les morts se réjou
t un bonheur inespéré Et si certain Qu’ils ne craignaient point de le
perdre
. Ils vivaient si noblement Que ceux, qui, la ve
ert de l’amour à vingt et à trente ans J’ai vécu comme un fou et j’ai
perdu
mon temps Tu n’oses plus regarder la croix et à t
ert de l’amour à vingt et à trente ans J’ai vécu comme un fou et j’ai
perdu
mon temps Tu n’oses plus regarder la croix et à t