Rosemonde Vers le palais de Rosemonde au fond du Rêve Mes rêveuses
pensées
pieds nus vont en soirée Le palais don du roi com
ettées des roses de la roseraie On voit venir au fond du jardin mes
pensées
Qui sourient du concert joué par les grenouilles
re Ses petits yeux tout ronds pareils aux yeux des Huns Dame de mes
pensées
au cul de perle fine Dont ni perle ni cul n’égale
l’Orient Qui donc attendez-vous Mes plus belles voisines De rêveuses
pensées
en marche à l’Orient Toc toc Entrez dans l’anti
du bouillon Puis les marmitons apportèrent les viandes Des rôtis de
pensées
mortes dans mon cerveau Mes beaux rêves mort-nés
ches bien saignantes Et mes souvenirs faisandés en godiveaux Or ces
pensées
mortes depuis des millénaires Avaient le fade goû
elle et mirotons Langues de feu où sont-elles mes pentecôtes Pour mes
pensées
de tous pays de tous les temps
Dans le Palais de Rosemonde On voit venir, au fond du jardin, mes
pensées
Qui sourient du concert joué par les grenouilles.
ouillon. Puis, les marmitons apportèrent les viandes : Des rôtis de
pensées
mortes dans mon cerveau, Mes beaux rêves morts-né
bien saignantes, Et, mes souvenirs faisandés en godiveaux. Or, ces
pensées
mortes depuis des millénaires Avaient le fade goû
et mirotons ? Langues de feu, où sont-elles, mes pentecôtes, Pour mes
pensées
de tous pays, de tous les temps ? Guillaume Apo
Le surnom de sa Vie sera le Désespoir Et le rire de tous l’écho de sa
Pensée
. O douce Vie, ô doux Amour que je rebute Tendre
Fusée La boucle des cheveux noirs de ta nuque est mon trésor Ma
pensée
te rejoint et la tienne la croise * * * Tes s
t pleure ou râle, Déplorée par les saules pâles. Roule de vulgaires
pensées
, Vieilles et saines et sensées, Le gars ! ô l’hom
obus aux gerbes merveilleuses Sa
pensée
se recueille aux trauchées glorieuses [obu
berceaux pleins de cris que tu n’entendras pas Et d’amont en aval nos
pensées
ô rivières Les oreilles des écoles et nos mains r
oudain ta voix impérieuse O Rome Maudire d’un seul coup mes anciennes
pensées
Et ce ciel où l’amour guide les destinées Les f
s trépassés qui sont un sous mon front L’éclair qui luit ainsi qu’une
pensée
naissante Tous les noms six par six les nombres u
que j’ai creusé moi-même C’est à toi que je songe ITALIE mère de mes
pensées
Et dejà quand von Kluck marchait sur Paris avan
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