O Roses O France        Nous nous pâmons de volupté        A ton cou penché vers l’Est           Nous sommes l’Arc-en-terre  

closent la nuit         O Roses Nous nous pâmons de volupté A ton cou penché vers l’Est Nous sommes l’Arc-en-terre Signe plus

t la nuit               O Roses Nous nous pâmons de volupté A ton cou penché vers l’Est Nous sommes l’Arc-en-terre Signe plus

rir d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et soudain sa tête se penche   Car une rose lui redit La molle courbe d’une ha

rir d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et soudain sa tête se penche    Car une rose lui redit La molle courbe d’une h

rir d’espérance. Il songe aux roses de Saadi… Et soudain sa tête se penche , car une rose lui redit la molle courbe d’une han

sur les perrons en écoutant mourir La source qui languit les Pisanes penchées Comme leur Tour et par la mort effarouchées Atten

sans regretter les vies. Il y aura du sang et sur les rouges mares Penchés , nous mirerons nos faces calmement Et nous regard

sanglotent dans les cours grises ; Les fleurs, aux balcons de Paris, Penchent comme la tour de Pise. Soirs de Paris, ivres du

lle. Mon cœur devient si doux. C’est mon amant qui vient. — Elle se penche alors et tombe dans le Rhin. Pour avoir vu dans

usées qui illuminent la nuit Elles montent sur leur propre cime et se penchent pour regarder Ce sont des dames qui dansent avec

illi de la mélinite Le parc aux fleurs de fulminate jaillit des trous penchés Tas de cloches aux doux sons des douilles rutilan

journée. Toute la sainte journée, j’ai marché en chantant, Une dame, penchée à sa fenêtre, m’a regardé longtemps, M’éloigner e