’art avant la guerre et l’essor magnifique qui emportera les nouveaux
peintres
mais il vaut mieux ne pas figurer cette idée-là
ognent Et maintenant Ni le dimanche ni les jours de la semaine Ni les
peintres
ni Maupassant ne se promènent Bras nus sur leurs
i la douane Et gardant ce surnom : le douanier, Je ne suis pas, des
peintres
, le dernier. Or, dans mon souvenir, une fenêtre S
t vivaient à Cologne, Le haricot poussait dans un jardin rhénan Et le
peintre
ayant vu de hauts vols de cigognes Peignit les sé
de les boire En criant tous en chœur : « Vive ! Vive Rousseau ! » O
peintre
glorieux de l’alme République, Ton nom est le dra
qu’il Interrogeât mon ombre Je connais un sourcier c’est le
peintre
norvégien Diriks Miroir brisé sel renversé ou p
tement d’un père, grand fabricant de pianos. Ne voulant pas qu’il fût
peintre
, il exigeait que son fils devint un industriel. C