Les poils de cette chèvre et même Ceux d’or pour qui prit tant de peine Jason, ne valent rien au prix Des cheveux dont je

         Et bêtes comme chou Petits bateaux vous me faites bien de la peine Au bord de l’île

prière Dans la bruyère Toutes les filles A la fontaine J’ai tant de peine J’ai tant d’amour Dit la plus belle Qu’il soit

poisson rouge dans le bocal              De ta voix Mais ce regret A peine une infirmière plus blanche que l’hiver Eblouissa

ivre ancien sous le bras                    Le fleuve est pareil à ma peine                    Il s’écoule et ne tarit pas   

ours, faut-il qu’il m’en souvienne ? La joie venait toujours après la peine .                Vienne la nuit. sonne l’heure,

Un livre ancien sous le bras.               Le fleuve est pareil à ma peine ,               Il s’écoule et ne tarit pas       

rdu que l’on veut retrouver Puis quand les inconnus ont évoqué leur peine Ou qu’ils s’en vont à l’heure où doit passer le g

infortune Voir flamber l’aurore, l’électre du matin. Tu méprises ma peine et la tienne peut-être ; Ta douleur de toujours,

damascène. O mon amour, je t’aimais trop, Et maintenant j’ai trop de peine . Les sept épées hors du fourreau !… Sept épées