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1 (1908) La Chenille « La Chenille »
La Chenille Le travail mène à la richesse, Pauvres poètes, travaillons ! La chenille en peinant sans
2 (1908) Le Hibou « Le Hibou »
Le Hibou Mon pauvre cœur est un hibou Qu’on cloue, qu’on décloue, qu’
3 (1912) Cors de chasse « Cors de chasse »
que. Et Thomas de Quincey buvant L’opium poison doux et chaste A sa pauvre Anne allait rêvant. Passons, passons, puisque tou
4 (1905) Automne « Automne »
n bœuf, lentement, dans le brouillard d’automne Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux. En s’en allant là-bas le paysan
5 (1917) à Yeta Daesslé « à Yeta Daesslé »
iez les nouvelles Vous étiez un cerveau pour toutes les cervelles Des pauvres spectateurs qui ne le savaient pas Qu’il leur fau
6 (1917) Allons plus vite « Allons plus vite »
                                          Enfant souris ô sœur écoute Pauvres marchez sur la grand route                       
7 (1914) Un dernier chapitre « Un dernier chapitre »
fants ou en ayant d’autres accrochés à leurs jupes Il vint des femmes pauvres mais effrontées plâtrées maquillées aux gestes ét
8 (1917) Sanglots « Sanglots »
isait                         qui sont les effets d’autres causes Mon pauvre cœur mon cœur brisé Pareil au cœur de tous les ho
9 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
les yeux Voilà une jolie jeune feuille parmi les jeunes Turinaises Le pauvre jeune homme se mouchait dans sa cravate blanche T
10 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
r les yeux Voilà une jolie jeune fille parmi les jeunes Turinaises Le pauvre jeune homme se mouchait dans sa cravate blanche T
11 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
aux, ce matin, je ne me suis pas dit : Voilà les riches vêtements des pauvres  ; Ni : la pudeur démocratique veut me voiler sa d
s des mêmes paroles dont il faudra changer le sens, Trompés, trompés, pauvres petits, et ne sachant pas encore rire. La table e
12 (1913) Arbre « Arbre »
illé pendu à l’étal Un enfant Et cette banlieue de sable autour d’une pauvre ville au fond de l’Est Un douanier se tenait là
13 (1916) Arbre « Arbre »
illé pendu à l’étal Un enfant Et cette banlieue de sable autour d’une pauvre ville au fond de l’Est Un douanier se tenait là
14 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
o O gai trémolo   ô gai trémolo Il ne rit pas   l’artiste-peintre Ton pauvre   étincellement pâle L’ombre agile   d’un soir d’
15 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
e à mes vœux ! Pour son baiser les rois du monde Seraient morts ; des pauvres fameux Pour elle eussent vendu leur ombre. J’ai
16 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
bes. Des corbeaux éployés comme des tildes font Une ombre vaine aux pauvres champs de seigle mûr, Non loin des bourgs où des
s comme leur sang Des poétesses nues, des fées, des fornarines. Aucun pauvre désir ne gonfle ma poitrine Lorsque je vois, le s
17 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
aux morts aux sapins aux canons Priez pour moi Bon Dieu ! je suis le pauvre Pierre                Boyaux et rumeur du canon
18 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
j’eusse été tôt lasse et l’aubépine en fleur « Cet avril aurait eu la pauvre confidence « D’un corps de vieille morte en miman
19 (1917) La Victoire « La Victoire »
je rêve et les feuillards agitent Leurs feuilles qui ressemblent à de pauvres marins Ailés et tournoyants comme Icare le faux
20 (1912) Zône « Zône »
tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants Ils croient en Dieu ils prient les femm
immense pour les coutures de son ventre J’humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’éloi
21 (1913) Zône « Zône »
tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants Ils croient en Dieu ils prient les femm
immense pour les coutures de son ventre J’humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’éloi
22 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
oucliers d’argent Fuit les dendrophores livides Du printemps cher aux pauvres gens Qui resourient les yeux humides. Et moi j’
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