La Chenille Le travail mène à la richesse,
Pauvres
poètes, travaillons ! La chenille en peinant sans
que. Et Thomas de Quincey buvant L’opium poison doux et chaste A sa
pauvre
Anne allait rêvant. Passons, passons, puisque tou
n bœuf, lentement, dans le brouillard d’automne Qui cache les hameaux
pauvres
et vergogneux. En s’en allant là-bas le paysan
iez les nouvelles Vous étiez un cerveau pour toutes les cervelles Des
pauvres
spectateurs qui ne le savaient pas Qu’il leur fau
fants ou en ayant d’autres accrochés à leurs jupes Il vint des femmes
pauvres
mais effrontées plâtrées maquillées aux gestes ét
isait qui sont les effets d’autres causes Mon
pauvre
cœur mon cœur brisé Pareil au cœur de tous les ho
les yeux Voilà une jolie jeune feuille parmi les jeunes Turinaises Le
pauvre
jeune homme se mouchait dans sa cravate blanche T
r les yeux Voilà une jolie jeune fille parmi les jeunes Turinaises Le
pauvre
jeune homme se mouchait dans sa cravate blanche T
aux, ce matin, je ne me suis pas dit : Voilà les riches vêtements des
pauvres
; Ni : la pudeur démocratique veut me voiler sa d
s des mêmes paroles dont il faudra changer le sens, Trompés, trompés,
pauvres
petits, et ne sachant pas encore rire. La table e
illé pendu à l’étal Un enfant Et cette banlieue de sable autour d’une
pauvre
ville au fond de l’Est Un douanier se tenait là
illé pendu à l’étal Un enfant Et cette banlieue de sable autour d’une
pauvre
ville au fond de l’Est Un douanier se tenait là
o O gai trémolo ô gai trémolo Il ne rit pas l’artiste-peintre Ton
pauvre
étincellement pâle L’ombre agile d’un soir d’
e à mes vœux ! Pour son baiser les rois du monde Seraient morts ; des
pauvres
fameux Pour elle eussent vendu leur ombre. J’ai
bes. Des corbeaux éployés comme des tildes font Une ombre vaine aux
pauvres
champs de seigle mûr, Non loin des bourgs où des
s comme leur sang Des poétesses nues, des fées, des fornarines. Aucun
pauvre
désir ne gonfle ma poitrine Lorsque je vois, le s
aux morts aux sapins aux canons Priez pour moi Bon Dieu ! je suis le
pauvre
Pierre Boyaux et rumeur du canon
j’eusse été tôt lasse et l’aubépine en fleur « Cet avril aurait eu la
pauvre
confidence « D’un corps de vieille morte en miman
je rêve et les feuillards agitent Leurs feuilles qui ressemblent à de
pauvres
marins Ailés et tournoyants comme Icare le faux
tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les yeux pleins de larmes ces
pauvres
émigrants Ils croient en Dieu ils prient les femm
immense pour les coutures de son ventre J’humilie maintenant à une
pauvre
fille au rire horrible ma bouche La nuit s’éloi
tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les yeux pleins de larmes ces
pauvres
émigrants Ils croient en Dieu ils prient les femm
immense pour les coutures de son ventre J’humilie maintenant à une
pauvre
fille au rire horrible ma bouche La nuit s’éloi
oucliers d’argent Fuit les dendrophores livides Du printemps cher aux
pauvres
gens Qui resourient les yeux humides. Et moi j’