se parlent par-dessus l’eau Et sur le pont de leurs paroles La foule
passe
et repasse en dansant un dieu tu
Tous les enfants savent pourquoi
Passe
mais passe donc
enfants savent pourquoi Passe mais
passe
donc Ne te retou
s Hi ! oh ! là-bas là-bas Les jeunes filles qui
passent
sur le pont léger
Dans ce fleuve à tous étranger Qui vient de loin qui va si loin Et
passe
sous le pont léger de vos paroles O Ba
buvant L’opium poison doux et chaste A sa pauvre Anne allait rêvant.
Passons
, passons, puisque tout passe, Je me retournerai s
’opium poison doux et chaste A sa pauvre Anne allait rêvant. Passons,
passons
, puisque tout passe, Je me retournerai souvent.
chaste A sa pauvre Anne allait rêvant. Passons, passons, puisque tout
passe
, Je me retournerai souvent. Les souvenirs sont
ns les mains, restons face à face Tandis que sous le pont de nos bras
passe
Des éternels regards l’onde si lasse.
uit, sonne l’heure, Les jours s’en vont, je demeure.
Passent
les jours et passent les semaines, Ni temps passé
Les jours s’en vont, je demeure. Passent les jours et
passent
les semaines, Ni temps passé, ni les amours revie
nt, je demeure. Passent les jours et passent les semaines, Ni temps
passé
, ni les amours reviennent ; Sous le pont Mirabeau
A l’Italie (incipit : « Italie des temps
passés
de tous les temps ») Italie des temps passés d
: « Italie des temps passés de tous les temps ») Italie des temps
passés
de tous les temps Je t’aime
sur la rive verte La nonne de Roland dans l’île Nonnenwerth Semblait
passer
ancienne parmi les fillettes Les sept montagnes
endais le bac rectangulaire Des gens descendant venaient aussi pour
passer
le fleuve Trois dames au parler hanovrien Effeuil
magique, ô délire ! Mes doigts sûrs font sonner la lyre. Les animaux
passent
aux sons De ma tortue, de mes chansons.
rloge)] [horloge] il y en a tant qui fument des cigarettes pour
passer
le temps/ pardonne à celui qui connaît la source
Hôtel Ma chambre a la forme d’une cage Le soleil
passe
son bras par la fenêtre Mais moi qui veux fumer p
Flocons de laine et ceux d’argent Des soldats
passent
et que n’ai-je Un cœur à moi c
Que jonchent aussi nos aveux Je
passais
au bord de la Seine Un livre a
utation Une femme qui pleurait Eh Oh Ha Des soldats qui
passaient
Eh Oh Ha Un éclusier qui pêchait Les tran
n Une femme qui pleurait Eh Oh Ha Des soldats qui
passaient
Eh Oh Ha Un éclusier qui pêchait Le
La Chaste Lise La journée a été longue Elle est
passée
enfin Demain sera ce que fut aujourd’hui Et là-ba
Flocons de laine et cieux d’argent, Des soldats
passent
et que n’ai-je Un cœur à moi, ce cœ
tomne Que jonchent aussi nos aveux ? Je
passais
au bord de la Seine, Un livre ancie
inconnus ont évoqué leur peine Ou qu’ils s’en vont à l’heure où doit
passer
le guet Avec ses vingt lueurs et son cri fatigué
ô belles délicates Ne sera-ce pas l’heure enfin d’avoir sommeil Quand
passera
le guet avec son cri pareil Aux plaintes de l’amo
ue j’aime Parmi lesquels je n’étais pas. Les géants couverts d’algues
passaient
dans leurs villes Sous-marines où les tours seule
n chemin Je l’appris de leur bouche et je le parle encore. Le cortège
passait
et j’y cherchais mon corps, Tous ceux qui survena
moi-même Qu’ont formé tous les corps et les choses humaines. Temps
passés
, trépassés, les dieux qui me formâtes Je ne vis q
assés, les dieux qui me formâtes Je ne vis que passant ainsi que vous
passâtes
Et détournant mes yeux de ce vide avenir En moi-m
Et détournant mes yeux de ce vide avenir En moi-même je vois tout le
Passé
grandir. Rien n’est mort que ce qui n’existe pa
ssé grandir. Rien n’est mort que ce qui n’existe pas encore Près du
passé
luisant demain est incolore, Il est informe aussi
sparaîtra. Les déités des eaux vives Laissent couler leurs cheveux…
Passe
! Il faut que tu poursuives Cette belle ombre que
Où le crapaud module un tendre cri d’azur La biche du silence éperdu
passait
vite Un rossignol meurtri par l’amour chantait su
Où le crapaud module un tendre cri d’azur La biche du silence éperdu
passait
vite Un rossignol meurtri par l’amour chantait su
A maman On ne peut dire Rien Rien de ce qui se
passe
Mais on change de secteur Ah ! voyageur ég
n On ne peut dire Rien Rien de ce qui se
passe
Mais on change de secteur Ah ! voyageur ég
ù le crapaud module un tendre cri d’azur La biche du silence éperdu
passe
vite Un rossignol meurtri par l’amour chante su
aux pieds. Ils regardaient la vaste plaine, En parlant entre eux du
passé
Et ne se retournant qu’à peine, Quand un obus ava
Une femme se promène souvent Dans le jardin toute seule, Et quand je
passe
sur la route, bordée de tilleuls, Nous nous regar
L’Horloge de demain [browning] il te revient des parfums
passés
mais tu vois des êtres qui vont exister qui se pr
langère et son mari Et puis Gertrude, ma cousine Souriront quand je
passerai
. Je ne saurai plus où me mettre. Tu seras loin. J
Aubade chantée à Lætare un an
passé
C’est le printemps, viens-t’en, Pâquette, Te p
res spectateurs qui ne le savaient pas Qu’il leur faut des enfants ou
passer
au trépas Vous fûtes par deux fois la presse qu
comme l’on s’amuse bien [bord droit de la montre] la beauté de la vie
passe
la douleur de mourir [heures] Mon cœur les yeux l
ne en mesure les cymbales. L’aveugle berce un bel enfant ; La biche
passe
avec ses faons ; Le nain regarde d’un air triste
Sonne en mesure les cymbales L’aveugle berce un bel enfant La biche
passe
avec ses faons Le nain regarde, d’un air triste,
ne faut pas que l’on marche Et vous rêvez D’aller
passer
votre Dimanche à Garches Il fait un peu lourd e
sportait quatre mille cigares. Je lui dressai procès-verbal. Ce temps
passa
. Des noms : Gauguin, Cézanne Me hantaient. Pour l
veillant dans les volets du tryptique Pensent béatement aux martyres
passés
Et s’extasient d’ouïr le plain-chant des cantique
n’étaient pas chanteurs. Voici ma vie renouvelée, De grands vaisseaux
passent
et repassent. Je trempe une fois encore mes mains
eps de vigne comme l’hermine sur un écu Bonjour soldats Je les ai vus
passer
et repasser en courant Bonjour soldats bouteilles
Le Système métrique Invités à
passer
la soirée Dans
le feu Que je transporte et que j’adore De vives mains et même feu Ce
passé
, ces têtes de morts. Flamme, je fais ce que tu ve
e que pendant le sabbat on ne doit pas fumer Tandis que les chrétiens
passent
avec des cigares allumés, Et parce qu’Ottomar et
’oripeau. Va. L’histrion tire la langue aux attentives. J’attends que
passe
Thanatos et son troupeau. [Guillaume Apollinaire
J’ai enfin le droit de saluer des êtres que je ne connais pas Ils
passent
devant moi et s’accumulent au loin Tandis que tou
-Martin Jouant l’air que je chante et que j’ai inventé Les femmes qui
passaient
s’arrêtaient près de lui Il en venait de toutes p
mone et toi Mavise Et toi Colette et toi la belle Geneviève Elles ont
passé
tremblantes et vaines Et leurs pas légers et pres
la mort. Au loin, près d’un feu, chantaient des bohémiennes. Un train
passait
, les yeux ouverts sur l’autre bord… Nous regardio
waguemestre On est bien plus serré que dans les autobus Et des astres
passaient
que singeaient les obus Quand dans la nuit survin
vaguemestre On est bien plus serré que dans les autobus Et des astres
passaient
que singeaient les obus Quand dans la nuit survin
u vaguemestre On était plus serrés que dans les autobus Et des astres
passaient
que singeaient les obus Quand dans la nuit survin
le feu Que je transporte et que j’adore De vives mains et même feu Ce
passé
, ces têtes de morts. Flamme, je fais ce que tu ve
n’étaient pas chanteurs Voici ma vie renouvelée De grands vaisseaux
passent
et repassent Je trempe une fois encore mes mains
Souvenir des Flandres J’ai goûté sur la dune où Dante a dû
passer
Les couchants langoureux des pensives Zélandes ;
le feu Que je transporte et que j’adore De vives mains et même feu Ce
passé
, ces têtes de morts. Flamme, je fais ce que tu ve
taient pas chanteurs ! Voici ma vie renouvelée, De grands vaisseaux
passent
et repassent, Je trempe une fois encore mes mains
craie semée de branches Comme un fantôme creux qui met du vide où il
passe
blanchâtre Et là-haut le toit est bleu et couvre
rs joyaux dorés à tête émaillée Funambules qui attendent leur tour de
passer
sur les trajectoires Et font un ornement mince et
la mieux inspirée La plus précise Tout ce qu’elle m’a dit du
passé
était vrai et tout ce qu’elle M’a annoncé s’est v
Christine La mère de la concierge et la concierge laisseront tout
passer
Si tu es un homme tu m’accompagneras ce soir Il s
sa bouche ô Paris tire et tirera toujours aux Allemands Un officier
passe
au galop Comme un ange bleu dans la plue grise Un
le mythe des veuves, Ni l’honneur d’obéir, ni le son du canon, Ni le
passé
, car les clartés de l’aube neuve Ne feront plus v
leur ombre et l’observaient Comme si véritablement C’eût été leur vie
passée
. Alors, je les dénombrai. Ils étaient quarante-
stes Des plus anciens monuments Poétiques De l’humanité. L’étudiant
passa
une bague A l’annulaire de la jeune morte : — Voi
re derrière les vitrines. Ils ne se doutaient pas De ce qui s’était
passé
, Mais les vivants en gardaient le souvenir. C’éta
leur ombre et l’observaient Comme si véritablement C’eût été leur vie
passée
. Alors, je les dénombrai. Ils étaient quarante-
stes Des plus anciens monuments Poétiques De l’humanité. L’étudiant
passa
une bague A l’annulaire de la jeune morte : Voici
re derrière les vitrines. Ils ne se doutaient pas De ce qui s’était
passé
, Mais les vivants en gardaient le souvenir. C’éta
o-dactylographes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y
passent
Le matin par trois fois la sirène y gémit Une clo
somnie et dans l’angoisse Et c’est toujours près de toi la métive qui
passe
Maintenant tu es au bord de la Méditerranée Sou
loue des chambres en latin Cubicula locanda Je m’en souviens j’y ai
passé
trois jours et autant à Gouda Tu es à Paris che
nodactylographes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y
passent
Le matin par trois fois la sirène y gémit Une clo
somnie et dans l’angoisse Et c’est toujours près de toi la métive qui
passe
Maintenant tu es au bord de la Méditerranée Sous
y loue des chambres en latin Cubicula locanda Je m’en souviens j’y ai
passé
trois jours et autant à Gouda Tu es à Paris che
Les mannequins victimes, Et
passaient
enchaînées. Intercalées dans l’an, c’étaient les
es fameux Pour elle eussent vendu leur ombre. J’ai hiverné dans mon
passé
. Revienne le soleil de Pâques Pour chauffer un cœ
Alors sans bruit, sans qu’on pût voir rien de vivant, Contre le mont
passèrent
des ombres vivaces, De profil ou soudain tournant
Les mannequins victimes, Et
passaient
enchaînées. Intercalées dans l’an, c’étaient le
ient aux éclairs Un homme bègue ayant au front deux jets de flammes
Passa
menant un peuple infime pour l’orgueil De manger
mipares Aux crapauds que l’azur et les sources mûrirent Un triomphe
passait
gémir sous l’arc-en-ciel Avec de blêmes laurés de
ent aux éclairs. Un homme bègue ayant au front deux jets de flammes
Passa
, menant un peuple infime pour l’orgueil De manger
pares Où des fruits doux et vénéneux pour eux mûrirent. Un triomphe
passait
gémir sous l’arc-en-ciel Avec de blêmes laurés de
et la dulie, Et sombre, sombre fleuve, je me rappelle Les ombres qui
passaient
n’étaient jamais jolies. * * * [« Je n’ai pl
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