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1 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
é le lit où je coule en me ramifiant en mille petits fleuves qui vont partout Je suis dans la tranchée de première ligne et cep
rtout Je suis dans la tranchée de première ligne et cependant je suis partout je commence à être partout C’est moi qui commence
hée de première ligne et cependant je suis partout je commence à être partout C’est moi qui commence cette chose des siècles à
r l’histoire de Guillaume Apollinaire Qui fut à la guerre et sut être partout Dans les villes heureuses de l’arrière Dans ceux
Si je pouvais supposer que toutes ces choses dans lesquelles je suis partout Pouvaient m’occuper aussi Mais dans ce sens il n’
’occuper aussi Mais dans ce sens il n’y a rien de fait Car si je suis partout à cette heure il n’y a cependant que moi qui suis
2 (1917) à Louise Marion « à Louise Marion »
s d’avortons Votre voix a changé l’avenir de la France Et les ventres partout tressaillent d’espérance.
3 (1914) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
télégraphique] [oiseau] télégraphe oiseau qui laisse tomber ses ailes partout [train] où va donc ce train qui meurt au loin dan
4 (1915) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
oyage de Dante [oiseau] télégraphe oiseau qui laisse tomber ses ailes partout [train] où va donc ce train qui meurt au loin dan
5 (1914) Le tabac à priser « Le tabac à priser »
messieurs de la ville s’en sont venus dîner Les olives sont mûres et partout l’on entend Les chants des oliveuses sous les oli
6 (1914) 696666---69---- « 696666---6 9---- »
que et cabalistique ; 6 : 3 et 3 9 : 3, 3 et 3. La trinité La trinité partout Qui se retrouve Avec la dualité ; Car 6 : deux fo
7 (1915) Venu de Dieuze « Venu de Dieuze »
à ton approche Couple des marais les turquoises         Hennissements partout Amour sacré amour de la Patrie            Le Géné
8 (1915) Venu de Dieuze « Venu de Dieuze »
à ton approche Couple des marais les turquoises         Hennissements partout Amour sacré amour de la Patrie            Le Géné
9 (1918) Océan de terre « Océan de terre »
es sont les fleuves qui s’écoulent de mes yeux Des poulpes grouillent partout où se tiennent les murailles Entendez battre leur
10 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
comparez A ceux qui furent la perfection de l’ordre Nous qui quêtons partout l’aventure Nous ne sommes pas vos ennemis Nous
nt Dans les roses-thé qui se fanent Mais riez riez de moi Hommes de partout et surtout gens d’ici Car il y a tant de choses q
11 (1917) Le Vigneron champenois « Le Vigneron champenois »
e Echelonnés ainsi que sont les ceps de vigne J’envoie mes bouteilles partout comme les obus d’une charmante artillerie La nuit
12 (1913) Ispahan « Ispahan »
fait Un voyage plus long encore Ton soleil n’est pas celui Qui luit Partout ailleurs Et tes musiques qui s’accordent avec l’a
13 (1902) Élégie du voyageur aux pieds blessés « Élégie du voyageur aux pieds blessés »
i poudroient. Tout rouges de ton sang et froids, Les dieux narquois partout se meurent Et s’émeuvent les enchanteurs, Les fle
14 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
oisonne d’hermine les chevaux de frise                  Que l’on voit partout                         Abandonnés et sinistres  
15 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
ainsi sur le dos La teinte ignoble de ses poumons Les bras, les bras partout montaient la garde Le second saltimbanque N’était
16 (1917) La Victoire « La Victoire »
t l’ardente moquerie            Ce rire se répand                      Partout Parlez avec les mains faites claquer vos doigts
17 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
inséparable de ce qu’il dévore et fugitif Les fils de fer se tendent partout servant de sommier supportant des planches Ils fo
18 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
si sur le dos La teinte ignoble de ses poumons. Les bras, les bras, partout montaient la garde. Le second saltimbanque N’ét
19 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
D’ITALIE Ondes nuages délétères Metalliques débris qui vous rouillez partout O frères d’ITALIE vos plumes sur la tête     
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