é le lit où je coule en me ramifiant en mille petits fleuves qui vont
partout
Je suis dans la tranchée de première ligne et cep
rtout Je suis dans la tranchée de première ligne et cependant je suis
partout
je commence à être partout C’est moi qui commence
hée de première ligne et cependant je suis partout je commence à être
partout
C’est moi qui commence cette chose des siècles à
r l’histoire de Guillaume Apollinaire Qui fut à la guerre et sut être
partout
Dans les villes heureuses de l’arrière Dans ceux
Si je pouvais supposer que toutes ces choses dans lesquelles je suis
partout
Pouvaient m’occuper aussi Mais dans ce sens il n’
’occuper aussi Mais dans ce sens il n’y a rien de fait Car si je suis
partout
à cette heure il n’y a cependant que moi qui suis
s d’avortons Votre voix a changé l’avenir de la France Et les ventres
partout
tressaillent d’espérance.
télégraphique] [oiseau] télégraphe oiseau qui laisse tomber ses ailes
partout
[train] où va donc ce train qui meurt au loin dan
oyage de Dante [oiseau] télégraphe oiseau qui laisse tomber ses ailes
partout
[train] où va donc ce train qui meurt au loin dan
messieurs de la ville s’en sont venus dîner Les olives sont mûres et
partout
l’on entend Les chants des oliveuses sous les oli
que et cabalistique ; 6 : 3 et 3 9 : 3, 3 et 3. La trinité La trinité
partout
Qui se retrouve Avec la dualité ; Car 6 : deux fo
à ton approche Couple des marais les turquoises Hennissements
partout
Amour sacré amour de la Patrie Le Géné
à ton approche Couple des marais les turquoises Hennissements
partout
Amour sacré amour de la Patrie Le Géné
es sont les fleuves qui s’écoulent de mes yeux Des poulpes grouillent
partout
où se tiennent les murailles Entendez battre leur
comparez A ceux qui furent la perfection de l’ordre Nous qui quêtons
partout
l’aventure Nous ne sommes pas vos ennemis Nous
nt Dans les roses-thé qui se fanent Mais riez riez de moi Hommes de
partout
et surtout gens d’ici Car il y a tant de choses q
e Echelonnés ainsi que sont les ceps de vigne J’envoie mes bouteilles
partout
comme les obus d’une charmante artillerie La nuit
fait Un voyage plus long encore Ton soleil n’est pas celui Qui luit
Partout
ailleurs Et tes musiques qui s’accordent avec l’a
i poudroient. Tout rouges de ton sang et froids, Les dieux narquois
partout
se meurent Et s’émeuvent les enchanteurs, Les fle
oisonne d’hermine les chevaux de frise Que l’on voit
partout
Abandonnés et sinistres
ainsi sur le dos La teinte ignoble de ses poumons Les bras, les bras
partout
montaient la garde Le second saltimbanque N’était
t l’ardente moquerie Ce rire se répand
Partout
Parlez avec les mains faites claquer vos doigts
inséparable de ce qu’il dévore et fugitif Les fils de fer se tendent
partout
servant de sommier supportant des planches Ils fo
si sur le dos La teinte ignoble de ses poumons. Les bras, les bras,
partout
montaient la garde. Le second saltimbanque N’ét
D’ITALIE Ondes nuages délétères Metalliques débris qui vous rouillez
partout
O frères d’ITALIE vos plumes sur la tête
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