g du fleuve Elles se parlent par-dessus l’eau Et sur le pont de leurs
paroles
La foule passe et repasse en dansant un dieu
r Qui vient de loin qui va si loin Et passe sous le pont léger de vos
paroles
O Bavardes le long du fleuve
dans l’ombre terreuse. O mort certaine, ainsi soit-il ! Latin mortel,
parole
affreuse, Ibis, oiseau des bords du Nil."
mant tous deux et mal vêtus, attendant l’aube, Épris, épris des mêmes
paroles
dont il faudra changer le sens, Trompés, trompés,
femmes nues. Je le revis faisant ceci ou cela en l’honneur des mêmes
paroles
Qui changent la face des enfants et je dis toutes
fendre, Ni : parce que fondés en poésie nous avons des droits sur les
paroles
qui forment et défont l’univers, Ni : parce que n
tesse, à côté du Dauphin ? Mon cœur battait, battait très fort à sa
parole
, Quand je dansais dans le fenouil, en écoutant Et
mtesse à côté du Dauphin ? Mon cœur battait, battait très fort à sa
parole
, Quand je dansais dans le fenouil, en écoutant. E
mtesse à côté du Dauphin ? Mon cœur battait, battait très fort à sa
parole
, Quand je dansais dans le fenouil, en écoutant. E
ez-vous sur la joue comme sur un tambour O
paroles
Elles suivent dans la myrtaie
supporte que l’ombre Que jettent des oiseaux les ailes éployées La
parole
est soudaine et c’est un dieu qui tremble Avance
uveau avec la soie des prières Désaltère-toi Paris avec les divines
paroles
Que mes lèvres le Rhône et la Saône murmurent Tou
râle infini qui venait de Sicile Signifiait en battement d’ailes ces
paroles
Les raisins de nos vignes on les a vendangés Et
les répondaient maintenant par centaines Je ne distinguais plus leurs
paroles
lointaines Et Trèves la ville ancienne A leur voi
s enfants De ce monde ou bien de l’autre Chantaient de ces rondes Aux
paroles
absurdes et lyriques Qui, sans doute, sont les re
s enfants De ce monde ou bien de l’autre Chantaient de ces rondes Aux
paroles
absurdes et lyriques Qui, sans doute, sont les re
de votre Sacré-Cœur m’a inondé à Montmartre Je suis malade d’ouïr les
paroles
bienheureuses L’amour dont je souffre est une mal
votre Sacré-Cœur m’a inondé à Montmartre Je suis malade d’ouïr les
paroles
bienheureuses L’amour dont je souffre est une mal
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