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1 (1917) Le Pont « Le Pont »
g du fleuve Elles se parlent par-dessus l’eau Et sur le pont de leurs paroles La foule passe et repasse en dansant un dieu
r Qui vient de loin qui va si loin Et passe sous le pont léger de vos paroles            O Bavardes le long du fleuve          
2 (1908) Ibis « Ibis »
dans l’ombre terreuse. O mort certaine, ainsi soit-il ! Latin mortel, parole affreuse, Ibis, oiseau des bords du Nil."
3 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
mant tous deux et mal vêtus, attendant l’aube, Épris, épris des mêmes paroles dont il faudra changer le sens, Trompés, trompés,
femmes nues. Je le revis faisant ceci ou cela en l’honneur des mêmes paroles Qui changent la face des enfants et je dis toutes
fendre, Ni : parce que fondés en poésie nous avons des droits sur les paroles qui forment et défont l’univers, Ni : parce que n
4 (1905) Salomé « Salomé »
tesse, à côté du Dauphin ? Mon cœur battait, battait très fort à sa parole , Quand je dansais dans le fenouil, en écoutant Et
5 (2019) Salomé « Salomé »
mtesse à côté du Dauphin ? Mon cœur battait, battait très fort à sa parole , Quand je dansais dans le fenouil, en écoutant. E
6 (1911) Salomé « Salomé »
mtesse à côté du Dauphin ? Mon cœur battait, battait très fort à sa parole , Quand je dansais dans le fenouil, en écoutant. E
7 (1917) La Victoire « La Victoire »
ez-vous sur la joue comme sur un tambour                            O paroles           Elles suivent dans la myrtaie          
supporte que l’ombre Que jettent des oiseaux les ailes éployées La parole est soudaine et c’est un dieu qui tremble Avance
8 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
uveau avec la soie des prières Désaltère-toi Paris avec les divines paroles Que mes lèvres le Rhône et la Saône murmurent Tou
râle infini qui venait de Sicile Signifiait en battement d’ailes ces paroles Les raisins de nos vignes on les a vendangés Et
les répondaient maintenant par centaines Je ne distinguais plus leurs paroles lointaines Et Trèves la ville ancienne A leur voi
9 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
s enfants De ce monde ou bien de l’autre Chantaient de ces rondes Aux paroles absurdes et lyriques Qui, sans doute, sont les re
10 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
s enfants De ce monde ou bien de l’autre Chantaient de ces rondes Aux paroles absurdes et lyriques Qui, sans doute, sont les re
11 (1912) Zône « Zône »
de votre Sacré-Cœur m’a inondé à Montmartre Je suis malade d’ouïr les paroles bienheureuses L’amour dont je souffre est une mal
12 (1913) Zône « Zône »
votre Sacré-Cœur m’a inondé à Montmartre Je suis malade d’ouïr les paroles bienheureuses L’amour dont je souffre est une mal
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