à Juliette Norville Voici le temps Madame où
parlent
les gens d’armes J’en suis et c’est pourquoi susc
s gens d’armes J’en suis et c’est pourquoi suscitant les alarmes J’ai
parlé
Vous étiez sur votre beau cheval Vous représentie
Poème sans titre (incipit : « Vous me
parlez
d’un ministère ») Vous me parlez d’un ministèr
e sans titre (incipit : « Vous me parlez d’un ministère ») Vous me
parlez
d’un ministère Et des Lettres et des Beaux-Arts J
se de la ligne : Elle est la voix que la lumière fit entendre Et dont
parle
Hermès Trismégiste en son Pimandre.
tre-vingtième année, Allait se confesser, de peur d’être damnée. Elle
parle
d’abord de ceci, de cela, Puis ajoute : « Mon pèr
sse chaque année, ô mon père. » « Pourquoi
parler
alors De ce péché sexagénaire ? »
peine, Quand un obus avait toussé. Tous quatre de la classe seize,
Parlaient
d’antan, non d’avenir, Ainsi se prolongeait l’asc
nt là-bas le paysan chantonne Une chanson d’amour et d’infidélité Qui
parle
d’une bague et d’un cœur que l’on brise. Oh ! l
é allemand Mais que par bonheur j’eusse été près de vous Nous aurions
parlé
d’amour de façon imprécise Presque toujours en fr
en français Et pendue éperdument à mon bras Vous m’auriez écouté vous
parler
de Pythagoras En pensant aussi au café qu’on pren
s gens descendant venaient aussi pour passer le fleuve Trois dames au
parler
hanovrien Effeuillaient sans raison des roses dan
s amassés en grappes de raisin Ne sors plus de chez moi diamant qui
parlais
Dors doucement tu es chez toi tout t’appartient M
encore servir à la poésie Mais entêtons-nous à
parler
Remuons la langue
e moquerie Ce rire se répand Partout
Parlez
avec les mains faites claquer vos doigts Tapez-vo
s-tu cette joie de voir des choses neuves O Voix, je
parle
le langage de la mer Et dans le port la nuit les
A l’hôtel m’assis devant l’âtre Près d’un chanteur de l’Opéra Qui ne
parlait
que de théâtre La Kellnerine rousse avait Mis s
Le Pont Deux dames le long le long du fleuve Elles se
parlent
par-dessus l’eau Et sur le pont de leurs paroles
nt : « Qu’as-tu ? » Et sur la porte était clouée une chouette. Nous
parlions
dans le vent auprès d’un petit mur Ou lisions l’i
es hommes devraient avoir du pain La mère et les deux fils mangent et
parlent
Et des chants de gaîté accompagnent le repas Les
oi je tire De mon désir qui est au delà de la zône des armées Je n’en
parle
pas aujourd’hui mais j’y pense Butte de Tahure
oi je tire De mon désir qui est au delà de la zone des armées Je n’en
parle
pas aujourd’hui mais j’y pense Butte du Mesnil
asion de participer A une scène savoureuse d’anthropophagie Elle n’en
parlait
pas à tout le monde En ce qui concerne l’avenir e
t les feuilles mortes Viennent couvrir les morts. Des enfants morts
parlent
parfois avec leur mère, Et des mortes parfois vou
ui ne s’étaient jamais quittés, Deux matelots qui ne s’étaient jamais
parlé
, Le plus jeune en mourant tomba sur le côté.
on d’épine-vinette, Laissait un étudiant, Agenouillé à ses pieds, Lui
parler
de fiançailles : — Je vous attendrai Dix ans, vin
eur que les vivants. A l’avant du bateau que je gouvernais, Un mort
parlait
avec une jeune femme Vêtue d’une robe jaune, D’un
son d’épine-vinette, Laissait un étudiant Agenouillé à ses pieds, Lui
parler
de fiançailles : ‒ Je vous attendrai Dix ans, vin
eur que les vivants, A l’avant du bateau que je gouvernais, Un mort
parlait
avec une jeune femme Vêtue d’une robe jaune, D’un
gage qu’ils inventaient en chemin Je l’appris de leur bouche et je le
parle
encore. Le cortège passait et j’y cherchais mon c
u es beau naufragé Vois les sages te font des gestes socratiques Vous
parlerez
d’amour quand il aura mangé Maraudeur étranger
beau, naufragé ! Vois, les sages te font des gestes socratiques. Vous
parlerez
d’amour quand il aura mangé. Maraudeur étranger
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