Regardons la rose La fontaine n’a pas tari Pas plus que l’or de la
paille
ne s’est terni Regardons l’abeille Et ne songeons
ue de jours pour rentrer dans Ithaque — Couche-toi sur la
paille
et songe un beau remords Qui pur effet de
e l’art, soit aphrodisiaque Mais, Orgues aux fétus de la
paille
où tu dors L’hymne de l’avenir est pa
ue de jours pour rentrer dans Ithaque — Couche-toi sur la
paille
et songe un beau remords Qui pur effet de
Ulysse que de jours pour rentrer dans Ithaque — Couche-toi sur la
paille
et songe un beau remords Qui par effet de l’art s
et de l’art soit aphrodisiaque * * * Mais O rgues aux fétus de la
paille
où tu dors L’hymne de l’avenir est paradisiaque
ysse ! que de jours pour rentrer dans Ithaque ! — Couche-toi sur la
paille
& songe un beau remords qui, pur effet de l’a
pur effet de l’art, soit aphrodisiaque. Mais, Orgues, aux fétus de la
paille
où tu dors, — L’hymne de l’avenir est paradisiaqu
irs, Très tard, dans des brasseries borgnes. Elle se mettait sur la
paille
Pour un maquereau roux et rose, C’était un Juif,
fraise est rouge et les lilas sont morts, La couleuvre se love en la
paille
où je dors Quand s’éveille la nuit la Champagne T
fraise est rouge et les lilas sont morts, La couleuvre se love en la
paille
où je dors Quand s’éveille la nuit la Champagne T