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1 (1917) Départ « Départ »
Départ Et leurs visages étaient pâles Et leurs sanglots s’étaient brisés Après la nei
2 (1918) Océan de terre « Océan de terre »
pitent Et puis nous sommes tant et tant à être nos propres fossoyeurs Pâles poulpes des vagues crayeuses O poulpes aux becs p
pres fossoyeurs Pâles poulpes des vagues crayeuses O poulpes aux becs pâles Autour de la maison il y a cet océan que tu conna
3 (1908) Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») « Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») »
oiles Est pur, sans ombre et sans clarté. J’ai marché, mais nul geste pâle N’atténuait la voie lactée. Souvent pour nouer
4 (1914) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
meurt au loin dans les vals et les beaux bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’étoiles
5 (1915) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
meurt au loin dans les vals et les beaux bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’étoiles
6 (1901) Passion « Passion »
défaillent A l’heure où fatigués les hommes qui travaillent Au verger pâle , au bois plaintif ou dans le champ En rentrant to
7 (1912) Passion « Passion »
faillent A l’heure où, fatigués, les hommes qui travaillent Au verger pâle , au bois plaintif ou dans le champ, En rentrant t
8 (1909) Crépuscule « II. Crépuscule »
s tours que l’on va faire. Le ciel sans teinte est constellé D’astres pâles comme du lait. Sur les tréteaux l’Arlequin blêm
9 (1911) Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») « Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») »
es tours que l’on va faire Le Ciel sans teinte est constellé D’astres pâles comme du lait Sur les tréteaux l’Arlequin blême
10 (1914) Un dernier chapitre « Un dernier chapitre »
âtre Il vint des garçons bouchers aux bras teints de sang Des mitrons pâles de la farine qui les soupoudrait Et des commis de
11 (1909) Élégie « Élégie »
ntagne Et notre amour saignait comme les groseillers Puis étoilant ce pâle automne d’Allemagne, La nuit, pleurant des lueurs
12 (1917) Le Dépôt « Le Dépôt »
it canon gris Gris comme l’eau de Seine et je songe à Paris Mais ce pâle blessé m’a dit à la cantine Des obus dans la nuit
13 (1902) Élégie du voyageur aux pieds blessés « Élégie du voyageur aux pieds blessés »
au sale, La source enfante et pleure ou râle, Déplorée par les saules pâles . Roule de vulgaires pensées, Vieilles et saines
14 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
i je décrivais tous les jours mon amour à Madeleine La neige met de pâles fleurs sur les arbres            Et toisonne d’he
15 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
trémolo Il ne rit pas   l’artiste-peintre Ton pauvre   étincellement pâle L’ombre agile   d’un soir d’été qui meurt Immense
16 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
l de Sacontale, Las de vaincre, se réjouit Lorsqu’il la retrouva plus pâle , D’attente et d’amour yeux pâlis, Caressant sa ga
17 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
banquet que s’offre la terre Elle a faim et ouvre de longues bouches pâles La terre a faim et voici son festin de Balthasar
18 (1911) Le Larron « Le Larron »
des taures L’eussent aimé comme on l’aima puisqu’en effet Il était pâle il était beau comme un roi ladre Que n’avait-il l
la cour du roi d’Edesse Maigre et magique il eût scruté le firmament Pâle et magique il eût aimé des poétesses Juste et mag
19 (1903) Le Larron « Le Larron »
des taures L’eussent aimé comme on l’aima, puisqu’en effet Il était pâle , il était beau comme un roi ladre. Que n’avait-il
cour du roi d’Edesse ? Maigre et magique, il eût scruté le firmament, Pâle et magique, il eût aimé des poétesses, Juste et m
20 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
int l’amante ; A petits coups, le vent défripait ses atours. Puis les pâles amants joignant leurs mains démentes L’entrelaces
21 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
her divin qu’ornent Des astres, des fleurs du matin ! Malheur, dieu pâle aux yeux d’ivoire, Tes prêtres fous t’ont-ils par
22 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
e le canon la fusée l’hélice la pelle les chevaux Chantons les bagues pâles les casques                 Chantons ceux qui son
23 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
teuses plaintives Elles dirent adieu au gouffre et à l’écueil A leurs pâles époux couchés sur les terrasses Puis ayant pris l
24 (1912) Zône « Zône »
est la torche aux cheveux roux que n’éteint pas le vent C’est le fils pâle et vermeil de la douloureuse mère C’est l’arbre t
25 (1913) Zône « Zône »
est la torche aux cheveux roux que n’éteint pas le vent C’est le fils pâle et vermeil de la douloureuse mère C’est larbre to
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