pitent Et puis nous sommes tant et tant à être nos propres fossoyeurs
Pâles
poulpes des vagues crayeuses O poulpes aux becs p
pres fossoyeurs Pâles poulpes des vagues crayeuses O poulpes aux becs
pâles
Autour de la maison il y a cet océan que tu conna
oiles Est pur, sans ombre et sans clarté. J’ai marché, mais nul geste
pâle
N’atténuait la voie lactée. Souvent pour nouer
meurt au loin dans les vals et les beaux bois frais du tendre été si
pâle
[ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’étoiles
meurt au loin dans les vals et les beaux bois frais du tendre été si
pâle
[ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’étoiles
défaillent A l’heure où fatigués les hommes qui travaillent Au verger
pâle
, au bois plaintif ou dans le champ En rentrant to
faillent A l’heure où, fatigués, les hommes qui travaillent Au verger
pâle
, au bois plaintif ou dans le champ, En rentrant t
s tours que l’on va faire. Le ciel sans teinte est constellé D’astres
pâles
comme du lait. Sur les tréteaux l’Arlequin blêm
es tours que l’on va faire Le Ciel sans teinte est constellé D’astres
pâles
comme du lait Sur les tréteaux l’Arlequin blême
âtre Il vint des garçons bouchers aux bras teints de sang Des mitrons
pâles
de la farine qui les soupoudrait Et des commis de
ntagne Et notre amour saignait comme les groseillers Puis étoilant ce
pâle
automne d’Allemagne, La nuit, pleurant des lueurs
it canon gris Gris comme l’eau de Seine et je songe à Paris Mais ce
pâle
blessé m’a dit à la cantine Des obus dans la nuit
au sale, La source enfante et pleure ou râle, Déplorée par les saules
pâles
. Roule de vulgaires pensées, Vieilles et saines
i je décrivais tous les jours mon amour à Madeleine La neige met de
pâles
fleurs sur les arbres Et toisonne d’he
trémolo Il ne rit pas l’artiste-peintre Ton pauvre étincellement
pâle
L’ombre agile d’un soir d’été qui meurt Immense
l de Sacontale, Las de vaincre, se réjouit Lorsqu’il la retrouva plus
pâle
, D’attente et d’amour yeux pâlis, Caressant sa ga
banquet que s’offre la terre Elle a faim et ouvre de longues bouches
pâles
La terre a faim et voici son festin de Balthasar
des taures L’eussent aimé comme on l’aima puisqu’en effet Il était
pâle
il était beau comme un roi ladre Que n’avait-il l
la cour du roi d’Edesse Maigre et magique il eût scruté le firmament
Pâle
et magique il eût aimé des poétesses Juste et mag
des taures L’eussent aimé comme on l’aima, puisqu’en effet Il était
pâle
, il était beau comme un roi ladre. Que n’avait-il
cour du roi d’Edesse ? Maigre et magique, il eût scruté le firmament,
Pâle
et magique, il eût aimé des poétesses, Juste et m
int l’amante ; A petits coups, le vent défripait ses atours. Puis les
pâles
amants joignant leurs mains démentes L’entrelaces
her divin qu’ornent Des astres, des fleurs du matin ! Malheur, dieu
pâle
aux yeux d’ivoire, Tes prêtres fous t’ont-ils par
e le canon la fusée l’hélice la pelle les chevaux Chantons les bagues
pâles
les casques Chantons ceux qui son
teuses plaintives Elles dirent adieu au gouffre et à l’écueil A leurs
pâles
époux couchés sur les terrasses Puis ayant pris l
est la torche aux cheveux roux que n’éteint pas le vent C’est le fils
pâle
et vermeil de la douloureuse mère C’est l’arbre t
est la torche aux cheveux roux que n’éteint pas le vent C’est le fils
pâle
et vermeil de la douloureuse mère C’est larbre to