’yeux sont clos au bord des routes Le vent fait pleurer les saussaies
Ouvre
ouvre ouvre ouvre ouvre Regarde mais regarde donc
sont clos au bord des routes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre
ouvre
ouvre ouvre ouvre Regarde mais regarde donc Le vi
los au bord des routes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre
ouvre
ouvre ouvre Regarde mais regarde donc Le vieux se
bord des routes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre
ouvre
ouvre Regarde mais regarde donc Le vieux se lave
des routes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre
ouvre
Regarde mais regarde donc Le vieux se lave les pi
’yeux sont clos au bord des routes Le vent fait pleurer les saussaies
Ouvre
ouvre ouvre ouvre ouvre Regarde mais regarde donc
sont clos au bord des routes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre
ouvre
ouvre ouvre ouvre Regarde mais regarde donc Le vi
los au bord des routes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre
ouvre
ouvre ouvre Regarde mais regarde donc Le vieux se
bord des routes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre
ouvre
ouvre Regarde mais regarde donc Le vieux se lave
des routes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre
ouvre
Regarde mais regarde donc Le vieux se lave les pi
sa cravate blanche Tu soulèveras le rideau Et maintenant voilà que s’
ouvre
la fenêtre Araignées quand les mains tissaient la
s, Vancouver, Hyère, Maintenon, New-York et les Antilles La fenêtre s’
ouvre
comme une orange Le beau fruit de la lumière
sa cravate blanche Tu soulèveras le rideau Et maintenant voilà que s’
ouvre
la fenêtre Araignées quand les mains tissaient la
Paris Vancouver Lyon Maintenon New-York et les Antilles La fenêtre s’
ouvre
comme une orange Le beau fruit de la lumière Gu
ons-Laffitte et tout finit dans les parfums souvenez-vous-en laisse s’
ouvrir
la fleur et laisse pourrir le fruit et laisse ger
bouledogue blanc, un oiseau dans une cage une écuyère dans un cirque
ouvert
à tous les vents, une amazone, un concombre des g
Tes mains introduiront mon beau membre asinin Dans le sacré bordel
ouvert
entre tes cuisses, Et je veux l’avouer, en dépit
Tes mains introduiront mon beau membre asinin Dans le sacré bordel
ouvert
entre tes cuisses, Et je veux l’avouer, en dépit
Le Voyageur
Ouvrez
-moi cette porte où je frappe en pleurant ! La v
chaîne de fer, Le plus jeune mettait ses cheveux blonds en tresse.
Ouvrez
-moi cette porte où je frappe en pleurant ! La v
face quand il songe à toi Le cadre bleu tandis que l’air agile s’
ouvrait
aussi Au milieu des regrets dans une vaste g
malheureux. Regrets sur quoi l’enfer se fonde, Qu’un ciel d’oubli s’
ouvre
à mes vœux ! Pour son baiser les rois du monde Se
éclairé à giorno C’est un banquet que s’offre la terre Elle a faim et
ouvre
de longues bouches pâles La terre a faim et voici
suis l’invisible qui ne peut disparaître Je suis comme l’onde Allons
ouvrez
les écluses que je me précipite et renverse tout
ent Les métalliques saints de nos saintes usines Nos cheminées à ciel
ouvert
engrossent les nuées Comme fit autrefois l’Ixion
use pluie ô gouttes tièdes ô douleur Un enfant regarde les fenêtres s’
ouvrir
Et des grappes de têtes à d’ivres oiseaux s’offri
, ô nuit, Lilith ulule Et clame vainement et je vois de grands yeux S’
ouvrir
tragiquement. O nuit, je vois tes cieux L’étoiler
e mûlatresse qui inventait la poésie, Et les roses de l’électricité s’
ouvrent
encore Dans le jardin de ma mémoire. Pardonnez-m
grappes Les évêques noirs révérant sans le savoir Au triangle isocèle
ouvert
au mors des chapes Pallas et chantaient l’hymne à
rappes Les évêques noirs révérant sans le savoir, Au triangle isocèle
ouvert
au mors des chapes, Pallas, et chantaient l’hymne
▲