ces neuves Et prend au serieux les fantômes Et tant d’univers s’
oublient
Quels sont les grands oublieurs Qui donc saura
oublient Quels sont les grands oublieurs Qui donc saura nous faire
oublier
telle ou telle partie du monde Où est le Christop
Et prend au sérieux les fantômes * * * Et tant d’univers s’
oublient
* * * Quels sont les grands oublieurs ?
* Quels sont les grands oublieurs ? Qui donc saura nous faire
oublier
telle ou telle partie du monde ? Où est le Chri
prend au sérieux les fantômes Et tant d’univers s’
oublient
Quels sont les grands oublieurs
Quels sont les grands oublieurs Qui donc saura nous faire
oublier
telle ou telle partie du monde Où est le Christop
çais, Tout beau, monsieur Chauvin. Prague a sa cathédrale Que ne peut
oublier
la femme qui la vit. Rien ne vaut à Paris cette m
çais, Tout beau, monsieur Chauvin. Prague a sa cathédrale Que ne peut
oublier
la femme qui la vit. Rien ne vaut à Paris cette m
Et je remonte avec vous une route aux environs de Lyon Je n’ai pas
oublié
le son de la clochette d’un marchand de coco d’au
ar voilà ce que c’est qu’une femme intelligente Et il ne faudrait pas
oublier
les légendes Dame-Aboude dans un tramway la nuit
Et je remonte avec vous une route aux environs de Lyon Je n’ai pas
oublié
le son d’une clochette d’un marchand de coco autr
ar voilà ce que c’est qu’une femme intelligente Et il ne faudrait pas
oublier
les légendes Dame-Aboude dans un tramway ln nuit
u Et je remont avec vous une route aux environs de Lyon Je n’ai pas
oublié
le son d’une clochette d’un marchant de coco Autr
car voilà ce qui est qu’une femme intelligente Et il ne faudrait pas
oublier
les légendes Dame il bonde dans une tramway la nu
e n’être pas las, De sourire dans la tourmente Dans la terre, (et n’
oubliez
pas Que les Boches l’appellent Erde) Entre deux c
ment clair de mes pures disputes. Adieu, adieu ! vous qui m’aimiez,
oubliez
-moi ! Laissez-moi seule, triste et noire, dans la
à la mie de pain Cette dame a le nez comme un ver solitaire Louise a
oublié
sa fourrure Moi je n’ai pas de fourrure et je n’a
r être heureux, Comme un petit enfant candide ? Je ne veux jamais l’
oublier
Ma colombe, ma blanche rade, O marguerite exfolié
t la folie Veut raisonner pour mon malheur, Comment voulez-vous que j’
oublie
?
ret, Un autre un hérisson, L’on jouait aux cartes, Et toi, tu m’avais
oublié
. Te souviens-tu du long orphelinat des gares ?
les épaules, Dansèrent au son aigre des cithares. Ils n’avaient pas
oublié
la danse, Ces morts et ces mortes ! On buvait aus
n amour, De nos fiançailles. Ni le temps, ni l’absence Ne nous feront
oublier
nos promesses. Et un jour, nous aurons une belle
les épaules, Dansèrent au son aigre des cithares. Ils n’avaient pas
oublié
la danse, Ces morts et ces mortes : On buvait aus
n amour, De nos fiançailles. Ni le temps, ni l’absence Ne nous feront
oublier
nos promesses. Et un jour, nous aurons une belle
mes et mille titres divers J’ai vu ce matin une jolie rue dont j’ai
oublié
le nom Neuve et propre du soleil elle était le cl
ommes et mille titres divers J’ai vu ce matin une jolie rue dont j’ai
oublié
le nom Neuve et propre du soleil elle était le cl
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