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1 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
é au visage Il semblait rêver à l’avenir En tournant machinalement un orgue de Barbarie Dont la lente voix se lamentait merve
nerait plus rien On se décida à commencer la séance De dessous de l’ orgue sortit un tout petit saltimbanque habillé de rose
umanité Pensa chacun Et cette musique des formes Détruisit celle de l’ orgue mécanique Que moulait l’homme au visage couvert d
petit saltimbanque fit la roue Avec tant d’audacieuse harmonie Que l’ orgue cessa de jouer Et que l’organiste se cacha le vis
2 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
au visage. Il semblait rêver à l’avenir En tournant machinalement un orgue de Barbarie Dont la lente voix se lamentait merve
donnerait plus rien, On se décida à commencer la séance. De dessous l’ orgue sortit un tout petit saltimbanque habillé de rose
anité, Pensa chacun. Et cette musique des formes Détruisit celle de l’ orgue mécanique Que moulait l’homme au visage couvert d
petit saltimbanque fit la roue Avec tant d’audacieuse harmonie Que l’ orgue cessa de jouer Et que l’organiste se cacha le vis
3 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
       Qui pur effet de l’art, soit aphrodisiaque              Mais, Orgues aux fétus de la paille où tu dors           L’h
4 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
Qui pur effet de l’art, soit aphrodisiaque * * *              Mais, Orgues aux fétus de la paille où tu dors           L’hy
5 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
ge un beau remords qui, pur effet de l’art, soit aphrodisiaque. Mais, Orgues , aux fétus de la paille où tu dors, — L’hymne de
6 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
Sans avoir le cœur d’y mourir. Les dimanches s’y éternisent Et les orgues de Barbarie Y sanglotent dans les cours grises ;
7 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
curé. » La forêt là-bas Grâce au vent chantait à voix grave de grand orgue . Le songe, Herr Traum survint avec sa sœur, Frau
8 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
ire Il se déchire en accords profonds   et agréables à respirer tel l’ orgue que j’aime entendre Des Arlequines jouent dans le
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