Ombre
Vous voilà de nouveau près de moi Souvenirs de
parence impalpable et sombre qui avez pris La forme changeante de mon
ombre
Un indien à l’affût pendant l’éternité Ombre vous
forme changeante de mon ombre Un indien à l’affût pendant l’éternité
Ombre
vous rampez près de moi Mais vous ne m’entendez p
e chante Tandis que moi je vous entends je vous vois encore Destinées
Ombre
multiple que le soleil vous garde Vous qui m’aime
ne jamais me quitter Et qui dansez au soleil sans faire de poussière
Ombre
encre du soleil Ecriture de ma lumière Caisson de
dort la Mélancolie Entre l’Amour et le Dédain. Il y vient aussi nos
ombres
Que la nuit dissipera, Le soleil qui les rend som
t couler leurs cheveux… Passe ! Il faut que tu poursuives Cette belle
ombre
que tu veux. GUILLAUME APOLLINAIRE.
Crépuscule (incipit : « Frôlée par les
ombres
des morts ») Frôlée par les ombres des morts S
ule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») Frôlée par les
ombres
des morts Sur l’herbe où le jour s’exténue, L’Arl
Ibis Oui, j’irai dans l’
ombre
terreuse. O mort certaine, ainsi soit-il ! Latin
u plaintif des paysages ? Les cyprès projetaient sous la lune leurs
ombres
; J’écoutais cette nuit, au déclin de l’été, Un o
uit, sans qu’on pût voir rien de vivant, Contre le mont passèrent des
ombres
vivaces, De profil ou soudain tournant leurs vagu
vivaces, De profil ou soudain tournant leurs vagues faces Et tenant l’
ombre
de leurs lances en avant. Les ombres, contre le
leurs vagues faces Et tenant l’ombre de leurs lances en avant. Les
ombres
, contre le mont perpendiculaire, Grandissaient ou
diculaire, Grandissaient ou parfois s’abaissaient brusquement, Et ces
ombres
barbues pleuraient humainement En glissant pas à
le guet Avec ses vingt lueurs et son cri fatigué Elles ont peur de l’
ombre
et de l’heure prochaine De l’ombre où jusqu’au
cri fatigué Elles ont peur de l’ombre et de l’heure prochaine De l’
ombre
où jusqu’au jour les lucioles sont Les larmes d’u
Park] Les Faiseurs de religions Prêchaient dans le brouillard Les
ombres
près de qui nous passions Jouaient à colin-mailla
qui est bleu et jaunit qu’il neige ou pleuve Dans l’eau d’acier ton
ombre
te précèdera Les vents chantent Jouhé les cors
ntemplé les foules et il en a exprimé la vie par le moyen de quelques
ombres
humaines il n’attend pas que le temps donne de l’
Une mélopée Photographie tu es l’
ombre
Du Soleil
puscule Ruines au bord du vieux Rhin On s’embrasse bien dans votre
ombre
. Les mariniers qui voient de loin, Nous envoient
des Amantes d’antan jonchent ton sol ; Une Épouse me suit, c’est mon
Ombre
fatale, Les Colombes, ce soir, prennent leur dern
s des amantes d’antan jonchent ton sol, Une épouse me suit, c’est mon
ombre
fatale, Les colombes, ce soir, prennent leur dern
i mène aux étoiles ») Le chemin qui mène aux étoiles Est pur, sans
ombre
et sans clarté. J’ai marché, mais nul geste pâle
ne de Ton Corps si noble Sur la route bordant le fleuve et tachée d’
ombre
Fuyaient tremblant de peur Comme
L’Ignorance Icare Soleil je suis jeune et c’est à cause de toi Mon
ombre
pour être fauste je l’ai jetée Pardon je ne fais
Mon ombre pour être fauste je l’ai jetée Pardon je ne fais pas plus d’
ombre
qu’une étoile Je suis le seul qui pense dans l’im
L’enfant d’or C’est la barque où fuyait près d’une
ombre
la reine Quand les morts se levaient et lorsque l
II. Crépuscule Frôlée par les
ombres
des morts, Sur l’herbe où le jour s’exténue L’Arl
iner au loin et crier toute seule Ma voix fidèle comme l’
ombre
Veut être enfin l’ombre de la vie Ve
Ma voix fidèle comme l’ombre Veut être enfin l’
ombre
de la vie Veut être ô mer vivante infidèle comme
ands cris comme des dieux noyés Et la mer au soleil ne supporte que l’
ombre
Que jettent des oiseaux les ailes éployées La p
calement de droite à gauche] Ordres de Bourse Dans l’
Ombre
ou bien dans la lumière Jusqu’au f
r Des malades maudits de ceux qui fuient leur
ombre
Et du retour joyeux des h
Pablo Picasso Voyez ce peintre il prend les choses avec leur
ombre
aussi et d’un coup d’œil sublimatoire Il se déchi
o Il ne rit pas l’artiste-peintre Ton pauvre étincellement pâle L’
ombre
agile d’un soir d’été qui meurt Immense désir
Le Mendiant Passant, tu chercheras dans l’
ombre
cimmérienne Mon fantôme pareil à la réalité, Mais
ut qu’on se vête. La foule, en tous les sens, remuait en mêlant Des
ombres
sans amour qui se traînaient par terre Et des mai
ai jamais, Avec l’argent gagné dans les prairies lyriques, Guider mon
ombre
aveugle en ces rues que j’aimais ; Car revenir,
e le faux amour et celle Dont je suis encore amoureux, Heurtant leurs
ombres
infidèles, Me rendirent si malheureux. Regrets
onde Seraient morts ; des pauvres fameux Pour elle eussent vendu leur
ombre
. J’ai hiverné dans mon passé. Revienne le solei
ut qu’on se vête. La foule, en tous les sens, remuait en mêlant Des
ombres
sans amour qui se traînaient par terre Et des mai
ai jamais. Avec l’argent gagné dans les prairies lyriques, Guider mon
ombre
aveugle en ces rues que j’aimais ; Car revenir,
un sciomancien mais je n’ai pas voulu qu’il Interrogeât mon
ombre
Je connais un sourcier c’est le peintre norvégien
ent l’amour et la dulie, Et sombre, sombre fleuve, je me rappelle Les
ombres
qui passaient n’étaient jamais jolies. * * *
souris des êtres que je n’ai pas créés. Mais si le temps venait, où l’
ombre
enfin solide Se multipliait en réalisant la diver
nu, au son d’un accordéon. J’ai tout donné au soleil, Tout, sauf mon
ombre
. Les dragues, les ballots, les sirènes mi-morte
lliers tinteront cherront les masques Va-t’en va-t’en contre le feu l’
ombre
prévaut Ah Ah le larron de gauche dans la bourras
cadences plagales Et prends l’arc pour tuer l’unicorne ou le gnou L’
ombre
équivoque et tendre est le deuil de ta chair Et s
ue il eût épargné les démons Va-t’en errer crédule et roux avec ton
ombre
Soit la triade est mâle et tu es vierge et froid
c… « Entrez dans l’antichambre. Le jour baisse… « La veilleuse dans l’
ombre
est un bijou d’or cuit. « Pendez vos têtes aux pa
, Tu mesures combien d’empans J’ai droit que la terre me donne, O mon
ombre
, ô mon vieux serpent ! Au soleil, parce que tu
ien, Ténébreuse épouse que j’aime. Tu es à moi en n’étant rien, O mon
ombre
en deuil de moi-même… … L’hiver est mort tout e
Toc toc Entrez dans l’antichambre Le jour baisse La veilleuse dans l’
ombre
est un bijou d’or cuit Pendez vos têtes aux patèr
ule toile, une ville entière avec l’intérieur de ses maisons Et cette
ombre
humaine qui surgit aux carrefours
rs tinteront, cherront les masques. Va-t’en, va-t’en, contre le feu l’
ombre
prévaut. Ah ! Ah ! le larron de gauche dans la bo
adences plagales Et prends l’arc pour tuer l’unicorne ou le gnou. L’
ombre
équivoque et tendre est le deuil de ta chair, Et
, il eût épargné les démons. Va-t’en errer crédule et roux avec ton
ombre
. Soit ! la triade est mâle et tu es vierge et fro
lune qui dansait C’était donc une tête d’argent Et moi dans l’
ombre
j’étais invisible C’était donc une tête de n
lune qui dansait C’était donc une tête d’argent Et moi dans l’
ombre
j’étais invisible C’était donc une tête de n
’est le soir, les fleurs de jour déjà se closent Et les souris dans l’
ombre
incantent le plancher. Les humains savent tant
ses comme des lobes. Des corbeaux éployés comme des tildes font Une
ombre
vaine aux pauvres champs de seigle mûr, Non loin
la Mémoire, égale de l’amour. « Qu’il monte de la fange ou soit une
ombre
d’homme « Il sera bien mon fils, mon ouvrage immo
out montaient la garde Le second saltimbanque N’était vêtu que de son
ombre
Je le regardai longtemps Son visage m’échappe ent
s et toutes les lumières Et je m’éloignerai, m’illuminant au milieu d’
ombres
Et d’alignements d’yeux des astres bien-aimés.
montaient la garde. Le second saltimbanque N’était vêtu que de son
ombre
. Je le regardai longtemps. Son visage m’échappe e
ir leurs corps trépassés entre eux et la lumière. Ils riaient de leur
ombre
et l’observaient Comme si véritablement C’eût été
ir leurs corps trépassés entre eux et la lumière. Ils riaient de leur
ombre
et l’observaient Comme si véritablement C’eût été
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