s d’elle faisaient leur manille Et la crâneuse de Clichy Aux rouges
yeux
de dégueulade Répète Mon eau de Vichy Va dans le
u de Vichy Va dans le panier à salade Haha sans faire de chichi Les
yeux
dansants comme des anges Elle riait elle riait Le
chichi Les yeux dansants comme des anges Elle riait elle riait Les
yeux
très bleus les dents très blanches Si vous saviez
O toi géhenn e sombre ô toi nuit sans étoile L’amour a incanté mes
yeux
tristes et las Et tout est irréel comme embrumé
culée ô toi Qu’à travers ma folie jadis j’ai crue impure J’ai les
yeux
de l’Amour qui sont troubles d’émoi De veilles
’avance il l’absolvit à cause de sa beauté : — O belle Loreley, aux
yeux
pleins de pierreries De quel magicien tiens-tu ta
agicien tiens-tu ta sorcellerie ? — — Je suis lasse de vivre et mes
yeux
sont maudits Ceux qui m’ont regardé, évêque en on
s yeux sont maudits Ceux qui m’ont regardé, évêque en ont péri. Mes
yeux
ce sont des flammes, et non des pierreries Jetez,
couvent cette femme en démence. Va-t’en, Lore en folie, va Lore aux
yeux
tremblants Tu seras une nonne vêtue de noir et bl
tombe dans le Rhin. Pour avoir vu dans l’eau, la belle Loreley, Ses
yeux
couleur du Rhin, ses cheveux, de soleil. Bachara
mpoisonnent. Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit. Tes
yeux
sont comme cette fleur-là, Violâtres comme leur c
à, Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes
yeux
lentement s’empoisonne. Les enfants de l’école
») II Bouche ouverte sur une harmonium C’était une voix faite d’
yeux
Tandis qu’il traîne de petites gens
») II Bouche ouverte sur un harmonium C’était une voix faite d’
yeux
Tandis qu’il est de petites gens
mpoisonnent. Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit. Tes
yeux
sont comme cette fleur-là, Violâtres comme leur c
, Violâtres comme leur cerne et comme cet automne, Et ma vie pour tes
yeux
lentement s’empoisonne. Les enfants de l’école vi
on âme s’agitera comme une région pendant un tremblement de terre Tes
yeux
seront alors chargés de tout l’amour qui s’est am
bouche te diront mon amour Elle te le murmure de loin Tandis que les
yeux
fixés sur la montre j’attends la minute prescrite
Comme le soufre qui noircit L’argent et casse l’or l’amour Ternit mes
yeux
brisa aussi Ce cœur Une créole à la Ha
nfecte ») Regardez cette troupe infecte Aux mille pattes, aux cent
yeux
: Rotifères, cirons, insectes Et microbes plus me
e et la raison Le galop bleu des souvenances Traverse les lilas des
yeux
Et les canons des indolences Tirent mes songes ve
de fer est là qui luit Comme ils cueillaient la rose ardente Leurs
yeux
tout à coup ont fleuri Et quel soleil la bouche e
teau de Port-Vendres ») A M. P. Du joli bateau de Port-Vendres Tes
yeux
étaient les matelots Et comme les flots étaient t
Des corps marchent sans intellect On dira beaucoup de prières Pour l’
œil
un volatile infect Naît soudain œufs tricentenair
La Phoque [Le Phoque] J’ai les
yeux
d’un vrai veau marin Et de Madame Ygrec l’allure
e et la raison Le galop bleu des souvenances Traverse les lilas des
Yeux
Et les canons des indolences Tirent mes songes ve
-moi ! Laissez-moi seule, triste et noire, dans la gare Attendre, les
yeux
secs, l’heure de mon départ, Puisque, vous le sav
donné la force de le dire. Et cette lyre accorde et mon cœur et ses
yeux
; Lyre, trop vieille image, mot délicieux. Le pay
mance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les dieux de mes
yeux
remplissent en silence Nous vous aimon
lé la veilleuse l’attaque Il pleut mon âme il pleut mais il pleut des
yeux
morts — Ulysse ! que de jours pour rentrer dans I
mance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les dieux de mes
yeux
remplissent en silence Nous vous aimons
lé la veilleuse l’attaque Il pleut mon âme il pleut mais il pleut des
yeux
morts — Ulysse ! que de jours pour rentrer dans I
mance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les dieux de mes
yeux
remplissent en silence Nous nous aimons ô Vie et
lé la veilleuse l’attaque Il pleut mon âme il pleut mais il pleut des
yeux
morts — Ulysse que de jours pour rentrer dans I
onnamment oh ! mon Dieu que de choses étranges dans les boîtes et les
yeux
voyons mon cher enfant en vos mains on ne pourra
e et la raison Le galop bleu des souvenances Traverse les lilas des
Yeux
Et les canons des indolences Tirent mes songes ve
a Les vents chantent Jouhé les cors cornent Trara Tête en bas les
yeux
ouverts pêche la perle Chois tout nu jambes ouv
ille Les 3 servants assis dodelinent leurs fronts Où brillent leurs
yeux
clairs comme mes éperons Un bel après-midi de g
pointeurs fixaient les bulles des niveaux Qui remuaient ainsi que les
yeux
des chevaux Le bon chanteur Girault nous chante
e Au jardin des cyprès, je filais en rêvant, Suivant longtemps des
yeux
les flocons que le vent Prenait à ma quenouille,
er comme un condamné à mort — Le cyclope aveugle à qui on a crevé son
œil
dit Je suis borgne
canon pour lutter contre les vapeurs les lunettes pour protéger les
yeux
au moyen d’un masque nocivité gaz un tissu trempé
s bruyères Où tant d’abeilles butinèrent. La source est là comme un
œil
clos, Pleurant avec de frais sanglots La naissanc
t tue les dieux quand ils naissent. Tue les dieux nés de nos clairs
yeux
Et dans nos âmes ; le sang pieux De tes pieds con
Ils n’égalent pas leurs destins, Indécis comme feuilles mortes Leurs
yeux
sont des feux mal éteints, Leurs cœurs bougent co
canon pour lutter contre les vapeurs les lunettes pour protéger les
yeux
au moyen d’un masque nocivité gaz un tissu trempé
irent la route à la rencontre De mes blessures bien-aimées. * Leurs
yeux
, étoiles bestiales, Eclairent ma compassion ; Qu’
le. * Sirènes, enfin, je descends Dans une grotte avide. J’aime Vos
yeux
. Les degrés sont glissants. Au loin, que vous dev
lairent la route à la rencontre De mes blessures bien-aimées. Leurs
yeux
, étoiles bestiales, Eclairent ma compassion ; Qu’
oile. Sirènes, enfin, je descends Dans une grotte avide. J’aime Vos
yeux
. Les degrés sont glissants. Au loin, que vous dev
la beauté de la vie passe la douleur de mourir [heures] Mon cœur les
yeux
l’enfant Agla la main Tircis semaine l’infini red
sur son trente et un. Madame Rosemonde roule avec mystère. Ses petits
yeux
tout ronds, pareils aux yeux des Huns. On entra
Rosemonde roule avec mystère. Ses petits yeux tout ronds, pareils aux
yeux
des Huns. On entra dans la salle à manger, les
milieu de l’océan Ses fenêtres sont les fleuves qui s’écoulent de mes
yeux
Des poulpes grouillent partout où se tiennent les
ameurs sur les vagues se traîne, La reine et son amant l’écoutent les
yeux
clos, Sans crainte d’un récif ni d’un chant de si
contempler le sourire des morts. Nous marcherons très lentement, les
yeux
ravis, Foulant aux pieds sous les gibets les mand
ont, La beauté des printemps et les amours fécondes, La douceur des
yeux
bleus que le sang assouvit, Et l’aube qui va poin
t sur son trente et un Madame Rosemonde roule avec mystère Ses petits
yeux
tout ronds pareils aux yeux des Huns Dame de me
e Rosemonde roule avec mystère Ses petits yeux tout ronds pareils aux
yeux
des Huns Dame de mes pensées au cul de perle fi
os cheveux sont longs O bon petit poète un peu bête et trop blond Vos
yeux
ressemblent tant à ces deux grands ballons Qui s’
grand cheval Je vais bientôt partir en guerre Sans pitié chaste et l’
œil
sévère Comme ces guerriers qu’Epinal Vendait Im
une Vierge blonde Et son petit Jésus est blond comme elle l’est ; Ses
yeux
sont bleus et purs comme le ciel ou l’onde Et l’o
xe de la terre, La lune, chaque mois, si vaine de son cul, Et de tes
yeux
jaillit, même quand tu les voiles, Cette obscure
xe de la terre, La lune, chaque mois, si vaine de son cul, Et de tes
yeux
jaillit, même quand tu les voiles, Cette obscure
obscurcir les lanternes, Une main qui tout à coup, se pose devant les
yeux
, Une voûte entre vous et toutes les lumières Et j
t je m’éloignerai, m’illuminant au milieu d’ombres Et d’alignements d’
yeux
des astres bien-aimés. Oiseau tranquille, au vo
mâtes Je ne vis que passant ainsi que vous passâtes Et détournant mes
yeux
de ce vide avenir En moi-même je vois tout le Pas
ce vieux cheval en Amérique Au soir de la pêche merveilleuse l’
œil
du masque Air de petits violons au fond des
rt Immense désir et l’aube émerge des eaux si lumineuses Je vis nos
yeux
diamants enfermer le reflet du ciel vert et J’e
jamais. Nous pleurâmes ; c’était quand nous venions de naître Et les
yeux
secs j’attends. Si Thanatos m’aimait ! Puisque
deux gros et blonds wie du La mienne aussi mon vieux était blonde aux
yeux
doux Mais pas d’ici Seigneur que votre règne arri
vient avec une pipe dans sa gueule * * * Un chat-huant aile fauve
yeux
ternes gueule de petit chat et pattes de chat *
laissaient une traîne D’étoiles dans les soirs tremblants ; Dans ses
yeux
nageaient les sirènes, Et nos baisers mordus, san
qu’ornent Des astres, des fleurs du matin ! Malheur, dieu pâle aux
yeux
d’ivoire, Tes prêtres fous t’ont-ils paré ? Tes v
ophores livides Du printemps cher aux pauvres gens Qui resourient les
yeux
humides. Et moi j’ai le cœur aussi gros Qu’un c
r, vint à ma rencontre, Et le regard qu’il me jeta Me fit baisser les
yeux
de honte. Je suivis ce mauvais garçon Qui siffl
cre, se réjouit Lorsqu’il la retrouva plus pâle, D’attente et d’amour
yeux
pâlis, Caressant sa gazelle mâle. J’ai pensé à
oin, près d’un feu, chantaient des bohémiennes. Un train passait, les
yeux
ouverts sur l’autre bord… Nous regardions longtem
nverrons en message téléphonique Traumatisme géant Il fait couler les
yeux
Voilà une jolie jeune feuille parmi les jeunes Tu
nverrons en message téléphonique Traumatisme géant Il fait couler les
yeux
Voilà une jolie jeune fille parmi les jeunes Turi
a veilleuse l’attaque. Il pleut, mon âme, il pleut, mais il pleut des
yeux
morts. — Ulysse ! que de jours pour rentrer dans
changés en étoiles. Un Icare tente de s’élever jusqu’à chacun de mes
yeux
, Et porteur de soleils, je brûle au centre de deu
vant de mourir dans des tavernes, Où d’ardents bouquets rouaient, Aux
yeux
d’une mûlatresse qui inventait la poésie, Et les
s. Je ne sais plus rien et j’aime uniquement ; Mais les fleurs, à mes
yeux
, redeviennent des flammes. Je médite divinement.
ant des oiseaux. Le toucher monstrueux m’a pénétré, m’empoisonne, Mes
yeux
nagent loin de moi, Et les astres intacts sont me
lisman heureux de mon collier Larron des fruits tourne vers moi tes
yeux
lyriques Emplissez de noix la besace du héros Il
ue jour les cailles et la manne Et d’avoir vu la mer ouverte comme un
œil
Les puiseurs d’eau barbus coiffés de bandelette
blanches contre les maux et les sorts Revenaient de l’Euphrate et les
yeux
des chouettes Attiraient quelquefois les chercheu
comme hennissent les chevaux Larron des fruits tourne vers moi tes
yeux
lyriques Emplissez de noix la besace du héros Il
s le ventre de sa mère J’ai cherché longtemps sur les routes Tant d’
yeux
sont clos au bord des routes Le vent fait pleurer
ers le ventre de sa mère J’ai cherché longtemps sur les routes Tant d’
yeux
sont clos au bord des routes Le vent fait pleurer
sman heureux de mon collier ? Larron des fruits tourne vers moi tes
yeux
lyriques. Emplissez de noix la besace du héros. I
ue jour les cailles et la manne Et d’avoir vu la mer ouverte comme un
œil
. Les puiseurs d’eau barbus, coiffés de bandelet
blanches contre les maux et les sorts Revenaient de l’Euphrate et les
yeux
des chouettes Attiraient quelquefois les chercheu
hennissent les chevaux. » — « Larron des fruits tourne vers moi tes
yeux
lyriques. Emplissez de noix la besace du héros, I
is en pensant à plusieurs choses à la fois, ayant mal à la nuque, les
yeux
fixes je vais m’arracher des peaux autour des doi
ô Madeleine Je t’aime avec délices Si je songe à tes
yeux
je songe aux sources fraîches Si je pense à ta bo
Des millions de mouches éventaient une splendeur Quand un homme sans
yeux
sans nez et sans oreilles Quittant le Sébasto ent
Qui sortaient des maisons Qui venaient par les rues traversières les
yeux
fous Les mains tendues vers le mélodieux ravisseu
t où naissent sur la mer tous les corbeaux d’Afrique O raisins et ces
yeux
ternes et en famille L’avenir et la vie dans ces
ns l’onde où s’enfoncent les astres Lorsque la nuit revint couverte d’
yeux
ouverts Errer au site où l’hydre a sifflé et hive
bataille Des forêts de crucifix et mes demeures lacustres Au bord des
yeux
de celle que j’aime tant Les fleurs qui s’écrient
ne sirène moderne, sans époux. Gonfle-toi vers la nuit, ô mer ! Les
yeux
des squales Jusqu’à l’aube ont guetté, de loin, a
laient vers l’estuaire Tous les regards, tous les regards de tous les
yeux
Les bords étaient déserts, herbus, silencieux Et
ne sirène moderne, sans époux. Gonfle-toi vers la nuit, ô mer ! Les
yeux
des squales Jusqu’à l’aube ont guetté, de loin, a
t pour regarder Ce sont des dames qui dansent avec leurs regards pour
yeux
bras et cœurs J’ai reconnu ton sourire et ta viva
je fuis, ô nuit, Lilith ulule Et clame vainement et je vois de grands
yeux
S’ouvrir tragiquement. O nuit, je vois tes cieux
les s’enlaçant. Et je ne veux plus rien, sinon laisser se clore Mes
yeux
, couple lassé, au verger pantelant Plein du râle
brûlait la paupière Les officiers captifs voulaient cacher leurs noms
Œil
du Breton blessé couché sur la civière Et qui cri
arce que nous avons tant grandi que beaucoup pourraient confondre nos
yeux
et les étoiles, Ni : parce que les drapeaux claqu
le En attendant la sépulture. Soudain, Rapide comme ma mémoire, Les
yeux
se rallumèrent De cellule vitrée en cellule vitré
nt quarante-neuf hommes, Femmes et enfants Qui embellissaient à vue d’
œil
Et me regardaient maintenant Avec tant de cordial
le En attendant la sépulture, Soudain, Rapide comme ma mémoire. Les
yeux
se rallumèrent De cellule vitrée en cellule vitré
nt quarante-neuf hommes. Femmes et enfants Qui embellissaient à vue d’
œil
Et me regardaient maintenant Avec tant de cordial
couloir désert Où meurt étendue une pelle à la face effrayante à deux
yeux
réglementaires qui servent à l’attacher sous les
rs Il détient le record du monde pour la hauteur Pupille Christ de l’
œil
Vingtième pupille des siècles il sait y faire Et
sur celle que j’aime sur tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les
yeux
pleins de larmes ces pauvres émigrants Ils croien
s Il détient le record du monde pour la hauteur Pupille Christ de l’
œil
Vingtième pupille des siècles il sait y faire Et
sur celle que j’aime sur tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les
yeux
pleins de larmes ces pauvres émigrants Ils croien
ance où est le nôtre Les réflecteurs dardent leurs lueurs comme des
yeux
d’escargots Et les obus en tombant sont des chien
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