automne est morte souviens-t’en Nous ne nous verrons plus sur terre
Odeur
du temps brin de bruyère Et souviens-toi que je t
ite par ceux qui ont vingt ans et au-dessus. Il me suffit de sentir l’
odeur
de leurs églises, L’odeur des fleuves dans leurs
ans et au-dessus. Il me suffit de sentir l’odeur de leurs églises, L’
odeur
des fleuves dans leurs villes, Le parfum des fleu
s dans leurs villes, Le parfum des fleurs dans les jardins publics, L’
odeur
d’un petit chien, ô Corneille Agrippa, m’eût suff
s et toi-même Visage adoré Ispahan aux musiques du matin Réveille l’
odeur
des roses de ses jardins J’ai parfumé mon âme A
Huns. On entra dans la salle à manger, les narines Reniflaient une
odeur
de graisse et de graillon. On eut vingt potages,
mortes de la terre exhalaient Leurs mortelles
odeurs
Moi je décrivais tous les jours mon amour à Madel
guilles On entra dans la salle à manger les narines Reniflaient une
odeur
de graisse et de graillon On eut vingt potages do
la lumière de l’aurore, Que vos regards mon fiancé, Auront meilleure
odeur
encore, Hélas ! la bague était brisée, Que le lil
la lumière de l’aurore, Que vos regards mon fiancé, Auront meilleure
odeur
encore, Hélas ! la bague était brisée, Que le lil
eu ils prient les femmes allaitent des enfants Ils emplissent de leur
odeur
le hall de la gare Saint-Lazare Ils ont foi dans
eu ils prient les femmes allaitent des enfants Ils emplissent de leur
odeur
le hall de la gare Saint-Lazare Ils ont foi dans