La Nuit d’Avril 1915 A L de C C Le ciel est étoilé par les
obus
des Boches La forêt merveilleuse où je vis donne
là les pioches. Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur
obus
éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille soleil
Nous vous aimons O Vie et nous vous agaçons Les
obus
miaulaient un amour à mourir Un amour qui se m
oux que les autres Mon souffle nage au fleuve où le sang va tarir Les
obus
miaulaient. Entends chanter les nôtres Pourpre am
La Nuit d’Avril 1915 A L de C C Le ciel est étoilé par les
obus
des Boches La forêt merveilleuse où je vis donne
pioches. * * * Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur
obus
éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille soleil
vous aimons O Vie et nous vous agaçons * * * Les
obus
miaulaient un amour à mourir Un amour qui se m
oux que les autres Mon souffle nage au fleuve où le sang va tarir Les
obus
miaulaient. Entends chanter les nôtres Pourpre am
La Nuit d’Avril 1915 A L de S S Le ciel est étoilé par les
obus
des Boches La forêt merveilleuse où je vis donne
pioches * * * Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur
obus
éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille soleil
en silence Nous nous aimons ô Vie et nous nous agaçons * * * Les
obus
miaulaient un amour à mourir Un amour qui se meur
oux que les autres Mon souffle nage au fleuve où le sang va tarir Les
obus
miaulaient entends chanter les nôtres Pourpre Amo
Nuit d’avril : 1915 Le ciel est étoilé par les
obus
des boches, La forêt merveilleuse où je vis donne
les pioches ! » Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons, Cœur
obus
éclaté tu sifflais ta romance [étoiles]
Nous vous aimons, ô vie et nous vous agaçons [trait] Les
obus
miaulaient un amour à mourir — Un amour qui se me
que les autres — mon souffle nage au fleuve où le sang va tarir, Les
obus
miaulaient… entends chanter les nôtres. Pourpre a
Ha Un éclusier qui pêchait Les tranchées qui blanchissaient Des
obus
qui pétaient Les allumettes qui ne prenaient
a Un éclusier qui pêchait Les tranchées qui blanchissaient Des
obus
qui pétaient Les allumettes qui ne prenaie
te rejoint et la tienne la croise * * * Tes seins sont les seuls
obus
que j’aime Ton souvenir est la lanterne de repéra
s du siècle où nous sommes O canons * * * Douilles éclatantes des
obus
de 75 carillonnez pieusement Guillaume Apollina
Des Eldorados ou bien des Cimméries Rivière d’hommes forts et d’
obus
dont l’orient chatoie Diamants qui éclosen
n parlant entre eux du passé Et ne se retournant qu’à peine, Quand un
obus
avait toussé. Tous quatre de la classe seize, P
tier du neuf charroi de Nîmes L’Amour dit Reste ici mais là-bas les
obus
Epousent ardemment et sans cesse les buts J’att
ne et je songe à Paris Mais ce pâle blessé m’a dit à la cantine Des
obus
dans la nuit la splendeur argentine Je mâche le
s Des Eldorados ou bien des Cimmeries Rivière d’hommes forts et d’
obus
dont l’orient chatoie Diamants qui éclosent la nu
es Eldorados ou bien des Cimmeries Rivière d’hommes forts et d’
obus
dont l’orient chatoie Diamants qui éclosent la nu
L’air est plein d’un terrible alcool Filtré des étoiles mi-closes Les
obus
caressent le mol Parfum nocturne où tu reposes
L’air est plein d’un terrible alcool Filtré des étoiles mi-closes Les
obus
caressent le mol Parfum nocturne où tu reposes
cris de joie Ses fleurs sont nos
obus
aux gerbes merveilleuses
Sa pensée se recueille aux trauchées glorieuses [
obus
] j’entends chanter l’oiseau le bel oiseau rapace
agne Rameau central de combat, [
obus
] Contact, par l’écoute, On fore dans
me regarde dressée comme une épée Vive comme un cheval pif Un trou d’
obus
propre comme une salle de bains Berger suivi de s
me regarde dressée comme une épée Vive comme un cheval pif Un trou d’
obus
propre comme une salle de bains Berger suivi de s
’air est plein d’un terrible alcool filtré des étoiles mi-closes… Les
obus
caressent le mol parfum nocturne où tu reposes,
que sont les ceps de vigne J’envoie mes bouteilles partout comme les
obus
d’une charmante artillerie La nuit est blonde ô v
serré que dans les autobus Et des astres passaient que singeaient les
obus
Quand dans la nuit survint la batterie équestre
serré que dans les autobus Et des astres passaient que singeaient les
obus
Quand dans la nuit survint la batterie équestre
errés que dans les autobus Et des astres passaient que singeaient les
obus
Quand dans la nuit survint la batterie équestre
Du soldat de Promission Un chien jappait l’
obus
miaule La lueur muette a jailli
is seul sur le chant de bataille Tranchée blanche bois vert et roux L’
obus
miaule Je te tuerai Animez vos fan
la terre véhémente Vois les lueurs avant d’entendre les coups Et tel
obus
siffler de la démence Ou le tac tac tac monotone
la terre véhémente Vois les lueurs avant d’entendre les coups Et tel
obus
siffler de la démence Ou le tac tac tac monotone
de-Vesle. Le rossignol garrule et l’Amour renouvelle Ce pendant que l’
obus
rapace en miaulant Abat le sapin noir ou le boule
-de-Vesle. Le rossignol garrule et l’Amour renouvelle Cependant que l’
obus
rapace en miaulant Abat le sapin noir ou le boule
blanc et nocturne novembre Tandis que chantaient épouvantablement les
obus
Et que les fleurs mortes de la terre exhalaient
Achantis au service des Anglais Caresser les seins durs comme des
obus
De ma sœur au rire en folie Et
Achantis au service des Anglais Caresser les seins durs comme des
obus
De ma sœur au rire en folie Et
es réflecteurs dardent leurs lueurs comme des yeux d’escargots Et les
obus
en tombant sont des chiens qui jettent de la terr
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