lac des coups qui meurent en s’éloignant En y veillant tard dans la
nuit
Le Decauville qui toussote La tole ondulée sous l
même sur le boyau Nietzche Décidément je ne respecte aucune gloire
Nuit
violente et violette et sombre et pleine d’or par
oire Nuit violente et violette et sombre et pleine d’or par moments
Nuit
des hommes seulement Nuit du 24 septembre 1915 De
olette et sombre et pleine d’or par moments Nuit des hommes seulement
Nuit
du 24 septembre 1915 Demain l’assaut Nuit violent
s Nuit des hommes seulement Nuit du 24 septembre 1915 Demain l’assaut
Nuit
violente ô nuit dont l’épouvantable cri profond d
s seulement Nuit du 24 septembre 1915 Demain l’assaut Nuit violente ô
nuit
dont l’épouvantable cri profond devenait plus int
l’épouvantable cri profond devenait plus intense de minute en minute
Nuit
des hommes seulement Nuit qui criait comme une fe
d devenait plus intense de minute en minute Nuit des hommes seulement
Nuit
qui criait comme une femme qui accouche
lac des coups qui meurent en s’éloignant En y veillant tard dans la
nuit
Le Décauville qui toussote La tôle ondulée sous
même sur le boyau Nietzsche Décidément je ne respecte aucune gloire
Nuit
violente et violette et sombre et pleine d’or par
te et violette et sombre et pleine d’or par moments
Nuit
des hommes seulement Nuit du 24
moments Nuit des hommes seulement
Nuit
du 24 septembre Demain l’assaut
Nuit du 24 septembre Demain l’assaut
Nuit
violente ô nuit dont l’épouvantable cri profond d
uit du 24 septembre Demain l’assaut Nuit violente ô
nuit
dont l’épouvantable cri profond devenait plus int
l’épouvantable cri profond devenait plus intense de minute en minute
Nuit
qui criait comme une femme qui accouche
minute Nuit qui criait comme une femme qui accouche
Nuit
des hommes seulement 24 Septembre 1915
Veille (incipit : « Pipes de
nuit
pipes du jour ») Pipes de nuit pipes du jour T
Veille (incipit : « Pipes de nuit pipes du jour ») Pipes de
nuit
pipes du jour Tout l’opium ô chevelures Les cheve
? La joie venait toujours après la peine. Vienne la
nuit
. sonne l’heure, Les jours s’en von
asse Des éternels regards l’onde si lasse. Vienne la
nuit
, sonne l’heure, Les jours s’en von
lente Et comme l’Espérance est violente ! Vienne la
nuit
, sonne l’heure, Les jours s’en von
nt ; Sous le pont Mirabeau coule la Seine. Vienne la
nuit
, sonne l’heure, Les jours s’en von
rd marche et regrette et le riz et le thè La voie lactée La
nuit
car naturellement il ne marche Que la nuit attire
La voie lactée La nuit car naturellement il ne marche Que la
nuit
attire souvent ses regards Mais Gaspard
Nuit
rhénane Mon verre est plein d’un vin trembleur
. Le Rhin, le Rhin est ivre, où les vignes se mirent. Tout l’or des
nuits
tombe, en tremblant, s’y refléter. La voix chante
olie Entre l’Amour et le Dédain. Il y vient aussi nos ombres Que la
nuit
dissipera, Le soleil qui les rend sombres Avec el
forts et d’obus dont l’orient chatoie Diamants qui éclosent la
nuit
O Roses O France Nous
Te souviens-tu ? Vagues, poissons arqués, fleurs surmarines ! Une
nuit
, c’était la mer Et les fleuves s’y répandaient.
us trouvâmes des villes qui tout le jour tournaient Et vomissaient la
nuit
le soleil des journées. O matelots, ô femmes so
neau d’un boucher, régiment des rues sans nombre Cavalerie des ponts,
nuits
livides de l’alcool, Les villes que j’ai vues viv
Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres ; J’écoutais cette
nuit
, au déclin de l’été, Un oiseau langoureux et touj
autobus Et des astres passaient que singeaient les obus Quand dans la
nuit
survint la batterie équestre As-
A la guerre C’était un temps béni. Jours vagues et
nuits
vagues Les marmites donnaient aux rondins des cag
autobus Et des astres passaient que singeaient les obus Quand dans la
nuit
survint la batterie équestre As-
A la guerre C’était un temps béni. Jours vagues et
nuits
vagues Les marmites donnaient aux rondins des cag
autobus Et des astres passaient que singeaient les obus Quand dans la
nuit
survint la batterie équestre
A la guerre C’était un temps béni Jours vagues et
nuits
vagues Les marmites donnaient aux rondins des cag
niers qui voient de loin, Nous envoient des baisers sans nombre. La
nuit
arrive tout à coup Comme l’amour dans ces ruines.
l’ombre j’étais invisible C’était donc une tête de nègre dans la
nuit
profonde Similitudes pâleurs Et ma sœur plus t
lliques Je me souviens d’un lac affreux Une
nuit
folle Une nuit de sorcellerie Et de cou
souviens d’un lac affreux Une nuit folle Une
nuit
de sorcellerie Et de couples enchaînés par un atr
l’ombre j’étais invisible C’était donc une tête de nègre dans la
nuit
profonde Similitudes pâleurs Et ma sœur plus t
alliques Je me souviens d’un lac affreux Une
nuit
folle Une nuit de sorcellerie Et de cou
souviens d’un lac affreux Une nuit folle Une
nuit
de sorcellerie Et de couples enchaînés par un atr
a Tzigane La tzigane savait d’avance Nos deux vies barrées par les
nuits
. Nous lui dîmes adieu et puis… De ce puits sortit
a Tsigane La Tsigane savait d’avance Nos deux vies barrées par les
nuits
. Nous lui dîmes adieu, et puis… De ce puits sorti
hommes forts et d’obus dont l’orient chatoie Diamants qui éclosent la
nuit
O Roses Nous nous pâmons de volupté A ton
hommes forts et d’obus dont l’orient chatoie Diamants qui éclosent la
nuit
O Roses Nous nous pâmons de volupté
es vals et les beaux bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce
nuit
lunaire et pleine d’étoiles c’est ton visage que
es vals et les beaux bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce
nuit
lunaire et pleine d’étoiles c’est ton visage que
Fusée-signal Des villages flambaient dans la
nuit
intérieure Une fermière conduit son auto sur une
mellifluente aux lèvres des déments, Les vergers et les bourgs cette
nuit
sont gourmands. Les astres assez bien figurent le
ons qu’il tombe ailleurs que dans notre vallée Icare Pour éviter la
Nuit
ta mère incestueuse Dieu circulaire et bon je flo
flotte entre les nues Loin de la terre où luit ta fille ténébreuse La
Nuit
cette inconnue parmi les inconnus Et je vivrai
e raser Ensuite bleu de ciel je me confonds avec l’horizon jusqu’à la
nuit
et c’est un plaisir trés doux De ne rien dire de
S ne périront jamais Les mois ne sont pas longs ni les jours ni les
nuits
C’est la guerre qui est longue ITALIE Toi notre
nsi que des abeilles Sur les roses momentanées des éclatements Et les
nuits
sont parées de guirlandes d’éblouissements De bul
on appelle la bravoure Et nous fumons du gros avec volupté C’est la
nuit
je suis dans mon blockaus éclairé par l’électrici
après avoir fait leurs besoins Notre armée invisible est une belle
nuit
constellée Et chacun de nos hommes est un astre m
ée Et chacun de nos hommes est un astre merveilleux O
nuit
, o nuit éblouissante Les morts sont avec nos so
acun de nos hommes est un astre merveilleux O nuit, o
nuit
éblouissante Les morts sont avec nos soldats Le
ales Attys, Attys, Attys charmant et débraillé C’est ton nom qu’en la
nuit
les elfes ont raillé Parce qu’un de tes pins s’ab
crue si blanche et tu es noire hélas ! O toi géhenn e sombre ô toi
nuit
sans étoile L’amour a incanté mes yeux tristes
orts, La couleuvre se love en la paille où je dors Quand s’éveille la
nuit
la Champagne Tonnante, La nuit quand les convois
a paille où je dors Quand s’éveille la nuit la Champagne Tonnante, La
nuit
quand les convois traînent leur rumeur lente A tr
orts, La couleuvre se love en la paille où je dors Quand s’éveille la
nuit
la Champagne Tonnante, La nuit quand les convois
a paille où je dors Quand s’éveille la nuit la Champagne Tonnante, La
nuit
quand les convois traînent leur rumeur lente A tr
s. Attys, Attys, Attys, charmant et débraillé, C’est ton nom qu’en la
nuit
les elfes ont raillé Parce qu’un de tes pins s’ab
r beau ciel qui me l’envoyes une
nuit
de mélancolie
nfer Un homme a traversé le désert sans rien boire Et parvient une
nuit
sur les bords de la mer Il a plus soif encore à v
ient trismégistes Que Paris était beau à la fin de septembre Chaque
nuit
devenait une vigne où les pampres Répandaient leu
j’écoutai longtemps tous ces chants et ces cris Qu’éveillait dans la
nuit
la chanson de Paris J’ai soif villes de France
soleil Les suivirent dans l’onde où s’enfoncent les astres Lorsque la
nuit
revint couverte d’yeux ouverts Errer au site où l
lent sous leurs sandales O splendeur démocratique qui pâlit Vienne la
nuit
royale où l’on tuera les bêtes La louve avec l’ag
La Moselle et le Rhin se joignent en silence C’est l’Europe qui prie
nuit
et jour à Coblence Et moi qui m’attardais sur le
ir les bélandres Ecoutez mes chants d’universelle ivrognerie Et la
nuit
de septembre s’achevait lentement Les feux rouges
es d’un regret ardent comme une flamme Tandis que vous sentez dans la
nuit
de votre âme Des violes d’amour vibrer le dernier
e mes bouteilles partout comme les obus d’une charmante artillerie La
nuit
est blonde ô vin blond Un vigneron chantait courb
s. « Lotte, l’amour rend triste. » — « Ilse, la vie est douce. » La
nuit
tombait. Les vignobles aux ceps tordus Devenaient
faut attiser le poêle qui s’éteint. » Les femmes se signaient dans la
nuit
indécise. Honnef, Décembre 1901>. Guillaume
compagnie Bonsoir la compagnie j’entends un bruit de rames Dans la
nuit
sur le Rhin et le coucou chanter Puis j’ai jasé d
La
Nuit
d’Avril 1915 A L de C C Le ciel est étoilé
La
Nuit
d’Avril 1915 A L de C C Le ciel est étoilé
La
Nuit
d’Avril 1915 A L de S S Le ciel est étoil
e Ton souvenir est la lanterne de repérage qui nous sert à pointer la
nuit
* * * En voyant la large croupe de mon cheval
n cyprès sur un tombeau Où les quatre vents s’agenouillent, Et chaque
nuit
c’est un flambeau. La sixième, métal de gloire,
t comme les groseillers Puis étoilant ce pâle automne d’Allemagne, La
nuit
, pleurant des lueurs, mourait à nos pieds Et no
pprivoisés O Déchirée que les fleuves ont reprisée. J’aimerais mieux
nuit
et jour dans les sphingeries, Vouloir savoir pour
Nuit
d’avril : 1915 Le ciel est étoilé par les o
isochrones, choient des gouttes d’eau de pluie. J’ai veillé trente
nuits
sous les lauriers-roses. As-tu sué du sang, Chris
n n’a consacré mes doux pains sans levain. Et je marche, je fuis, ô
nuit
, Lilith ulule Et clame vainement et je vois de gr
Et clame vainement et je vois de grands yeux S’ouvrir tragiquement. O
nuit
, je vois tes cieux L’étoiler calmement de splendi
ne innocente est pendu À un long fil d’étoile en désespoir sévère. La
nuit
, les bois sont noirs et se meurt l’espoir vert Qu
e à Paris Mais ce pâle blessé m’a dit à la cantine Des obus dans la
nuit
la splendeur argentine Je mâche lentement ma po
e des longs soirs alanguis dans les Flandres, Grands ports que chaque
nuit
colorent les fanaux, Je me souviens de vous, eaux
iens de toi ville des météores Ils fleurissaient en l’air pendant ces
nuits
où rien ne dort Jardins de la lumière où j’ai cue
O Voix, je parle le langage de la mer Et dans le port la
nuit
les dernières tavernes Moi qui suis plus têtu q
orte, ma sagesse égale Celle des constellations, Car, c’est moi seul,
nuit
, qui t’étoile. * Sirènes, enfin, je descends Da
porte, ma sagesse égale Celle des constellations, Car c’est moi seul,
nuit
, qui t’étoile. Sirènes, enfin, je descends Dans
ur étranger malhabile et malade Ton père fut un sphinx et ta mère une
nuit
Qui charma de lueurs Zacinthe et les Cyclades As-
dauphin la vipère mâle ou le taureau Ah Ah nous secouerons toute la
nuit
les sistres La voix ligure était-ce donc un talis
antaure Que n’avait-il la voix et les jupes d’Orphée Et les femmes la
nuit
feignant d’être des taures L’eussent aimé comme o
nom de Dieu quelle allure nom de Dieu quelle allure cependant que la
nuit
descend [Notre-Dame] souvenirs de Paris avant la
s marchands de bananes Il vint des soldats de la garde républicaine O
nuit
troupeau de regards langoureux des femmes O nuit
garde républicaine O nuit troupeau de regards langoureux des femmes O
nuit
toi ma douleur et mon attente vaine J’entends mou
ous aurons bien soin de garder nos mains pures Et nous admirerons, la
nuit
, comme Néron, L’incendie des cités, l’écroulement
l ne faudrait pas oublier les légendes Dame-Aboude dans un tramway la
nuit
au fond d’un quartier désert Je voyais une chasse
l ne faudrait pas oublier les légendes Dame-Aboude dans un tramway ln
nuit
au fond d’un quartier désert Je voyais une chasse
e faudrait pas oublier les légendes Dame il bonde dans une tramway la
nuit
au fond d’un quartier désert Je voyais une chasse
étranger, malhabile et malade, Ton père fut un sphinx et ta mère une
nuit
Qui charma de lueurs Zacinthe et les Cyclades, As
vipère mâle ou le taureau. » — « Ah ! Ah ! nous secouerons toute la
nuit
les sistres, La voix ligure était-ce donc un tali
taure. Que n’avait-il la voix et les jupes d’Orphée Et les femmes, la
nuit
, feignant d’être des taures L’eussent aimé comme
issé tout bleu vous sortez du dortoir en cachette Vous priez toute la
nuit
dans la chapelle du collège Et dans l’éternelle e
apuleux Tu prends un café à deux sous parmi les malheureux Tu es la
nuit
dans un grand restaurant On chante on danse on bo
humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La
nuit
s’éloigne ainsi qu’une belle métive C’est Ferdine
issé tout bleu vous sortez du dortoir en cachette Vous priez toute la
nuit
dans la chapelle du collège Et dans l’éternelle e
apuleux Tu prends un café à deux sous parmi les malheureux Tu es la
nuit
dans un grand restaurant On chante on danse on bo
humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La
nuit
s’éloigne ainsi qu’une belle métive C’est Ferdine
doge, Aux cris d’une sirène moderne, sans époux. Gonfle-toi vers la
nuit
, ô mer ! Les yeux des squales Jusqu’à l’aube ont
doge, Aux cris d’une sirène moderne, sans époux. Gonfle-toi vers la
nuit
, ô mer ! Les yeux des squales Jusqu’à l’aube ont
Merveille de la guerre Que c’est beau ces fusées qui illuminent la
nuit
Elles montent sur leur propre cime et se penchent
, Des accouchées masquées fêtaient leurs relevailles. La ville, cette
nuit
, semblait un archipel, Des femmes demandaient l’
e feu qui pour vous se dévoue, Et la girande tourne, ô belle, ô belle
nuit
. Liens déliés par une libre flamme, ardeur Que
privoisés O Déchirée que les fleuves ont reprisée. J’aimerais mieux
nuit
et jour dans les sphingeries Vouloir savoir pour
la cantilène du brancardier blessé Le sol est blanc la
nuit
l’azure Saigne la crucifixion
O Terre, O Déchirée que les fleuves ont reprisée. J’aimerais mieux
nuit
et jour dans les sphingeries Vouloir savoir pour
t leurs mains s’élevaient comme un vol de colombes, Clarté sur qui la
nuit
fondit comme un vautour. Puis, Merlin s’en alla v
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