este les fleurs ; Je regrette chacun des baisers que je donne, Tel un
noyer
gaulé dit au vent ses douleurs. Mon Automne éte
teste les fleurs, Je regrette chacun des baisers que je donne, Tel un
noyer
gaulé dit au vent ses douleurs. Mon Automne éte
Un dieu choît dans la mer un dieu nu les mains vides Au semblant des
noyés
il ira sur une île Pourrir face tournée vers le s
it, cygne mourant, sirène. Un jour, le roi, dans l’eau d’argent, Se
noya
, puis, la bouche ouverte, Il s’en revint en surna
hi des matelots sans nombre Engloutit mes grands cris comme des dieux
noyés
Et la mer au soleil ne supporte que l’ombre Que j
sur lui La robe sans couture. Eteignez les ardeurs. Au puits vont se
noyer
tant de tintements d’heures, Quand isochrones, ch
uit comme un œuf sur le plat. Ce collier de gouttes d’eau va parer la
noyée
. Voici mon bouquet de fleurs de la passion, Qui o
des faces masquées Il souriait jeune nageur entre les rives Et les
noyés
flottant sur son onde nouvelle Fuyaient en le sui