que fut l’art avant la guerre et l’essor magnifique qui emportera les
nouveaux
peintres mais il vaut mieux ne pas figurer cette
ici de jeune aveugle ailé O Bouches l’homme est à la recherche d’un
nouveau
langage Auquel le grammairien d’aucune langue n’a
rûtes et remourûtes sans dire ouf ? Kiosque remuant qui portiez les
nouvelles
Vous étiez un cerveau pour toutes les cervelles D
rance future N’espérez nul repos risquez tout votre avoir Apprenez du
nouveau
car il faut tout savoir Lorsque crie un prophète
n s’était mis sous une gouttière. Léopold Survage avait inventé l’art
nouveau
de la peinture en mouvement : le Rythme coloré. I
ance pure l’ont mis à même d’aborder la peinture avec des moyens tous
nouveaux
. J’ai senti, pour ma part, un tel accord entre le
rdu ses meilleurs amis dans l’effroyable lutte Je sais d’ancien et de
nouveau
autant qu’un homme seul pourrait des deux savoir
le mystère en fleur s’offre à qui veut le cueillir Il y a là des feux
nouveaux
des couleurs jamais vues Mille phantasmes impondé
sé sur moi comme des feuilles. Les acteurs inhumains, claires bêtes
nouvelles
, Donnent des ordres aux hommes apprivoisés O Déch
terrestres vieillissent L’univers se plaint par ta voix Et des êtres
nouveaux
surgissent Trois par trois GUILLAUME APOLLINAIR
terrestres vieillissent L’univers se plaint par ta voix Et des êtres
nouveaux
surgissent Trois par trois GUILLAUME APOLLINAIRE
terrestres vieillissent L’Univers se plaint part ta voix Et des êtres
nouveaux
surgissent Trois par trois GUILLAUME APPOLLINAIR
s la neige. » — « Le facteur vient de s’arrêter Pour causer avec le
nouveau
maître d’école. » — « Cet hiver est très froid, l
cerclés d’or, je n’étais pas seul ! fais onduler les remords
Nouveau
monde très matinal montant de l’énorme mer L
sé sur moi comme des feuilles. Des acteurs inhumains, claires bêtes
nouvelles
, Donnent des ordres aux hommes apprivoisés O Déch
sé sur moi comme des feuilles. Les acteurs inhumains, claires bêtes
nouvelles
, Donnent des ordres aux hommes apprivoisés,
« La dame qui m’attend se nomme Viviane « Et vienne le printemps des
nouvelles
douleurs. « Couché parmi la marjolaine et les pas
ndants de son destin Fœtus minuscules qui lui sortaient de la barbe
Nouveau
cri de Peau-Rouge Musique angélique des arbres Di
quelques lignes droites Mais en deçà de l’issue c’est le palais bien
nouveau
et qui paraît ancien Le plafond est fait de trave
ndants de son destin, Fœtus minuscules qui lui sortaient de la barbe,
Nouveaux
cris de Peau Rouge. Musique angélique des arbres.
s ! On buvait aussi, Et, de temps à autre, une cloche Annonçait qu’un
nouveau
tonneau Allait être mis en perce. Une morte, as
s : On buvait aussi, Et, de temps à autre, une cloche Annonçait qu’un
nouveau
tonneau Allait être mis en perce. Une morte, as
Et Lyon répondit tandis que les anges de Fourvières Tissaient un ciel
nouveau
avec la soie des prières Désaltère-toi Paris av