Christ de bois qui pâtit sur la route, Une chèvre attachée à la croix
noire
broute. A la ronde, les bourgs souffrent la passi
christ de bois qui pâtit sur la route. Une chèvre attachée à la croix
noire
broute. A la ronde les bourgs souffrent la passio
qu’injuste et très vaine fureur Je t’avais crue si blanche et tu es
noire
hélas ! O toi géhenn e sombre ô toi nuit sans é
pas froid Le Danois fume sa cigarette en consultant l’horaire Le chat
noir
traverse la brasserie Ces crêpes étaient exquis
rse la brasserie Ces crêpes étaient exquises La fontaine coule Robe
noire
comme ses ongles C’est complètement impossible Vo
ésir, la mer est ta victoire. Tout habillé de bleu quand il a l’âme
noire
Au pied d’une potence un beau masque prend l’air
geaient de n’avoir, Elle, une robe à traîne et lui son habit
noir
. Lors le serpent, rampant par là, dit d’un air di
adieu ! vous qui m’aimiez, oubliez-moi ! Laissez-moi seule, triste et
noire
, dans la gare Attendre, les yeux secs, l’heure de
n choque les verres Et que renaisse ici la française gaieté ; Arrière
noirs
soucis, fuyez ô fronts sévères, Je bois à mon Rou
gique soulevées à bras tendu par un ouvrier russe de Longwy, Haltères
noirs
et creux qui ont pour tige un fleuve figé, Doig
ant une cigarette amère et délicieuse comme la vie. De nombreux tapis
noirs
couvraient le sol, Tapis qui ont des plis qu’on n
verte comme un œil Les puiseurs d’eau barbus coiffés de bandelettes
Noires
et blanches contre les maux et les sorts Revenaie
des jars Les veuves précédaient en égrenant des grappes Les évêques
noirs
révérant sans le savoir Au triangle isocèle ouver
uvert au mors des chapes Pallas et chantaient l’hymne à la belle mais
noire
Les chevaucheurs nous jetèrent dans l’avenir Le
our renouvelle Ce pendant que l’obus rapace en miaulant Abat le sapin
noir
ou le bouleau si blanc. Mais quand reverrons-nous
mour renouvelle Cependant que l’obus rapace en miaulant Abat le sapin
noir
ou le bouleau si blanc. Mais quand reverrons-nous
rte comme un œil. Les puiseurs d’eau barbus, coiffés de bandelettes
Noires
et blanches contre les maux et les sorts Revenaie
es jars. Les veuves précédaient en égrenant des grappes Les évêques
noirs
révérant sans le savoir, Au triangle isocèle ouve
rt au mors des chapes, Pallas, et chantaient l’hymne à la belle, mais
noire
. Les chevaucheurs nous jetèrent dans l’avenir L
e ne peux pas dire où Pourquoi donc être blanc est-ce mieux qu’être
noir
Pourquoi ne pas danser et discourir M
e ne peux pas dire où Pourquoi donc être blanc est-ce mieux qu’être
noir
Pourquoi ne pas danser et discourir M
ore en folie, va Lore aux yeux tremblants Tu seras une nonne vêtue de
noir
et blanc. — Puis ils s’en allèrent sur la route
es vendredis sanglants et lents d’enterrements, Des blancs et de tout
noirs
, vaincus des cieux qui pleuvent, Quand la femme d
es vendredis sanglants et lents d’enterrements. Des blancs et de tout
noirs
, vaincus des cieux qui pleuvent Quand la femme du
gique soulevées à bras tendus par un ouvrier russe de Longwy Haltères
noirs
et creuses qui ont pour tige un fleuve figé Doigt
yeux d’ivoire, Tes prêtres fous t’ont-ils paré ? Tes victimes en robe
noire
Ont-elles vainement pleuré ? Malheur, dieu qu’il
du À un long fil d’étoile en désespoir sévère. La nuit, les bois sont
noirs
et se meurt l’espoir vert Quand meurt le jour ave
ort parlait avec une jeune femme Vêtue d’une robe jaune, D’un corsage
noir
Avec des rubans bleus et d’un chapeau gris Orné d
ort parlait avec une jeune femme Vêtue d’une robe jaune, D’un corsage
noir
Avec des rubans bleus et d’un chapeau gris Orné d
feux dans nos deux eaux Dans ces belles maisons nettement blanches et
noires
Sans savoir que tu es la réalité chantent ta gloi