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1 (1915) [Envoi autographe] « [Envoi autographe] »
[Envoi autographe]   [à l’encre noire ] Au maréchal des logis Lucien Bodard Son compagno
2 (1901) Passion « Passion »
Christ de bois qui pâtit sur la route, Une chèvre attachée à la croix noire broute. A la ronde, les bourgs souffrent la passi
3 (1912) Passion « Passion »
christ de bois qui pâtit sur la route. Une chèvre attachée à la croix noire broute. A la ronde les bourgs souffrent la passio
4 (1914) Le son du Cor « Le son du Cor »
qu’injuste et très vaine fureur Je t’avais crue si blanche et tu es noire hélas ! O toi géhenn e sombre ô toi nuit sans é
5 (1913) Lundi rue Christine « Lundi rue Christine »
pas froid Le Danois fume sa cigarette en consultant l’horaire Le chat noir traverse la brasserie Ces crêpes étaient exquis
rse la brasserie Ces crêpes étaient exquises La fontaine coule Robe noire comme ses ongles C’est complètement impossible Vo
6 (1912) L'Enfer « L’Enfer »
ésir, la mer est ta victoire. Tout habillé de bleu quand il a l’âme noire Au pied d’une potence un beau masque prend l’air
7 (1910) Le Système Métrique « Le Système métrique »
geaient de n’avoir,          Elle, une robe à traîne et lui son habit noir . Lors le serpent, rampant par là, dit d’un air di
8 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
adieu ! vous qui m’aimiez, oubliez-moi ! Laissez-moi seule, triste et noire , dans la gare Attendre, les yeux secs, l’heure de
9 (1916) Fusée « Fusée »
Fusée La boucle des cheveux noirs de ta nuque est mon trésor Ma pensée te rejoint e
10 (1914) Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») « Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») »
n choque les verres Et que renaisse ici la française gaieté ; Arrière noirs soucis, fuyez ô fronts sévères, Je bois à mon Rou
11 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
gique soulevées à bras tendu par un ouvrier russe de Longwy, Haltères noirs et creux qui ont pour tige un fleuve figé, Doig
ant une cigarette amère et délicieuse comme la vie. De nombreux tapis noirs couvraient le sol, Tapis qui ont des plis qu’on n
12 (1911) Le Larron « Le Larron »
verte comme un œil Les puiseurs d’eau barbus coiffés de bandelettes Noires et blanches contre les maux et les sorts Revenaie
des jars Les veuves précédaient en égrenant des grappes Les évêques noirs révérant sans le savoir Au triangle isocèle ouver
uvert au mors des chapes Pallas et chantaient l’hymne à la belle mais noire Les chevaucheurs nous jetèrent dans l’avenir Le
13 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
our renouvelle Ce pendant que l’obus rapace en miaulant Abat le sapin noir ou le bouleau si blanc. Mais quand reverrons-nous
14 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
mour renouvelle Cependant que l’obus rapace en miaulant Abat le sapin noir ou le bouleau si blanc. Mais quand reverrons-nous
15 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
’épanouit fleur nocturne                                Quand il fait noir Et elle retombe comme une pluie de larmes amoureu
16 (1903) Le Larron « Le Larron »
rte comme un œil. Les puiseurs d’eau barbus, coiffés de bandelettes Noires et blanches contre les maux et les sorts Revenaie
es jars. Les veuves précédaient en égrenant des grappes Les évêques noirs révérant sans le savoir, Au triangle isocèle ouve
rt au mors des chapes, Pallas, et chantaient l’hymne à la belle, mais noire . Les chevaucheurs nous jetèrent dans l’avenir L
17 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
e ne peux pas dire où   Pourquoi donc être blanc est-ce mieux qu’être noir     Pourquoi ne pas danser et discourir         M
18 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
e ne peux pas dire où   Pourquoi donc être blanc est-ce mieux qu’être noir     Pourquoi ne pas danser et discourir         M
19 (1902) La Loreley « La Loreley »
ore en folie, va Lore aux yeux tremblants Tu seras une nonne vêtue de noir et blanc. — Puis ils s’en allèrent sur la route
20 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
es vendredis sanglants et lents d’enterrements, Des blancs et de tout noirs , vaincus des cieux qui pleuvent, Quand la femme d
21 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
es vendredis sanglants et lents d’enterrements. Des blancs et de tout noirs , vaincus des cieux qui pleuvent Quand la femme du
22 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
gique soulevées à bras tendus par un ouvrier russe de Longwy Haltères noirs et creuses qui ont pour tige un fleuve figé Doigt
23 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
yeux d’ivoire, Tes prêtres fous t’ont-ils paré ? Tes victimes en robe noire Ont-elles vainement pleuré ? Malheur, dieu qu’il
24 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
du À un long fil d’étoile en désespoir sévère. La nuit, les bois sont noirs et se meurt l’espoir vert Quand meurt le jour ave
25 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
ort parlait avec une jeune femme Vêtue d’une robe jaune, D’un corsage noir Avec des rubans bleus et d’un chapeau gris Orné d
26 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
ort parlait avec une jeune femme Vêtue d’une robe jaune, D’un corsage noir Avec des rubans bleus et d’un chapeau gris Orné d
27 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
feux dans nos deux eaux Dans ces belles maisons nettement blanches et noires Sans savoir que tu es la réalité chantent ta gloi
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