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1 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
Chevaux de frise Pendant le blanc et nocturne novembre Alors que les arbres déchiquetés par l’a
t                         Les fleurs de l’amour Pendant le blanc et nocturne novembre Tandis que chantaient épouvantablement l
e leurs belles mains Me font signe de venir La fusée s’épanouit fleur nocturne                                Quand il fait noir
2 (1909) Vent nocturne « Vent nocturne »
Vent nocturne Oh ! les cimes des pins grincent en se heurtan
3 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
alcool Filtré des étoiles mi-closes Les obus caressent le mol Parfum nocturne où tu reposes      Mortification des roses
4 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
alcool Filtré des étoiles mi-closes Les obus caressent le mol Parfum nocturne où tu reposes         Mortification des roses
5 (1912) Le Vent nocturne « Le Vent nocturne »
Le Vent nocturne Oh ! les cimes des pins grincent en se heurtan
6 (1915) Saillant « Saillant »
   Aÿ Ancien nom du renom             Le crapaud chantait les saphirs nocturnes [crapauds] LOU LOU LOU [insigne de télégraph
7 (1915) Saillant « Saillant »
   Aÿ Ancien nom du renom             Le crapaud chantait les saphirs nocturnes [crapauds] LOU LOU LOU [insigne de télégraphi
8 (1916) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
alcool filtré des étoiles mi-closes… Les obus caressent le mol parfum nocturne où tu reposes,       Mortification des roses !
9 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
es Étincelant diamant Vancouver Où le train blanc de neige et de feux nocturnes fuit l’hiver O Paris Du rouge au vert tout le jau
10 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
es Étincelant diamant Vancouver Où le train blanc de neige et de feux nocturnes fuit l’hiver O Paris Du rouge au vert tout le jau
11 (1905) Dans le palais de Rosemonde « Dans le Palais de Rosemonde »
it. « Pendez vos têtes aux patères par les tresses. « Le ciel presque nocturne a des lueurs d’aiguilles. » Sur les genoux poin
12 (1911) Dans le palais de Rosemonde « Dans le palais de Rosemonde »
’or cuit Pendez vos têtes aux patères par les tresses Le ciel presque nocturne a des lueurs d’aiguilles On entra dans la salle
13 (1911) Le Larron « Le Larron »
Il entra dans la salle aux fresques qui figurent L’inceste solaire et nocturne dans les nues Assieds-toi là pour mieux ouïr les
14 (1903) Le Larron « Le Larron »
Il entra dans la salle aux fresques qui figurent L’inceste solaire et nocturne dans les nues : « Assieds-toi là, pour mieux ouïr
15 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
ous aime, disait-il, Comme le pigeon aime la colombe, Comme l’insecte nocturne Aime la lumière. — — Trop tard, répondait la viva
16 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
ous aime, disait-il, Comme le pigeon aime la colombe, Comme l’insecte nocturne Aime la lumière. ‒ Trop tard, répondait la viva
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