eille Et ne songeons pas à l’avenir Regardons nos mains Qui sont la
neige
La rose et l’abeille Ainsi que l’avenir GUILLAUM
s visages étaient pâles Et leurs sanglots s’étaient brisés Après la
neige
aux purs pétales Comme ses mains sur tes baisers
pêcher les perles du fleuve Dit vert, qui est bleu et jaunit qu’il
neige
ou pleuve Dans l’eau d’acier ton ombre te précè
s mains d’un soldat blessé un jet d’eau la queue d’un paon un soir de
neige
ciel constellé un bombardement un matin à New Yor
les arbres déchiquetés par l’artillerie Vieillissaient encore sous la
neige
Et semblaient à peine des chevaux de frise Entour
les odeurs Moi je décrivais tous les jours mon amour à Madeleine La
neige
met de pâles fleurs sur les arbres Et
res Que Georgin gravait dans le bois Où sont-ils ces beaux militaires
Neiges
d’antan Où sont les guerres Où sont les guerres d
a dans sa cage : « Ce cyprès là-bas a l’air du pape en voyage Sous la
neige
. » — « Le facteur vient de s’arrêter Pour cause
gnobles aux ceps tordus Devenaient dans l’obscurité des ossuaires. En
neige
et repliés gisaient là des suaires Et des chiens
ent les pelleteries Étincelant diamant Vancouver Où le train blanc de
neige
et de feux nocturnes fuit l’hiver O Paris Du roug
ent les pelleteries Étincelant diamant Vancouver Où le train blanc de
neige
et de feux nocturnes fuit l’hiver O Paris Du roug
evis, près d’un moujik mourant, compter les béatitudes En admirant la
neige
semblable aux femmes nues. Je le revis faisant ce
printemps clair, l’avril léger. Mort d’immortels argyraspides ! La
neige
aux boucliers d’argent Fuit les dendrophores livi