Et vous monsieur Bichon Les râles des mourants
Mourant
dans leurs maisons En automne avec les feuilles i
ujours neuve un bouton de rose doux comme un papillon comme une fleur
mourant
entre les mains d’un soldat blessé un jet d’eau l
vent Prenait à ma quenouille, ou bien par les allées Jusqu’au bassin
mourant
que pleurent les saulaies Je marchais à pas lents
ù sanglant et rond comme mon âme Le grand soleil payen fait mourir en
mourant
Avec les bourgs lointains, le Christ indifférent.
sanglant et rond comme mon âme, Le grand soleil païen fait mourir, en
mourant
, Avec les bourgs lointains, le christ indifférent
ne sachant pas encore rire. La table et les deux verres devinrent un
mourant
qui nous jeta le dernier regard d’Orphée. Les ver
Pour me donner un signe de la liberté. Je le revis, près d’un moujik
mourant
, compter les béatitudes En admirant la neige semb
parce que nos verres nous jettent encore une fois le regard d’Orphée
mourant
, Ni : parce que nous avons tant grandi que beauco
té Et le bruit éternel d’un fleuve large et sombre Mais tandis que,
mourants
, roulaient vers l’estuaire Tous les regards, tous
oleil Puisse le premier dieu visible s’en aller Et si c’était un dieu
mourant
cette merveille Prions qu’il tombe ailleurs que d
et sous l’haleine Des vents qui tremblent au printemps Voguait, cygne
mourant
, sirène. Un jour, le roi, dans l’eau d’argent,
s d’un livre Pourtant c’est aussi beau que si la vie même sortait des
mourants
Mais ce serait plus beau encore s’il y en avait p