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1 (1916) Les Feux du bivouac « Les Feux du bivouac »
Les Feux du bivouac Les feux mourants du bivouac Éclairent des formes de rêve Et le son
2 (1917) Le Voyage du Kabyle « Le Voyage du Kabyle »
                              Et vous monsieur Bichon Les râles des mourants Mourant dans leurs maisons En automne avec les fe
                     Et vous monsieur Bichon Les râles des mourants Mourant dans leurs maisons En automne avec les feuilles i
3 (1917) [Calligramme (jet d'eau)] « [Calligramme (jet d’eau)] »
ujours neuve un bouton de rose doux comme un papillon comme une fleur mourant entre les mains d’un soldat blessé un jet d’eau l
4 (1909) Enfance « Enfance »
vent Prenait à ma quenouille, ou bien par les allées Jusqu’au bassin mourant que pleurent les saulaies Je marchais à pas lents
5 (1901) Passion « Passion »
ù sanglant et rond comme mon âme Le grand soleil payen fait mourir en mourant Avec les bourgs lointains, le Christ indifférent.
6 (1912) Passion « Passion »
sanglant et rond comme mon âme, Le grand soleil païen fait mourir, en mourant , Avec les bourgs lointains, le christ indifférent
7 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
ne sachant pas encore rire. La table et les deux verres devinrent un mourant qui nous jeta le dernier regard d’Orphée. Les ver
Pour me donner un signe de la liberté. Je le revis, près d’un moujik mourant , compter les béatitudes En admirant la neige semb
parce que nos verres nous jettent encore une fois le regard d’Orphée mourant , Ni : parce que nous avons tant grandi que beauco
8 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
uittés, Deux matelots qui ne s’étaient jamais parlé, Le plus jeune en mourant tomba sur le côté.                             
té Et le bruit éternel d’un fleuve large et sombre Mais tandis que, mourants , roulaient vers l’estuaire Tous les regards, tous
9 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
oleil Puisse le premier dieu visible s’en aller Et si c’était un dieu mourant cette merveille Prions qu’il tombe ailleurs que d
10 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
et sous l’haleine Des vents qui tremblent au printemps Voguait, cygne mourant , sirène. Un jour, le roi, dans l’eau d’argent,
11 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
s d’un livre Pourtant c’est aussi beau que si la vie même sortait des mourants Mais ce serait plus beau encore s’il y en avait p
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