ires Sont aussi cruels que Vénus J’en ai pris mon parti Rouveyre Et
monté
sur un grand cheval Je vais bientôt partir en gue
Tendresse du Printemps qui me fait défaillir, Un vol d’oiseaux divins
monte
comme un soupir Dans le firmament clair de mes pu
en mon âme. O Flandres, je revois Vos chefs-d’œuvre debout, et d’eux
monte
une voix Qui dit : Nous renaîtrons, nous les pier
comme un vautour. Puis, Merlin s’en alla vers l’est, disant : « Qu’il
monte
« Le fils de la Mémoire, égale de l’amour. « Qu
: « Qu’il monte « Le fils de la Mémoire, égale de l’amour. « Qu’il
monte
de la fange ou soit une ombre d’homme « Il sera b
ots, il vaut mieux sécher ce qu’on écrit avec des papiers buvards non
montés
, c’est ce qu’il y a de mieux. Il est rose comme u
Il suffirait qu’un type maintint la porte cochère Pendant que l’autre
monterait
Trois becs de gaz allumés La patronne est poitr
mais Toutefleur Et je te respire ô ma Toutefleur Tous les lys
montent
en toi comme des cantiques d’amour et d’allégress
nuit au fond d’un quartier désert Je voyais une chasse tandis que je
montais
Et l’ascenseur s’arrêtait à chaque étage Entre
nuit au fond d’un quartier désert Je voyais une chasse tandis que je
montais
Et l’ascenseur s’arrêtait à chaque étage Entre le
nuit au fond d’un quartier désert Je voyais une chasse tandis que je
montais
Et l’ascenseur s’arretait à chaque étage Entre le
La Loreley au milieu traînait la savate. — Chevaliers, laissez-moi
monter
sur ce rocher si haut, Pour voir une fois encore
u qui meurt le vendredi et ressuscite le dimanche C’est le Christ qui
monte
au ciel mieux que les aviateurs Il détient le rec
des siècles il sait y faire Et changé en oiseau ce siècle comme Jésus
monte
dans l’air Les diables dans les abîmes lèvent l
sser passer ceux qui transporte la Sainte-Eucharistie Ces prêtres qui
montent
éternellement en élevant l’hostie L’avion se pose
u qui meurt le vendredi et ressuscite le dimanche C’est le Christ qui
monte
au ciel mieux que les aviateurs Il détient le rec
des siècles il sait y faire Et changé en oiseau ce siècle comme Jésus
monte
dans l’air Les diables dans les abîmes lèvent l
er passer ceux qui transporte la Sainte-Eucharistie Ces prêtres qui
montent
éternellement en élevant l’hostie L’avion se pose
e la guerre Que c’est beau ces fusées qui illuminent la nuit Elles
montent
sur leur propre cime et se penchent pour regarder
ur le dos La teinte ignoble de ses poumons Les bras, les bras partout
montaient
la garde Le second saltimbanque N’était vêtu que
e dos La teinte ignoble de ses poumons. Les bras, les bras, partout
montaient
la garde. Le second saltimbanque N’était vêtu q