t ferme, Tant qu’un beau jour la dame, accouchant avant terme, Mit au monde deux beaux jumeaux, dont l’un mourut. L’autre jui

télégramme :                                       « La dame A mis au monde deux jumeaux : le vôtre dort,                    

ons, insectes Et microbes plus merveilleux Que les sept merveilles du monde Et le palais de Rosemonde.

lui cet esprit moderne qui est ce qu’il y a                        au monde        de plus éloigné de tout égoïsme

Avec ces quatre dromadaires, Don Pédro d’Alfaroubeira1 Courut le monde et l’admira. Il fit ce que je voudrais faire Si j

oublieurs Qui donc saura nous faire oublier telle ou telle partie du monde Où est le Christophe Colomb à qui l’on devra l’ou

lieurs ? Qui donc saura nous faire oublier telle ou telle partie du monde ? Où est le Christophe Colomb à qui l’on devra

pour moi les cyprès n’étaient que des quenouilles, Et mon jardin, un monde où je vivais exprès Pour y filer un jour les éter

oublieurs Qui donc saura nous faire oublier telle ou telle partie du monde Où est le Christophe Colomb à qui l’on devra l’ou

x fois la presse qui féconde Le sens et la mémoire en l’un et l’autre monde Déjà l’écho répète à l’envi vos échos Merci chè

semble que c’était avant la guerre                        Le vieux monde pleure encore             Il était si doux si j

mer où naît la vie et la beauté Il y a là le chant de tout l’amour du monde GUILLAUME APOLLINAIRE

l est des jours où je désaime Dans la fumée d’un cigare j’ai vu des mondes des moustres des spirales La boite d’allumettes

Le bruit des tracteurs qui grimpent dans la vallée * *   * O vieux monde du XIX e  siècle plein de hautes cheminées si bel

Et leur espoir n’est pas moins fort que le mien Je ne chante pas ce monde ni les autres astres Je chante toutes les possibi

utres astres Je chante toutes les possibilités de moi-même hors de ce monde et des astres Je chante la joie d’errer et le pla

ns plus haut maintenant et ne touchons plus le sol Et tandis que le monde vivait et variait Le cortège des femmes long comm

uerre ils seront bien plus doux après la victoire [Tour Eiffel] salut monde dont je suis la langue éloquente que sa bouche ô

           Du gentil Rousseau                     Les mouvements du monde                     Les souvenirs s’en vont      

ange              Du gentil Rousseau              Les mouvements du monde              Les souvenirs s’en vont             

s d’or,   je n’étais pas seul !   fais onduler les remords   Nouveau monde très matinal   montant de l’énorme mer   L’avent

, Qu’un ciel d’oubli s’ouvre à mes vœux ! Pour son baiser les rois du monde Seraient morts ; des pauvres fameux Pour elle eus

x qui ne savaient pas profiter de la vie ; Ni même : on renouvelle le monde en reprenant la Bastille. Je sais que seuls le re

tes les vitrines Et les morts m’accostèrent Avec des mines de l’autre monde . Mais leur visage et leurs attitudes Devinrent bi

vous attendrai Toute votre vie… Répondait la morte. Des enfants De ce monde ou bien de l’autre Chantaient de ces rondes Aux p

tes les vitrines Et les morts m’accostèrent Avec des mines de l’autre monde . Mais leur visage et leurs attitudes Devinrent

vous attendrai Toute votre vie… Répondait la morte. Des enfants De ce monde ou bien de l’autre Chantaient de ces rondes Aux p

it la chanson de Paris J’ai soif villes de France et d’Europe et du monde Venez toutes couler dans ma gorge profonde Je v

ccouplements musiques éternelles Mouvements adorations douleur divine Mondes qui vous ressemblez et qui nous ressemblez Je vou

Zône A la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des po

ist qui monte au ciel mieux que les aviateurs Il détient le record du monde pour la hauteur Pupille Christ de l’œil Vingtièm

Zône A la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des po

ist qui monte au ciel mieux que les aviateurs Il détient le record du monde pour la hauteur Pupille Christ de l’œil Vingtiè

que j’imagine qu’il y aura jamais plus de bonheur ou de malheur en ce monde Mais parce que comme toi j’aime à penser seul et

Jadis, les morts sont revenus pour m’adorer, Et j’espérais la fin du monde , Mais la mienne arrive en sifflant comme un ourag