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1 (1903) L'Adieu « L'Adieu »
L'Adieu « J’ai cueilli ce brin de bruyère. Mets -le sur ton cœur plus longtemps Nous ne nous verro
n cœur plus longtemps Nous ne nous verrons plus sur terre. » — « J’ai mis sur mon cœur la bruyère, Et souviens-toi que je t
2 (1910) Les Jumeaux « Les Jumeaux »
’amusant ferme, Tant qu’un beau jour la dame, accouchant avant terme, Mit au monde deux beaux jumeaux, dont l’un mourut. L’
ain ce télégramme :                                       « La dame A mis au monde deux jumeaux : le vôtre dort,           
3 (1912) Nuit rhénane « Nuit rhénane »
en dansant une ronde, Que je n’entende plus le chant du batelier, Et mettez près de moi toutes les filles blondes Au regard i
e, aux nattes repliées. Le Rhin, le Rhin est ivre, où les vignes se mirent . Tout l’or des nuits tombe, en tremblant, s’y ref
4 (1917) [Page 1] « [Page 1] »
hiver, et quand il pleuvait on y était aussi trempé que si on s’était mis sous une gouttière. Léopold Survage avait inventé
un industriel. Ce Rythme coloré auquel il consacrait ses veilles fut mis au point. Et au moment de la déclaration de guerr
Les efforts qu’il a faits pour donner une vie à la nuance pure l’ont mis à même d’aborder la peinture avec des moyens tous
cité des fruits, des fleurs et des feuilles. Nul avant Survage n’a su mettre dans une seule toile, une ville entière avec l’in
5 (1915) S-P « S-P- »
S-P- au maréchal des logis André Berthier Qu’est-ce qu’on y met dans la case d’armons espèce de poilu de mon Cœur
6 (1902) Les Cloches « [1] »
de, ma cousine Souriront quand je passerai. Je ne saurai plus où me mettre . Tu seras loin. Je pleurerai Et même, j’en mourra
7 (1912) Marie-Sybille « Marie-Sibylle »
asse des trottoirs, Très tard, dans des brasseries borgnes. Elle se mettait sur la paille Pour un maquereau roux et rose, C’é
8 (1915) Visée « Visée »
btil Les villes tour à tour deviennent des clefs Le masque bleu comme met Dieu, son Ciel Guerre paisible ascèse solitude mé
9 (1915) S-P « S-P- »
S-P- au maréchal des logis André Berthier Qu’est-ce qu’on y met dans la case d’armons espèce de poilu de mon Cœur
10 (1915) Visée « Visée »
btil Les villes tour à tour deviennent des clefs Le masque bleu comme met Dieu, son Ciel Guerre paisible ascèse solitude mé
11 (1914) Le tabac à priser « Le tabac à priser »
Le tabac à priser Tabaquin tabaquin ma tabatière est vide Mets y pour deux sous de tabac mais du fin Il fait si
12 (1910) La Vaseline « La Vaseline »
          Chez un pharmacien, place de l’Opéra, Un monsieur fort bien mis en coup de vent entra : « Vite, dit-il, donnez-mo
13 (1910) La Vaseline « La Vaseline »
          Chez un pharmacien, place de l’Opéra, Un monsieur fort bien mis en coup de vent entra : « Vite, dit-il, donnez-mo
14 (1914) 1904 « 1904 »
de l’Opéra Qui ne parlait que de théâtre La Kellnerine rousse avait Mis sur sa tête un chapeau rose Comme Hébé que les di
15 (1909) Crépuscule « II. Crépuscule »
ombres des morts, Sur l’herbe où le jour s’exténue L’Arlequine s’est mise nue Et dans l’étang mire son corps. Un charlata
16 (1911) Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») « Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») »
ombres des morts Sur l’herbe où le jour s’exténue, L’Arlequine s’est mise nue Et dans l’étang mire son corps Un charlatan
17 (1917) Allons plus vite « Allons plus vite »
g du quai               Sur son sein notre République               A mis ce bouquet de muguet               qui poussait d
18 (1914) Un dernier chapitre « Un dernier chapitre »
des manchots des boiteux Il vint même des prêtres et quelques hommes mis avec élégance Et hors la place la ville semblait
19 (1915) Acousmate (incipit : « Paix sur terre aux hommes de bonne volonté ») « Acousmate (incipit : « Paix sur terre aux hommes de bonne volonté ») »
              Près de là Sur le coup de minuit d’un jour alcyonien Se mirent tous en route au son de leurs musettes
20 (1907) [Poème sans titre (incipit : « Trente ans debout à la frontière »)] « Poème sans titre (incipit : « Trente ans debout à la frontière ») »
gadier, Un soir, dans le train de dix heures, D’un homme correctement mis Voyageant avec un permis Je tâtai les gibbosités
21 (1918) A Luigi Amaro « À Luigi Amaro »
                      Avec cette simplicité              Qu’il faut mettre en toutes choses                               
22 (1917) à Luigi Amaro « A Luigi Amaro »
éni                     Avec cette simplicité              Qu’il faut mettre en toutes choses L’Italie est venue avec nous  
23 (1909) Élégie « Élégie »
s le vent auprès d’un petit mur Ou lisions l’inscription d’une pierre mise A cette place en souvenir d’un meurtre et sur Laq
24 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
ul Pendant de longues soirées Le tokay épais ou la malvoisie J’aurais mis mon habit espagnol Pour aller sur la route par la
25 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
eds dans la cuvette Una volta ho inteso dire Ach du lieber Gott Je me mis à pleurer en me souvenant de vos enfances Et to
26 (1905) Dans le palais de Rosemonde « Dans le Palais de Rosemonde »
s ossuaires En danse macabre aux plis de mon cervelet. Et, tous ces mets criaient des choses nonpareilles,                
27 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
eurs Moi je décrivais tous les jours mon amour à Madeleine La neige met de pâles fleurs sur les arbres            Et tois
28 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
es Tout en pleurant cheminent Et les bons ânes Braillent hi han et se mettent à brouter les fleurs Des couronnes mortuaires C’e
29 (1911) Dans le palais de Rosemonde « Dans le palais de Rosemonde »
des ossuaires En danse macabre aux plis de mon cervelet Et tous ces mets criaient des choses non pareilles                
30 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
maison du vigneron les femmes cousent… « Lenchen, remplis le poêle et mets l’eau du café Dessus… » — « Le chat s’étire après
31 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
me une sœur J’ai comme toi pour me réconforter le quart de pinard Qui met tant de différence entre nous et les Boches J’ai
hacun de tei ITALIE Ne te borne point à prendre les terres irrédentes Mets ton destin dans la balance où est le nôtre Les
32 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
mais quittés : L’aîné portait au cou une chaîne de fer, Le plus jeune mettait ses cheveux blonds en tresse. Ouvrez-moi cette
33 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
’en va couronné de craie semée de branches Comme un fantôme creux qui met du vide où il passe blanchâtre Et là-haut le toit
34 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
ait de toutes parts Lorsque tout à coup les cloches de Saint-Merry se mirent à sonner Le musicien cessa de jouer et but à la
35 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
is les églantines ; Elle viendra, demain, cueillir les giroflées Pour mettre aux nids des colombes qu’elle destine Au pigeon q
36 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
temps à autre, une cloche Annonçait qu’un nouveau tonneau Allait être mis en perce. Une morte, assise sur un banc, Près d
37 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
temps à autre, une cloche Annonçait qu’un nouveau tonneau Allait être mis en perce. Une morte, assise sur un banc, Près d
38 (1912) Zône « Zône »
da Tu es à Paris chez le juge d’instruction Comme un criminel on te met en état d’arrestation Tu as fait de douloureux
39 (1913) Zône « Zône »
da Tu es à Paris chez le juge d’instruction Comme un criminel on te met en état d’arrestation Tu as fait de douloureux
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