Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») Le chemin qui
mène
aux étoiles Est pur, sans ombre et sans clarté. J
e Accompagne à pas lents sa femme, votre absence, Qui, très douce, le
mène
et, tranquille, se tait. Et l’amour qui s’en vi
r le chemin du bord du fleuve, lentement, Un ours, un singe, un chien
menés
par des tsiganes Suivaient une roulotte traînée p
nébuleuses ? Les démons du hasard selon Le chant du firmament nous
mènent
. A sons perdus, leurs violons Font danser notre r
elet » — « Il me faut du sucre candi, Leni, je tousse. » — « Pierre
mène
son furet chasser les lapins » Le vent faisait da
’en alla. L’évêque fit venir trois chevaliers avec leurs lances : —
Menez
jusqu’au couvent cette femme en démence. Va-t’e
bre, ô mon vieux serpent ! Au soleil, parce que tu l’aimes, Je t’ai
menée
, souviens-t’en bien, Ténébreuse épouse que j’aime
antent ta gloire Mais nous liquides mains jointes pour la prière Nous
menons
vers le sel les eaux aventurières Et la ville ent