état Et comme il faut qu’on se marie Un beau jour j’épouserai Lota Du
matin
au soir l’Otarie Papa Mamman Pipe
nt dans la profonde eau triste Anges frais débarqués à Marseille hier
matin
J’entends mourir et remourir un chant lointain Hu
la queue d’un paon un soir de neige ciel constellé un bombardement un
matin
à New York les lucioles et tous les souvenirs O q
es arts Plastiques et toi-même Visage adoré Ispahan aux musiques du
matin
Réveille l’odeur des roses de ses jardins J’ai
ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce
matin
Tu en as assez de vivre dans l’antiquité grecqu
t la honte te retient D’entrer dans une église et de t’y confesser ce
matin
Tu lis les prospectus les catalogues les affich
les catalogues les affiches qui chantent tout haut Voilà la poésie ce
matin
et pour la prose il y a les journaux Il y a les l
res O portraits des grands hommes et mille titres divers J’ai vu ce
matin
une jolie rue dont j’ai oublié le nom Neuve et pr
s Directeurs les Ouvriers et les belles sténo-dactylographes Du lundi
matin
au samedi soir quatre fois par jour y passent Le
aphes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le
matin
par trois fois la sirène y gémit Une cloche rageu
ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce
matin
Tu en as assez de vivre dans l’antiquité grecqu
t la honte te retient D’entrer dans une église et de t’y confesser ce
matin
Tu lis les prospectus les catalogues les affich
les catalogues les affiches qui chantent tout haut Voilà la poésie ce
matin
et pour la prose il y a les journaux Il y a les l
ières O portraits des grands hommes et mille titres divers J’ai vu ce
matin
une jolie rue dont j’ai oublié le nom Neuve et pr
es Directeurs les Ouvriers et les belles sténodactylographes Du lundi
matin
au samedi soir quatre fois par jour y passent Le
aphes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le
matin
par trois fois la sirène y gémit Une cloche rageu
e Ottomar Scholem et Abraham Loeweren Coiffés de feutres verts, le
matin
du sabbat Vont à la synagogue en longeant le Rhin
iendrai demain avec mon infortune Voir flamber l’aurore, l’électre du
matin
. Tu méprises ma peine et la tienne peut-être ;
sixième, métal de gloire, C’est l’ami aux si douces mains Dont chaque
matin
nous sépare : « Adieu, voilà votre chemin. » Les
C’était un temps béni nous étions sur les plages Va-t’en de bon
matin
pieds nus et sans chapeau Et vite comme va la lan
C’était un temps béni nous étions sur les plages Va-t’en de bon
matin
pieds nus et sans chapeau Et vite comme va la lan
ns C’était un temps béni nous étions sur les plages Va-t-en de bon
matin
pieds nus et sans chapeau Et vite comme va la lan
aussi, nous fêtes populaires Kermesses, Carrousels. — O fraîcheur des
matins
. Tendresse des longs soirs alanguis dans les F
son amertume et sa brûlure me plaisent. J’aurais voulu travailler ce
matin
mais je n’ai fait que fouiller de vieux brouillon
us prenions un quinquina Au bar des Iles Marquises rue de la Gaîté Un
matin
doux de verduresse Les matel
us prenions un quinquina Au bar des Iles Marquises rue de la Gaîté Un
matin
doux de verduresse Les matelots l’
en Hijo de la Cingada priétaire de 5 ou 6 im je me suis levé à 2h. du
matin
et j’ai déjà bu un mouton le câblogramme comporta
age d’André Salmon le 13 juillet 1909 En voyant des drapeaux, ce
matin
, je ne me suis pas dit : Voilà les riches vêtemen
rtain — Te fuient, ô bûcher divin qu’ornent Des astres, des fleurs du
matin
! Malheur, dieu pâle aux yeux d’ivoire, Tes prê